Comité de salut public

des révolutionnaires modérés (les girondins) le 31 mars 1793. Cela conduit à un glissement de l'autorité de la Convention au Comité de salut public, puis à Robespierre. C'est le début de la Terreur. 3 le 9 Thermidor an II (27/071794), la Convention lasse de la Terreur fait exécuter Robespierre. Elle éparpille la puissance du Comité de Salut Public au profit de plusieurs comités. Fin de la dictature révolutionnaire. Bilan institutionnel: la dictature a été rendue possible sur le plan juridique pour

proclamation de la République : - le 4 sept, le peuple envahit le Palais-Bourbon, exigeant la déchéance de l’Empire - la Révolution se fait dans le calme : « jamais révolution ne se fit avec une telle douceur » (J Ferry) - comités de vigilance dans chaque arrondissement, fédérés dans le Comité central de la Défense Nationale des Vingt arrondissements Proclamation de la Rép est l’aboutissement de l’opposition des villes au régime : - Constitution de 1852 attribue à Nap III tous les pouvoirs - Revendication

Michelet, Histoire de la Révolution française , V , v , 1847 – 1853 Introduction : contexte : 1789 Révolution française , abolition des privilèges 1793 : Mort de Louis XVI guillotiné + la Terreur avec Robespierre à la tête du Comité du Salut Public ) . Ce sont les Girondins ( modérés ) face aux Jacobins ( qui sont extrêmes ) = climat de suspicion , espionnage et délation . C'est l'époque où les nobles sont appelés les immigrés ( car ils sont partis de la France ) . 1802-1815 Napoléon

l’abolition des droits féodaux et de la dime. Après la nuit du 4 Août l’AN décide de rédiger une constitution en commençant le 26 Août par la DDHC. A cette époque il y avait nécessité de s’entendre sur un schéma général d’organisation des pouvoirs publics et un seul point fait consensus=>le principe de la séparation des pouvoirs : l’exécutif, le législatif et le pouvoir judiciaire. Le point qui fait débat est la question de l’étendu du pouvoir royal : Est-ce que le Roi qui est déjà titulaire de l’exécutif

gratuit, l'attaque en masse ». Elle se terminait par : « Place au peuple ! Place à la Commune ! ». Février : Jules Vallès fonde le Cri du Peuple. « La Sociale arrive, entendez-vous ! Elle arrive à pas de géant, apportant non la mort, mais le salut. » * 18 mars - 28 mai : Commune de Paris o 26 mars : élection de Jules Vallès à la Commune par 4 403 voix sur 6 467 votants du XVe arrondissement. Durant la Commune, Jules Vallès intervient contre les arbitraires, pour la liberté

soixantaine de départements refusent de suivre Paris : on parle alors de soulèvement fédéraliste. C’est dans ce contexte que la convention met en place la Terreur. A partir du printemps 1794, elle orchestrée depuis Paris sous le contrôle du Comité de Salut Public[10] dirigé par Robespierre, montagnard, soutenu par les sans-culottes[11] et le Club des Jacobins. Le Tribunal révolutionnaire se donne le droit de juger sans avoir de preuve en se fondant sur la conviction du juge. La loi des suspects,

bourgeoise des Etats généraux à une répercussion importante. Les termes abordés sont : les droits individuels (liberté presse, liberté religion, égalité, respect du droit de propriété, …), les droits de la nation et les nouveaux principes de droit public (souveraineté nationale, la loi est l'expression de la volonté générale et non plus du roi = le « légicentrisme », …). Tous ces termes correspondent à un programme politique issu de la bourgeoisie. Cette déclaration est tendancieuse : elle n'est

avoir échappé à un attentat, il décide de rembarquer en emmenant sa famille qui s'installe à Marseille.C'est à Auxonne qu'il apprend que la ville de Toulon s'est offerte aux anglais. Après avoir proposé un plan de reconquête de la ville au Comité de Salut Public, le 16 septembre 1793, il obtient le commandement en chef de l'artillerie de l'armée chargée de reprendre la ville. C'est pour lui l'occasion d'imposer ses vues après avoir écarté le général Carteaux, jugé incompétent et que la Convention

linguistique de l´État Français jusqu´au XXIe siècle. Les textes en question sont considérés comme les plus importants de toute la période de la Révolution française au sujet des langues de France (Trabant, 2002, P. 43). Le « Rapport du Comité de salut public sur les idiomes » est exposé par Barère, le 27 janvier 1794. Il est le premier à traiter la question des langues devant la Convention nationale. Le second, le « Rapport sur la nécessité et les moyens d'anéantir les patois et d'universaliser

1788) et pour Roland de La Platière (Encyclopédie méthodique des manufactures, arts et métiers, 1789). En 1792, il est nommé à la division technique des arts et métiers du ministère de l’Intérieur, puis à la section armes et armements du Comité de Salut public en 1794. Cette même année, il publie pour le compte du Conservatoire des Arts et Métiers un recueil de Dessins de Machines et Instruments des Arts. Vie personnelle[modifier] Il se marie en 1751 avec Marie-Anne-Françoise Simmonneau, dont