Comique Sérieux

Dissertation des aspects comiques d’une pièce de théâtre Par son origine religieuse, le théâtre joue du sérieux et de la dérision. Si la tragédie montrait très clairement la catharsis, la comédie n'était pas en reste pour corriger les mœurs en riant. Aussi nous allons nous interroger sur cette fonction si les aspects comiques d'une pièce de théâtre ne servent qu'à faire rire. Par ailleurs, comment comprendre les aspects comiques à la fois du texte et de sa représentation sinon par le fait que

Introduction Présenter l'auteur et l'œuvre : Gargantua. François Rabelais était un humaniste. Il a vécu un temps en abbaye. Lecture de l'extrait Annonce des axes Etude Effet comique u Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => impression de moquerie, public choisi tourné en ridicule u figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens

Introduction Présenter l'auteur et l'œuvre. François Rabelais était un humaniste. Il a vécu un temps en abbaye. Lecture de l'extrait Annonce des axes Etude Effet comique u Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => mpression de moquerie, public choisi tourné en ridicule u figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. u Exagération

dans son ouvrage «De l'essence du rire», il n'y aurait pas de rire sans Homme. Tout ce qui fait penser à l'Homme déclenche le rire que ce soit un animal ou une chose. C'est l'idée défendue par Henri Bergson, dans son essai sur la signification du comique en 1900 qui ajoute que ce rire permet de nouer des relations dans la société en créant une complicité commune. Cette idée apparaît également dans le texte de Baudelaire qui met en valeur le signe de la civilisation qui est en fait le rire. Le rire

réécriture, outre le simple plaisir de la répétition ? Nous axerons notre réflexion sur les deux facettes apparentes de la réécriture : tout d'abord son aspect comique, que développent certaines ?œuvres, puis son aspect plus sérieux, qui s'inscrit dans des enjeux polémiques ou philosophiques. La réécriture présente tout d'abord un aspect comique pour le lecteur. L'auteur établit avec le lecteur un jeu de références à l'œuvre originale qui porte au rire. En effet, l'auteur de la réécriture veut se servir

personnage une importance particulière. On peut le voir comme un contrepoint, une antithèse de Dom Juan, un contraste comique, balourd autant que son maitre est élégant, moralisateur autant que l'autre est cynique, lâche autant qu'il est courageux, superstitieux autant qu'il est libre d'esprit, niais autant qu'il est fin. Il permet de maintenir la pièce dans le registre comique quand elle vire au tragique. Tout le monde s'accorde sur ses traits caractéristiques principaux : couardise, superstition

Frosine flatte H aisément jusqu’à un degré évidemment ridicule, mais H ne comprend pas ce manque de sincérité: “par ma foi, je disais cent ans, mais vous passerez les six-vingts”. H est vain et, dans cette scène, assez stupide. Ceci a un effet comique, mais cette comédie ne masque guère le caractère malade et tragique de H. H n’accepte pas le rente virtuel de douze mille livres proposé par Frosine, grâce aux goûts simples de Mariane: “il faut bien que je touche quelque chose”. Il faut que H

La charcutière retrouve son aspect prospère. Elle se multiplie même : Auguste et Augustine se marient et ouvrent une boutique. Le comique et la satire : La diffculté de la notion de comique, dans un roman de Zola, vient de la notion même de realisme. Cette problematique, déjà perceptible dans Le Tartuffcet Dom Juan de Moliere est celle des rapports entre serieux et ridicule. La comedie classique, situant son action dans un milieu médiocre, considere ses personnages comme ridicules avant même

sont ridiculisés. D’ailleurs tout le monde connait au moins unepièce ou ne serait ce qu’un personnage que Molière a inventé et mit et scène et cela grâce aux scènes mythiques de ses pièces. En effet la comédie est tout le contraire de l’ennui, du sérieux, de lapensée et même de la réflexion et pourtant l’amusement qu’elle propose n’est pas son seul but, nous nous demanderons alors si la comédie est un pur divertissement. Plus précisément nous nousdemanderons si la comédie a pour unique fonction d’amuser

autre femme. Cette scène est un mélange de tragédie, avec la tirade de Done Elvire qui est à la fois lyrique et pathétique, et de comédie avec le personnage de Sganarelle. Tout d’abord nous étudierons l’aspect tragique de la scène puis son côté comique. Dès les premiers vers de la scène 3, de la ligne 1 à 27, le texte prend un ton tragique. Tout d’abord, ligne 1 à 5, Done Elvire manifeste sa déception envers l’attitude de Don Juan qui est surpris de la voir. Malgré son choc, elle parle avec