Comique Critique Religion

Le chapitre 4 est une mise en scène blasphématoire d'un sacrement, le baptême. Comment Voltaire tourne la religion en dérision dans ce passage ? Dans un premier temps nous étudierons une scène mouvementée à caractère théâtral, puis l'Ingénu ou l'application des règles et enfin la religion tournée en dérision . I) Une scène mouvementée ou le caractère théâtral a) La vivacité de la scène - alternances : -> des discours directs et indirects ---> accélération du récit ce qui rompt avec les

une biographie, un conte merveilleux, comique et philosophique. Gargantua est le modèle d'un rire sain, d'un esprit critique, satirique, de la richesse de la langue française puis de la gaîté permanente qui illustre ce qu’on appel le rire rabelaisien. Gargantua

s’approprier ses biens. Nous chercherons à démontrer comment dans la pièce Tartuffe de Molière dénonce il l’imposture et l’hypocrisie religieuse à travers le comique. Il conviendra dans un premier temps d’étudier les deux stratégies opposées établi par Tartuffe et Elmire, pour enfin montrer comment le comique est mis au services de la critique des mœurs de l’époque. Dans sa pièce, Molière met en confrontation les stratégies opposer de Elmire et de Tartuffe. En effet, Tartuffe cherche à convaincre

Jacques Prévert Introduction Les œuvres de Jaques Prévert sont destinés au grand public, souvent associés aux enfants, alors que la plupart de ses textes défendent ses idées politiques, reflètent son anticléricalisme (fait d'être contre la religion, le clergé) et caricaturent certaines figures de l'époque. Cependant, pour modérer la dureté de ses propos, Prévert emploi l'humour à travers de multiples jeux de mots (calembours, inventions burlesques, lapsus volontaires...). Dans notre exposé

le moteur de l’action. Tartuffe est un comique de caractères ( un personnage monomaniaque, ici un faux dévôt); comique de situation et de langage,... cela ressemblait donc a un humour au premier degre . d’apres Pierre Clarac << ce qui faisait pouffer de rire il y a trois siecles nous semble d’un raffinement subtil et pervers . Tartuffe n’est plus un gros maladroit mais un virtuose de la seduction >> . Tartuffe ne serait il donc qu’un comique du premier degre ? n’y a-t-il pas un message

/ - Présentation rapide de l’œuvre : Gargantua / 1534 ou 1542 / géant / comique burlesque - Présentation précise du passage étudié : chapitre 38 / Six pèlerins se retrouvent par mégarde dans la salade de Gargantua. Sur le point d’être dévorés, ils parviennent à s’échapper. Le dénommé Lasdaller affirme que leur aventure est prophétisée dans la Bible. Se mêle ainsi au comique le plus bouffon une critique de la religion. Pour information - rappel sur les personnages des six pèlerins : (cf. Ellipses)

(1665), acte III, scène 1. Caractérisations : Titre : Dom Juan Auteur : Molière Siècle : XVII Courant : classicisme ( 3 unités, bienséance et vraissemblance ). Type : argumentatif Registre : comique et ironique aussi polémique (dieu) Objectifs : plaire et instruire Thèmes : médecine, religion, libertinage, hiérarchie sociale. Dom Juan écrit en 1665 par Molière (Jean-Baptiste Poquelin), grand dramaturge du 17ème siècle. La pièce n’obéit pas aux règles de la dramaturgie classique. L’action

Tartuffe, acte 1, scène 1 Introduction Molière a eu du mal à faire représenter Tartuffe à cause de la censure. En effet, on pensait qu'il critiquait la religion. Il a répondu à ces accusations dans la préface de Tartuffe : Molière y explique qu'il ne critiquait pas la religion mais les faux dévots. Faux dévots = quelqu'un qui utilise la religion à des fins malhonnêtes. Tartuffe veut faire croire qu'il est un vrai dévot pour obtenir des avantages. Pour cela il va prier devant tout le monde pour

Exposé sur le comique dans Bouvard et Pécuchet (27/04/2010) Introduction générale Des productions littéraires de Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet est l’une des œuvres majeures. Publiée en 1881 à titre posthume, l’œuvre a bien étonné critiques et amateurs. L’auteur avait d’ailleurs prévu un tel accueil à travers une correspondance à l’un de ses amis, Auguste Sabatier en ces termes : « (…) je n’écris pas un roman populaire. Si trois cents personnes en Europe lisent mon œuvre et en entrevoient

mode, c’est aussi parce que la théologie en débat, et surtout parce que les dévots prennent, en ce début du règne personnel de Louis XIV, une importance croissante. L’hypocrisie des hommes d’Eglise est souvent dénoncée. Depuis longtemps entraient en religion les cadets de famille, non par vocation, mais par intérêt. L’Eglise était riche et le sort de ses membres moins désagréable que beaucoup d’autres. Quelle place occupe l’hypocrisie dans la théologie du XVIIe siècle ? Son statut hybride en fait un