Comique Sérieux

Alors comment introduire cette ambiguïté dans un plan thématique ? A mon sens, deux solutions, dont l'une est plus élégante que l'autre : 1) d'abord des parties qui correspondraient aux différents types de comique en précisant à chaque fois que le fond sérieux est traité de manière comique, 2) ensuite (et je préférerais cette voie) - une première partie qui traiterait de la comédie de moeurs (les sujets graves qui sont abordés) : fausse dévotion, etc. mais aussi la critique de l'entêtement

Avertissement aux lecteurs Problématique : En quoi ce prologue propose-t-il une oeuvre singuliére et en même temps donne t'il un guide de lecture auprès des lecteurs I/ la singularité de l'oeuvre Dès le début, il y a une tension entre sérieux et comique, proche du registre burlesque. On y trouve une certaine rigueur dans le raisonnement; interrogation oratoire, connecteurs logiques....mais aussi une référence à Platon, qui définissait le chien comme " celui que l'on aime pour ce qu'il est

politique, connu pour ces idées d’extrême droite, et provoquant ainsi un « tabou ». Cette émission radio cherche a rire avec tout le monde, nous pouvons le constater quand elle refuse de se prendre au sérieux en disant qu’elle tente d’être comique ( malgré le fait qu’elle soit une émission de radio dite comique). Ainsi, l’humour quel pratique est destiné a tout les auditeurs, et pas seulement qu’a quelques un. Pour Pierre Siankowski (document 3, Label France n°56) , l’humour est limité par le politiquement

Ionesco se moque du code, du temps grâce à l'horloge qui se dérègle, qui devient folle : 17 coups ( impossible ), puis 7 et 3 à la suite, puis 0 ( incohérent) , puis 2, puis 10 => Dénonce le côté artificiel. 2)L'unité de lieu ou l'exagération comique d' «anglais »: la deuxième convention détournée est la convention de lieu. L'action est à Londres ( en cohérence avec la didascalie), insistance sur le mot anglais ( 15 fois dans la didascalie), tourne en dérision l'unité de lieu. La première réplique

résistance qu'il leur oppose. Le discours tragique est ainsi caractérisé par le lexique de la fatalité et du désespoir. comédie : Pièce de théâtre en un, trois ou cinq actes dont le but est de faire rire le public. Différentes formes de comique sont ainsi utilisées (comique de geste, de mots, de situation…). La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l’argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere

ton beaucoup plus sérieux et un cadre global plus orienté sur la critique et la vérité, comme par exemple lorsque le médecin annonce le prix ("J'aime mieux vous prévenir tout de suite que ce sera très long et très coûteux."). De plus, le médecin garde un ton grave à l'opposé du personnage du médecin volant qui n'hésite pas à garder un ton très comique et faisant des actions inimaginable. Enfin, le texte de Jules Romain ce distingue d'une dernière manière : avec son côté sérieux, il nous montre ainsi

trois règles fondamentales : L’action doit se dérouler en vingt-quatre heures, en un seul lieu et doit être constituée d’une seule action. On voit apparaître de nombreux dramaturges mais le plus important, pour les pièces comiques, est Molière.  Cet auteur est apprécié car son comique est toujours significatif, c’est-à-dire qu’il cherche à faire rire en s’inspirant de la réalité. Ainsi, à travers Tartuffe, comédie écrite en 1669, Molière aborde le sujet de l’hypocrisie en décrivant le faux dévot qui

aussi relever le champ lexical de la mort et de la dépossession . Transition : Molière a fait ressortir les vices d’Harpagon sont en utilisant différents types de comiques et de nombreux procédés. 2) Lorsqu’on parle de cet pièce on parle d’une comédie .On observe tout d’abord un comique de langage développé, cet forme de comique traduit l’avarice du personnage avec notamment de nombreuses oxymores :« mon pauvre argent » , une personnification de l’argent : « mon cher ami » il considère sa fortune

compose de dialogues et se caractérise par la double énonciation (les personnages dialoguent entre eux, mais à travers leurs paroles, l'auteur s'adresse aux spectateurs). La double énonciation se manifeste notamment dans le quiproquo (malentendu comique, le spectateur connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie

fut représenté au théâtre en 1663. Nous sommes au début de la scène 5, un débat est en cours entre Dorante, un chevalier partisan de la pièce l’Ecole des femmes avec Le Marquis, un contradicteur. Comment Molière passe-t-il d’un texte critique à comique ? En premier lieu, nous allons commencer par la querelle et le débat vide de sens et de fond entre les deux personnages, puis nous développerons sur le parterre, ses préjugés et son éloge. Dans cet extrait de la scène 5, Dorante entre in