Comité de Bâle

propres diffusé en juin 1999 par le comité de Bâle s’inspire lui-même en plusieurs points, directement ou indirectement des enseignements tirés de la crise de 1998. Ainsi, les banques internationales qui vivent sous l’emprise du ratio Cooke depuis une petite dizaine d’années vont bientôt passer sous les fourches du ratio Mc Donough. En effet le comité de Bâle vient de franchir une nouvelle étape pour renforcer la solidité des systèmes bancaires. Depuis l’accord de bâle de 1988, les banques à vocation

niveau de sa dynamique de propagation, la crise systémique actuelle a favorisé une remise en cause de l’efficacité des différentes mesures réglementaires de prévention et de gestion du risque. A cet égard, les ratios prudentiels (imposés par les comités de BALE I et II), les mesures de surveillance internes, les mécanismes de notation et les récentes évaluations comptables, se sont avérés incapable à anticiper, à évaluer et à gérer la crise. Au Maroc, la libéralisation financière demeure contournée.

privées marocaines, de banques publiques et de banques à capital étranger», rappelle le CMC qui indique que celle-ci est basée sur «la concertation avec les banques dans le cadre de structures mixtes GPBM/Bank Al Maghrib». Sept commissions dont un comité de pilotage ont été créées pour couvrir plusieurs chantiers. C'est le cas des commissions mixtes sur le risque opérationnel, sur les systèmes d'information, sur le risque de marché et sur les piliers 3 et 2. Les résultats des travaux de ses organes

risques…………………………………... Page 37 3.3.1 Risque de crédit……………………………………………… Page 37 3.3.2 Risque de marché …………………………………………… Page 38 3.3.3 Risque opérationnel…………………………………………. Page 39 3.4 Le ratio Cooke………………………………………………………. Page 40 3.5 Le ratio McDounough « Bâle II » …………………………………… Page 41 Mastère Spécialisé Auditing, Management Accounting and Information System 8 Thèse Professionnelle 2005 - 2006 ! "# $ % CHAPITRE 4 : LE CONTRÔLE INTERNE ………………………… Page 44 4.1 Les composantes du COSO…………………………………………

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attache [Flannery (1989)]. 2- Les exigences réglementaires en pratique : Au début des années 1980, l’affaiblissement du niveau des fonds propres des principales banques internationales et l’accroissement des risques ont conduit les membres du comité de Bâle à publier en 1988 un accord international destiné à renforcer la stabilité du système bancaire . 6 Cet accord a instauré le ratio international de solvabilité, dit ratio Cooke, qui repose sur le principe qu'un établissement doit proportionner

Veille stratégique Gestion actif-passif: le pilotage du bilan dans le nouveau cadre réglementaire Le nouvel accord de Bâle met fortement l’accent sur le besoin d’une gestion rigoureuse du risque de taux présent dans tout le bilan bancaire. La banque doit être en mesure d’identifier l’impact de la variation du taux d’intérêt sur la valeur de marché, le capital économique et sur son revenu. Il lui faut sélectionner les méthodologies et les indicateurs de pilotage adéquats. Majdi Chaabouni Responsable

risk-management.ch Gestion des Risques Bancaires www.risk-management.ch Avec le soutien de Certificat de Formation Continue Universitaire Gestion des Risques Bancaires Année 2006-2007 Page 2 Objectifs et public cible Directeurs Comité consultatif Intervenants Approche pédagogique et programme Prérequis et Module préparatoire Modules 1 à 8 Renseignements pratiques: • Conditions d’admission • Certification et droit d’inscription • Chèque formation • Inscription • Informations Bulletin

risque) Renforcement des réglementations : Comité de Bâle Bâle 1 en 1988 Mise en place du ratio Cooke, limiter le risque de crédit. La banque couvre ses pertes par ses capitaux propres. En l’absence de capitaux propres, la banque utilise les dépôts des clients ou fait des emprunts. Un niveau important de fonds propres permet d’éviter la faillite de la banque face à des pertes. Ratio Cooke : Mt des fp réglementaires/ Mt des engagements de crédit > 8% Bâle 2 en 2004 : Ratio MacDonough -Affine la

division des risques. » Ces normes de gestion sont des normes quantitatives qui permettent d’évaluer les risques encourus pour limiter au maximum les perturbations financières. En France, le comité de la réglementation bancaire et financière (CRBF) [8] a pris en compte les premiers travaux du comité de Bâle [9] et les directives communautaires pour définir ces normes autour de la notion de fonds propres. Deux exemples : ( ratio de solvabilité (inspiré du ratio Cooke) : il apprécie le risque