Comique La Bruyère

donne des réponses sur cette question. Le premier document donne quasiment le thème de ce corpus : il est extrait du Rire, Essai sur la signification du comique, publié en 1899 par Henri Bergson. Le deuxième document est intitulé "De la ville", c'est un extrait des Caractères ou les mœurs de ce siècle de 1688, dans lequel Jean de La Bruyère dénonce ceux qui passent leur temps à rire des autres. Les deux derniers documents de ce corpus sont très récents : Axel Kahn montre dans L'Homme ce roseau

le vingt-et-unième siècle. Le premier document donne pour ainsi dire la tonalité du corpus : il est extrait du Rire, Essai sur la signification du comique, publié en 1899 par Henri Bergson. Le deuxième document est non moins célèbre : intitulé "De la ville", c'est un passage des Caractères ou les mœurs de ce siècle (1688), dans lequel Jean de La Bruyère fustige avec une délectation acide la ville et ses microsociétés, composées de ceux qui passent leur temps à rire des autres. Les deux derniers documents

Caractères, Livre V, "De la société et de la conversation" (remarque 74) La Bruyère Parmi tous les travers d’esprit critiqués par la littérature, le pédantisme est peut-être l’un de ceux que l’on attache le plus à l’humour. À cet égard, le XVIIe siècle s’illustre tout particulièrement, et dans des genres aussi variés que la fable (l’écolier, le pédant, et le maître d’un jardin, La Fontaine), ou le théâtre (les femmes savantes, de Molière). Tandis que le siècle précédent avait vu dans

Introduction : Jean de la Bruyère est un moraliste du XVIIe siècle, contemporain de Louis XIV. Il présente Les Caractères (1688) comme la continuation des Caractères de Théophraste (auteur grecque du IVème siècle) mais il enrichie et dépasse les textes sources. L’ouvrage est constitué d’une succession de portraits et de remarques. Derrière chaque portrait, tantôt comique, tantôt acerbe, se cache la peinture d’un type humain : vanité, hypocrisie, flatterie... Il met ainsi en lumière la comédie

Introduction Présentation de l’auteur et de son oeuvre : La Bruyère livre dans Les Caractères sa vision de la société du XVIIe siècle. L’écrivain est un fin observateur, un témoin bien placé pour décrire la cour de Versailles, il excelle dans l’art du portrait. Le sujet central des descriptions de ce moraliste est le courtisan, qui mène une vie de représentation. Une réflexion morale en découle : La Bruyère fait un tableau satirique de ce petit théâtre du monde dont il montre les vices. Suggestion

Explication linéaire numéro 2- portrait de Giton Introduction : Notre extrait provient du chapitre 6 « Des biens et fortune » du livre de La Bruyère intitulée « les caractères et les mœurs de ce siècle », qui montre le rôle prépondérant de la richesse matérielle dans la société décrite par l'auteur. Dans ce chapitre la bruyère porte un regard critique sur le pouvoir que donne l'argent. Notre remarque occupe une phase stratégique, c'est la dernière remarque (numéro 83) c'est le point culminant de

francais7) Dans tous ses fragments si La Bruyère prend partie d’une manière impartial comme un juge comme dans le caractère 47 du livre VI “ je me jette et me réfugie dans la médiocrité” ici “médiocrité” n’a pas de connotation péjorative et évoque le juste milieu, il ne dit pas de qui il prend partie d’un camps ou d’un autre, il préfère vivre dans la modestie “ni malheureux, ni heureux” donc ni pauvre ni riche pour ne pas être coupable. Il parle aussi en témoin de son temps au discour direct : “j’entends

bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait pas un homme d'esprit qui veut se faire entendre." ( Des ouvrages de l'esprit, 17) La Bruyère accordait une importance particulière à l'art de bien dire, de dire "juste" et se méfiait de l'éloquence trop fleurie de certains discours comme il le précise plus particulièrement dans le chapitre De la chaire : " L'orateur fait de si belles images

Le Classicisme. * Ces auteurs respectent des règles d’écriture très strictes inspiré de l’antiquité comme les trois unité. Le plaire et instruire: placerer docere. * Les principaux auteurs sont Molière, La Fontaine, Corneille, Racine et La Bruyère. IV. Le XVIIIè siècle : Les Lumières. * Ce sont des philosophes qui s’appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l’esprit critique et lutter contre toute forme de préjuger. Ils

Théodote qui met beaucoup d'efforts à convaincre les hommes. La Bruyère est ironique quand il parle des "petites manières" que possède cet homme puisqu'elles sont un substitut grotesque de l'élégance des grandes manières que ne possèdent pas les courtisans. l'auteur est d'autant plus moqueur lorsqu'il compare Théodote à un enfant qui jouit de chaque moment donné tel qu'un château de cartes ou une chasse aux papillons. on note que le comique est très présent tout au long de ce chapitre que ce soit dans