Comique de répétition

Le comique de mots Il existe 4 sortes de comique : le comique de mots, le comique de gestes, le comique de situation et le comique de caractère. Le comique de mots repose sur plusieurs procédés : - la répétition d'un même mot ayant plusieurs sens : la ville de « Caen » et l'adverbe interrogatif « quand », Troie et le chiffre trois, etc. - le quiproquo : deux personnages croient parler de la même chose. Dans l'Avare, Harpagon parle de sa cassette que son intendant Valère lui aurait volée

grand comique du cinéma américain : Buster Keaton. Lui c'est le personnage impassible (il ne sourit jamais, ne laisse rien exprimer sur son visage, c'est l'inexpressivité absolue). Influence du théâtre orientale qui a mis à l'honneur la danse, le chant, la gestuelle, ce n'est donc pas un hasard si la pièce s'ouvre sur un corps qui se déplace presque de manière chorégraphique. Les étranges répétitions : Clov fait six fois la même chose, chorégraphie très répétitive, mécanique + répétition des mêmes

l’antique, des hauts de chausses et un pourpoint avec des aiguillettes), vêtement du 16e alors que ses enfants son à la mode du 17e Il a une monomanie invasive, il a peur d’être volé Champs lexical du vol: C’est une scène comique et elle est traduis par un comique de répétition. En effet, Harpagon fouille La Flèche durant une grande partie de la scène et l’accuse à tort de l’avoir volé. b) L’avarice est le fait de ne jamais se séparer de ses biens, Harpagon économise sur tout et refuse de faire

peine », ou « Une heure d’anglais » ou « Big Ben folies ! » : ces premiers titres faisaient directement allusion à la méthode Assimil mais Ionesco craignait que sa pièce passe pour une satire des Anglais. En fait, il trouva le titre en assistant à une répétition de la pièce :un acteur a commis un lapsus et au lieu de parler d’une « institutrice blonde » comme il était question ds le texte de la pièce, une étourderie lui fit dire « cantatrice chauve » ! situation du passage :Dès le début de la pièce, l’absurde

explicative (mais sans virgule). Il faut comprendre que l’ensemble des habitants de Lerné pillent la vigne. On note la surprise suscitée par le paradoxe d’ « ennemis » en train de « vendanger », activité agricole saisonnière et conviviale : l’effet comique et burlesque est garanti par ce télescopage. Le vin, source de vie et de vitalité dans le roman, fait l’objet de toutes les attentions. L’énumération « sans ordre, sans enseigne, sans trompette ni tambour » accumule les négations soulignant l’absence

plaisante pour séduire le spectateur. En effet, cette scène cherche à séduire le spectateur. Pour cela, nous verrons que différents types de comiques sont utilisés mais aussi que des débats qui ont un caractère universel sont décrits. Tout d’abord, le comique est utilisé dans cette scène d’exposition. En effet, on retrouve du comique de situation et de caractère : la querelle entre les deux amis est ridicule du fait que la cause n’est pas de grande importance. Alceste prend cela

UE 32 – séance du 2 nov. 2010 - Commentaire d’un dialogue comique Molière, Le Misanthrope, Acte I, scène 2 (extrait) Alceste, « le misanthrope», cultivé et homme de goût, est sollicité par Oronte, un mondain, qui se mêle de poésie et lui demande son sincère avis sur le sonnet qu’il vient de composer. Philinte, ami d’Alceste, assiste à la scène. (…) ORONTE « Sonnet... » C'est un sonnet. «L'espoir... » C'est une dame Qui de quelque espérance avait flatté ma flamme. « L'espoir... » Ce ne sont point

le médecin. Oxymores comiques et cyniques : « bonnes pestes » prétention ridicule des médecins. « Que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins » gradation et vœu paradoxal « c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe » but uniquement personnel : gloire et non guérison du malade. Se vante de connaître de grands médecins. Il traite ses confrères d’ignorants, ceci renforcé par le comique de répétition concurrence entre eux

à l’universel. Il met donc en scène l’intervention d’animaux symboliques tels que les rhinocéros (force et sottise) afin de montrer comment une idéologie peut métamorphoser une population et aliéner son libre arbitre. L’union du tragique et du comique (grotesque) permet également une réflexion plus large sur le langage et la communication typique du théâtre de l’absurde . Progressivement, les habitants d’une petite ville tranquille et conformiste deviennent des rhinocéros, même les engagés, les

vitesse en ne se souciant pas du rythme. Il lui arrive aussi de s’arrêter pendant une chanson, victime de trous de mémoire. De plus, il se dandine, se balance verticalement, s’appuie sur le piano, ce qui a pour effet, malgré lui, de rajouter du comique à son Boby n’arrête pas pour autant l’écriture : il met ses poèmes en chanson et cherche des interprètes. Il ne veut pas les chanter lui-même. En 1956 sort « Poisson d’avril », un film dans lequel Bourvil interprète « Aragon et Castille ». Mais