Comité de Bâle

professionnelles ou la méthode de Z-score pour déterminer le risque de défaillance des entreprises, le Comité de Bâle II propose le système de notation interne comme un nouveau moyen de gestion de risque de crédit qui servent à l’évaluation des risques de crédit, à l’attribution des notations internes et à la quantification de l’estimation des pertes . La banque d’Etat du Vietnam a traduit ces exigences de Bâle II par la décision 57/2002/QD-NHNN portant sur les règles de base pour la construction d’un système

(alourdissement des emprunteurs publics dans les crédits distribués, relâchement dans la gestion...)1 De même, il existe des instances qui encadrent l’activité du crédit à l’échelle international tel que le comité de Bâle. 1.2. Les accords de Bâle : instrument universel pour encadrer l’activité du crédit Le Comité de Bâle ou Basel Committee on Banking Supervision (BCBS) vise à assurer la stabilité et la Fiabilité du système bancaire et financier. A travers l’établissement de standards minimaux en matière de contrôle

REMERCIEMENTS Un certain nombre de personnes ont contribué avec des commentaires, propositions/suggestions et idées introduites à des étapes différentes lors de la préparation de ce papier. Nous tenons à remercier les membres du Comité d’élaboration des Politiques de la Banque Islamique de Développement (BID) ainsi que nos collègues de l’Institut Islamique de Recherche et de Formation (IIRF) pour leurs suggestions précieuses lors de la formulation de la proposition du présent

monétaires) sont nécessaires à l’élaboration de politiques monétaires. Ainsi, les banques établissent mensuellement ou trimestriellement des « situations » qui ont la forme de bilan mais pas nécessairement la rigueur d’un arrêté comptable. En France, le Comité de la Banque de France (CBF) se charge de relever et de traiter les informations des banques. Les spécificités du compte de résultat : Le compte de résultat d’une banque est inspirée de la forme anglo-saxonne : il est présenté sous forme de liste

Générale Partie I : Le risque de crédit : Principal risque bancaire Chapitre I: LE RISQUE DE CREDIT : cadre réglementaire Section 1 : Définitions du risque de crédit Section 2 : Le Ratio européen de solvabilité  Section 3 : La réforme du comité de Bâle II  Chapitre II : La gestion du risque crédit Section 1 : La stratégie bancaire en matière de gestion du risque crédit  Section 2 : Gestion des Fonds propres bancaires et risques  Chapitre IiI : L'analyse du risque crédit au sein de la

organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle, de gouvernement d'entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité. (Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, 2001) Pour Jacques RENARD J. (2010) a présenté l’audit interne comme l’odeur du gaz c’est rarement agréable mais cela peut parfois éviter l’explosion ». En effet, les activités d’audit interne sont conduites dans

grecque met la zone euro sous pression, LeMonde.fr, 03/10/2011 Document 9: Dexia prise en étau entre subprimes et crise de la dette, LeMonde.fr, 04/10/2011 Document 10: Accord historique du comité de Bâle pour renforcer la solidité des banques, Portail du gouvernement, 16/09/2010 Document 11: La réforme bancaire de Bâle 3 pour les nuls, L'Expansion, 13/09/2010 Document 12: L'Allemagne dit oui au renforcement du fonds de soutien européen, Reuters, 29/09/2011 Document 1 : Le débat européen reprend sur

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Saines pratiques pour la gestion et la surveillance du risque opérationnel Février 2003 Pour obtenir un exemplaire des publications BRI, veuillez vous adresser à : Secrétariat du Comité de Bâle sur le contrôle bancaire c/o Banque des Règlements Internationaux CH–4002 Bâle, Suisse Mél : publications@bis.org Télécopie : +41 61 280 9100 La présente publication est disponible sur le site Internet BRI (www.bis.org). © Banque des Règlements Internationaux

(analyse ou contrôle absent ou incomplet, procédure non sécurisée), de son personnel (erreur , malveillance et fraude), des systèmes internes (panne de l'informatique,...) ou à des risques externes (inondation, incendie,...). Dans le cadre du dispositif Bâle II, la définition du risque opérationnel, les procédures à mettre en place pour le limiter et les méthodes de quantification ont été normalisées. L'objectif de ce dispositif, mis en place dans les banques européennes en 2008, est d'éviter le risque

(erreur humaine, malhonnêteté, cataclysmes externes) et des plus difficiles à appréhender du fait de la diversité et de l’entrelacs des facteurs sous-jacents. Pourtant, ne serait-ce que pour les seules banques, l’enjeu est de taille, puisque le comité de Bâle prévoit, au cas par cas, une réduction possible des ratios exigés à condition qu’une meilleure maîtrise du risque opérationnel puisse être mise en avant. S’ouvre alors la question des meilleurs dispositifs possibles permettant de prouver cette