Commandeur

d’abord, dans son adaptation, Jacques Weber on ne distingue de la statue du Commandeur que sa main et son visage. Et alors que Don Juan monte pour être au niveau de sa tête, il a un malaise cardiaque et tombe. on peut interpréter que la maladie du Don Juan de Weber est occasionnée par ses vices, à manger et boire trop, ce qui reflète son caractère de bon vivant aussi. D’autre part, Daniel Mesguich remplace la statue du Commandeur par trois statues de femmes nues qui font signe à Don Juan d’approcher consumant

sa mésaventure avec les frères de Done Elvire et rajoute qu’il ne peut pas rester marié à elle. Puis, plus loin, il aperçoit une énorme bâtisse, il s’agit d’un mausolée construit sur ordres du Commandeur (que Dom Juan a tué). Ce dernier veut le visiter. A l’intérieur se trouve une grande statue du Commandeur. Dom Juan demande à Sganarelle d’inviter la statue à diner. Sganarelle, un peu moqueur, lui demande. Mais la statue, contre toutes attentes, hoche la tête. Sganarelle est effrayé, Dom Juan reste

frère de remettre sa vengeance à plus tard, puisque Dom Juan lui a sauvé la vie. Ce dernier promet à Dom Carlos d’être à ses ordres dès qu’il le souhaitera. Scène 5 : Restés seuls, Dom Juan et Sganarelle aperçoivent dans la forêt le tombeau d’un Commandeur tué en due par Dom Juan quelques mois auparavant. Celui-ci l’invite à diner, la statue incline la tête, indiquant qu’elle accepte l’invitation. Acte IV Le même soir, Dom Juan attend son dîner chez lui. Les visites se succèdent alors

simple (vers1 et 4) qui situent la scène au moment de l'embarquement. Personnages qui renvoient à la pièce de Molière: le mendiant, les femmes anonymes séduites, Sganarelle et Don Luis, Elvire et enfin le Commandeur et tous semblent harceler encore D.J. Seuls le mendiant et le commandeur qui dans la pièce résistent à D.J ne lui adressent pas de reproches mais conduisent D.J vers son destin (ils se trouvent d 'ailleurs respectivement dans la première et dernière strophes) Références à la mythologie

mondes pour y étendre mes conquêtes » Molière anticipe et annonce la fin de Don Juan B. un dénouement rapide dénouement rapide en deux scènes très courtes, qui sont découpées en trois temps : DJ est confronté au spectre arrivée de la statut du commandeur (châtiment) épilogue de Sganarelle qui pleure la perte de son argent (« Mes gages ») durant ces deux scènes = effet dramatique + urgence qui va crescendo jusqu'à la mort de DJ. Urgence, deux appels au repentir spectre : « Don Juan n'a plus qu'un

des champs de cannes, mais une maison d'habitation avec des annexes (cuisine, entrepôt, cases à esclaves avant l'abolition (Rue Cases-Nègres). Chaque usine était dirigé par un administrateur assisté d'un "géreur", d'un économe, d'un ou plusieurs commandeurs. Ces derniers circulaient toujours à cheval pour diriger les équipe de travail. Il y avait ensuite la masse des travailleurs, dont certains étaient "casés" par l'usine. Des journaliers, hommes et femmes, s'occupaient du sarclage des cannes. certaines

trois, le décor est lugubre. L’atmosphère est pesante, tout est noir, La musique est remplacée par une ambiance sonore qui évoque la forêt en pleine nuit. Un feu dans un coin de la scène. Il y a très peu de décor, hormis la présence de la statue du commandeur prenant de la place et qui représente des femmes, pouvant se référer au premier acte avec les statues de femmes nues. Le comique y est présent, notamment par Sganarelle qui habillé en costume d’infermière, ou encore par ses gestes. Ainsi il dévoile

mésaventure avec les frères de Done Elvire et rajoute qu'il ne peut pas rester marié à elle. Puis, plus loin, il aperçoit une énorme bâtisse, il s'agit d'un mausolée construit sur ordre du Commandeur (que Dom Juan a tué). Ce dernier veut le visiter. À l'intérieur se trouve une grande statue du Commandeur. Dom Juan demande à Sganarelle d'inviter la statue à dîner. Sganarelle, un peu moqueur, lui demande. Mais la statue, contre toute attente, hoche la tête. Sganarelle est effrayé, Dom Juan reste

Dom Juan serait né dans la Chronique de Séville, en Espagne, au 14e siècle 2 . Le personnage, portant alors le nom de Don Juan Tenorio, aurait tué le père de la fille qu'il aurait séduite, puis abandonnée. Dans le couvent où on aurait enterré le commandeur, les moines auraient enfermé Don Juan pour le tuer, propageant ensuite la rumeur selon laquelle il aurait été foudroyé par le ciel pour être puni de ses actes. On peut observer dans ce mythe le thème récurrent de la punition du vilain, encore exploité

libertinage un sens d'athéisme et d'impiété, il en est d'ailleurs la figure exemplaire. Il blasphème, en poussant le Pauvre de l'acte III, scène 2 (p. 69-72) à jurer pour obtenir un Louis d'or : « si tu jures » (l. 32). Il provoque la statue animé du commandeur qu'il a tué en l'invitant à boire et à manger, à l'acte IV, scène 8 : « Qu'on lui donne du vin .. » (p. 110) et en acceptant son invitation pour le lendemain. Il méprise le sacré, comme lorsqu'il dit au pauvre : « pour l'amour de l'humanité » (III