Comique De Caractère Exemple

d’extraits : 8 points Langue : 4 points Proposez pour chaque question une réponse synthétique, fondée néanmoins sur quelques exemples pertinents tirés des textes, que vous n’omettrez pas d’analyser (ne vous contentez pas de citer !). Il est important de restituer le sens des scènes avant tout. Un travail personnel est attendu : vous pouvez avoir recours à des aides extérieures

cerner leur caractère – Quelle est la situation lors de la scène ? – Quel est le registre de la scène ? – Quelle est la forme des dialogues (tirade, stichomythies, soliloque) ? – Comment s’ouvre et se referme l’extrait ? Proposition de plan : Introduction I. Deux figures comiques 1. Un maître et un valet dans une situation traditionnelle 2. Les caprices du maître 3. La sagesse du valet II. Signification des déguisements 1. Pourquoi changer de costume ? 2. Costume et comique visuel

le rire, elle met en œuvre des procédés comiques variés. LES DIFFERENTS PROCEDES COMIQUES Même combinés au sein d'une même œuvre, on peut distinguer différents types de comiques. LE COMIQUE DE MOTS  Il exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. LE COMIQUE DE GESTES  C'est l'ensemble des jeux de scènes qui provoquent le rire : coups, gifles, bastonnades, chutes... LE COMIQUE DE SITUATION  Rencontres fortuites, quiproquos

effectivement un rôle en général comique, divertissant aux yeux du public. Le valet est d'abord drôle par son physique : l'Arlequin de la Comedia dell'Arte est bossu et porte un vêtement coloré. Par la suite les valets de Molière reprendront souvent ces apparences grotesques tel que Sganarelle habillé en docteur, dans Dom Juan. Le valet fait aussi rire par son langage quand il s'agit du « valet balourd » de l'École des Femmes (Alain et Georgette) Le valet est aussi comique par ses actions et ses gestes

que la comédie fasse rire, tout le monde s’accorde à le dire, toutefois, ce rire peut ne pas être gratuit et revêtir différentes fonctions et enjeux. Elle peut par exemple, châtier les mœurs en riant. Dans quelles mesures y parvient-elle et est-ce là sa seule fonction ? Nous verrons dans un premier temps le genre théâtral comique, sa fonction première, son originalité puis nous étudierons l’utilisation de la comédie comme moyen de dénonciation des mœurs et enfin nous essaierons de voir quelles

Dissertation les Caractères1ALes Caractères de Jean de la Bruyère est une œuvre du 17ème siècle appartenant au classicisme. Les classiques ont un idéal celui de l’Honnête Homme ; c’est celui qui est droit, qui sait écouter les autres, qui doit être mesuré. Ils ont la volonté de corriger les gens en faisant rire tout en suivant différents principes comme la régularité, l’ordre et l’harmonie. Cette œuvre suit le parcours de la comédie sociale. En effet, les Caractères sont composés de fragments discontinus

Fiche synthèseRegistres | Il existe 7 registres littéraires : * Le comique * Le tragique * Le pathétique * Le lyrique * Le polémique * Le didactique * L’épique I/ Le Comique Le registre comique suscite le rire ou le sourire. On distingue le comique de caractère, de situation, de gestes et de mots. Les procédés -Les effets de rupture, de décalage, de surprise. -La déformation ou l’exagération qui peut s’exprimer sous forme de caricature. -La répétition de mots

"littérature", il en donne enfin les plus éclatants exemples (Sartre). COMIQUE    Approche du genre :  le mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un

principale fonction de faire rire le lecteur et le spectateur. Les comédies de mœurs et les comédies de caractère apparaissent au XVII, en pleine période du Classicisme. Molière, grand auteur dramaturge, réunit la tradition de la farce et l'invention de la grande comédie, la comédie de caractère et de mœurs ; il se penche aussi sur l'humaine condition. C'est effectivement lui qui investit les genres comiques aujourd'hui représentés dans les théâtres. Les auteurs théâtraux du Classicisme imitent et s'inspirent

ressemble à de la prose : de nombreux alexandrins sont partagés en plusieurs courtes répliques entre les deux personnages. + Les phrases des longues répliques ne fonctionnent pas sur le rythme de l’alexandrin. La première réplique, par exemple, montre un rejet de l’adjectif « dérobé ».