Comique Sérieux

Le Rire: essai sur la signification du comique, 1900. 2. C. BAUDELAIRE, «De l'essence du rire», Salon de 1846. 3. J. HOLT, «Quinze muscles faciaux et quelques bruits involontaires», article traduit d'une publication dans The Guardian pour Courrier international, supplément au n° 978-979-980, 1°-18 août 2009 © Profile Book. 4. Affiche du film Le Corniaud, 1965. • Document 1 : Henri BERGSON, Le Rire: essai sur la signification du comique, 1900 Voici le premier point

La comédie est un genre théatral ayant pour but de divertir en représentant les ridicules des caractères et des moeurs d'une société. Quelque chose qui est comique peut aussi bien signifier quelque chose qui provoque le rire que quelque chose qui est lié à la comédie. La comédie et le rire sont ainsi très fortement liés.Dans un premier temps on étudiera avec quels procédés d'une comédie pour faire rire et sourire et dans un deuxieme

grande querelle , la querelle de l'école des femmes , car Molière y remet en cause la condition de la femme de son époque et le statut du mariage chrétien . Nous nous demanderons comment l'excessivité d'Arnolphe nous pousse à ne pas le prendre au sérieux . Nous traiterons tout d'abord dans notre commentaire du couroux de cet homme trompé , puis nous parlerons de la face amoureuse d'Arnolphe , et enfin nous aborderons l'aspect ridicule de ce monologue . Dans le but de comprendre pourquoi le couroux

certaine simplicité, une brièveté, une possible identification (voir le récit court et plaisant, enlevé….) = utilisation du registre comique (les fables comme de petites comédies) ; « Instruire » suppose un ton plus sérieux, plus grave. La encore, il faut trouver une notion qui permette de faire le lien entre ces deux attitudes : l’ironie, qui tient à la fois du comique et de l’argumentatif, car elle suppose une réflexion de la part du lecteur qui doit entendre le discours de l’auteur sous celui

Selon le Larousse, c’est une forme Forme d'esprit qui cherche à mettre en valeur avec drôlerie le caractère ridicule, insolite ou absurde de certains aspects de la réalité, qui dissimule sous un air sérieux une raillerie caustique. Dans un texte littéraire, il y a évidemment de très nombreux procédés comiques qui peuvent être appliqués tel que la répétition, la redondance et l’exagération, qui permettent un effet « burlesque », il y a l’ellipse, la litote, les métaphores, les euphémismes et l’antiphrase

dangereuse, de tragique. La farce se transforme en ironie de plus en plus sèche, le rire en grincement… pour finalement s’achever gravement avec la mort du héros. Cette gradation quifait passer la pièce du comique au drame, ce changement de registre au profit du sérieux fait presque oublier la dimension comique de l’œuvre, rappelée au spectateur par le bouffon Sganarelle, luifaisant ainsi comprendre que tout cela n’est qu’une parodie. Le divertissement ne serait donc pas le but premier de Molière avec Dom

LES REGISTRES Définition : Un registre donne à un texte sa « tonalité », et vise une émotion particulière chez le destinataire : le rire, la pitié, l'admiration, l'amusement... On relève des registres sérieux, des registres plaisants et des registres qui jouent sur la notion de réalisme. Le registre pathétique, du grec pathos (la passion), cherche à émouvoir le lecteur ou le spectateur par des situations ou des discours marqués par la souffrance ou l'affliction. Procédés : Le lexique de l'émotion

nous découvrons un nouveau personnage : Chérubin. Nous apprenons que Chérubin a été surpris par le Comte avec Fanchette et qu’il est chassé du château. La tonalité de la scène est comique et lyrique. Au cours d’une étude thématique, nous étudierons comment cette scène qui participe à l’exposition est une scène vivante, comique, et révélatrice de la personnalié de Chérubin. I/ Une scène d’exposition 1) Présentation du personnage de Chérubin  Chérubin est un adolescent Il est inexpérimenté, précipité :

Introduction La Fable, genre tres ancien (Esope, Phedre) mais mineur jusqu’au XVIIeme siecle ou La Fontaine lui donne ses lettres de noblesse et en fait un genre litteraire a part entiere. Ce texte appartient au 2eme recueil (IX, 4) : enjeux plus serieux. Or ici La Fontaine s’inspire de la farce populaire qu’il transforme en fable. La fable prend l’allure d’une petite comedie, vivante et populaire, mais comme la comedie qui « chatie les mœurs par le rire », elle porte, sous l’apparence d’une demonstration

sur quels thèmes sommes-nous autorisés à rire ? Peut-on rire de tout ? Tout d’abord nous verrons que oui, nous pouvons rire de tout. Puis dans un second temps nous verrons qu’afin d’être bien interprété, le rire se doit d’utiliser certains procédés comiques. Tout d’abord, la question « Peut-on rire de tout ? » apparait dès que le rire possède une fonction critique ou de résistance. Comme nous le montre Pierre Desproges dans son Réquisitoire contre Jean-Marie Le Pen, nous pouvons rire de tout mais