Comité de lutte contre les infections nosocomiales

interne détectée avant que le service ne soit délivré. Défaillances externes Erreur qui est découverte consommateur et qui le directement. Coûts d'infections réhospitalisation, etc. par le touche EXEMPLE Coûts liés aux surtemps de travail. nosocomiales, Le coût d'investissement dans la qualité et le coût de la non-qualité qui constituent le COQ sont des aspects différents de la qualité. Le coût d’ investissement dans la qualité mesure la mise en œ uvre de méthodes ; le coût de la non-qualité

femmes que pour les hommes) * Catégories sociaux professionnel * Zone géographique (désert médicale) La prise en compte des besoins de Santé : Elle passe par : * La surveillance et l’observation de l’état de santé de la population * Lutte contre les épidémies * La prévention * L’éducation pour la santé * La promotion pour la santé * La réduction des inégalités de santé * La démographie des professionnels de santé  * Organisation du système de santé. L’organisation du

Base de données ADM : Aide au Diagnostic Médical ADREV : Association des Directeurs de Réseaux de Visite Médicale AES : Allocation d'Education Spéciale (pour les enfants handicapés de moins de 20 ans) AFCI : Association médicamenteuse Formellement Contre-Indiquée AFFOP : Association Fédérative Française des Organismes de Psychothérapie AFIPA : Association Française pour l'Industrie Pharmaceutique pour une Automédication responsable AFML : Association de Formation des Médecins Libéraux AFPA :

SRESRESSPRHRISUMREMSDéléguéService administratifet économiqueOrganigramme d’un hôpitalMardi 2 février 20XXExemple de Texte de Pied de page14 lig toLolloO# | +AROZ Ministare de la Santé ener Peay Comité de suivi et d’évaluation Comité de lutte contre les infections nosocomiales Beet £ Poles des J Pie lic-s4 Pure reat médicales ff 2dministratives f infirmiers

d’autonomie. La journée de solidarité : Elle est mise en place en 2004 pour financer la prise en charge des personnes en perte d’autonomie, elle fait suite à la canicule de 2003, qui a révélé les insuffisances de l’accompagnement des PA en France. En contre partie du lundi de Pentecôte travaillés, les employeurs publics et privés versent une contribution de 0,3% de la masse salariale. Entre 2005 et 2010 cette journée a rapporté plus de 12 milliards d’euros. C. Les autres caisses * La CRAM :

appelés aussi « Meticillin Resistant Staphylococcus aureus : MRSA » sont des souches ayant développé une résistance aux pénicillines M (méticilline, oxacilline, flucloxacilline). La prévalence des infections staphylococciques, nosocomiales et communautaires, augmentent régulièrement. Le traitement de ces infections est devenu de plus en plus difficile à cause de l’émergence de souches multirésistantes, phénomène observé à l’hôpital mais aussi en ville (Martres et al., 2003). Ils devraient ainsi faire l’objet

un conseil d’administration et un directeur. Il prend les avis de plusieurs organes consultatifs : la commission médicale d’établissement et la commission du service de soins infirmiers assurent la représentation des médecins et des infirmiers, le comité technique d’établissement celle des organisations syndicales. Le centre hospitalier x comprend deux pôles d’activité de soin : • Le site A où se trouvent les services de médecines, la chirurgie, les urgences, la maternité, la pédiatrie

soins. Le CLIN : Le Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales,veille au respect des procédures concernant l'hygiène et les bonnes pratiques pour lutter contre les infections contractées à l'hôpital, dites nosocomiales. Le CLUD : le Comité de Lutte contre la Douleur est constitué d'une équipe de professionnels qualifiés et veille à une bonne prise en charge de la douleur dans l'établissement.. Le COMEDISM : le Comité du Médicament regroupe les médecins

séjour on doit assurer une continuité des soins prodigués au malade au domicile ou dans un établissement public de soins. Afin de garantir le principe de non discrimination, deux textes sont à connaitre, la loi du 29 juillet 1998 relatives à la lutte contre les exclusions, cette loi affirme que l’accès préventif ou curatif est une priorité ainsi à l’échelle de chaque région il préconise des programmes d’accès aux soins pour les plus démunis mis en place sous l’égide du préfet de régions et la loi

consultations pré et postnatales, accouchements en toute sécurité et soins prodigués à la mère et à l’enfant; prévention et traitement approprié de la stérilité ; prévention de l’avortement et prise en charge de ses conséquences ; traitement des infections génitales, maladies sexuellement transmissibles y compris le VIH/SIDA ; le cancer du sein et les cancers génitaux, ainsi que tout autre trouble de santé reproductive ; et dissuasion active de pratiques dangereuses telles que les mutilations sexuelles