Commandeur

paysans, dans le troisième acte, Don juan et son valet traversent une forêt, non sans tromper par la conversation la monotonie du voyage. Mais, cette forêt disparaît soudainement, cédant la place à l'intérieur d'un mausolée, où trône la statue du commandeur. L'unité de lieux, de temps, et d'intrigue sont des règles classique au 17ème siècle qui doivent être respectée (CLASSICISME) or ici la pièce ne se passe pas en une seule journée, il n'y a pas qu'un lieu, de plus on compte 5 intrigues en tout.

iconoclastes, le dramaturge ne peut se résoudre à accorder la grâce à ce personnage au risque de choquer l’Opinion Publique. A ce stade de la pièce, nous nous trouvons dans un point d’accélération de la trame du fait de l’arrivée de la statue du commandeur chez Dom Juan, pour lui annoncer sa punition prochaine. Pourtant, malgré la gravité de la scène, Molière parvient à garder le ton de la comédie. Commentaire des scènes I. Le burlesque : Sganarelle, valet de la tradition italienne 1. Le comportement

rappel mal commis b. Le temps avec la faux : • Allégorie du tps qui passe qui conduit à la mort (faux) •Apparition + fugitive : pas un mot prononcé, 'elle s'envole' : représentation notion abstraite, impalpable et changeante c. La statue du commandeur : • Comme spectre, chargé d'arrêter DJ • Ordres (impératif) soulignent affrontement à son comble : 2 volontés contraire à présent face à face • Mais elle n'a rien d'immatériel : sa consistance, la pierre contraste avec être de chair DJ • Matière

finirai ma vie vienne démentir la manière dont je l’ai commencée ; ce n’est qu’après ma mort que, déroulant le tableau de toute ma vie, il pourra être assuré de ce que j’ai été. C’est à cause de cela qu’il faut que je meure : les seuls bons Commandeurs sont les Commandeurs morts. La perception du temps évolue avec l’âge : pendant toute la jeunesse, et même une bonne partie de l’âge adulte, nous vivons dans l’illusion d’un temps cyclique : nous pouvons « refaire notre vie » « repartir à zéro ». Malades

se sont présentées il reste sur sa décision de ne pas se repentir. Il fait preuve de courage en voulant affronté l‘inconnu: on peut le voir dans l‘amplification “ Spectre, fantôme, ou diable”. Il va au bout de sa pensée ; il suit la statue du commandeur “donner moi la main. … la voilà ”. Il va ainsi mourir debout et digne foudroyé par Dieu. On peut voir ainsi que Dieu, le spectre et la statue jouent un rôle important dans l’ouvre. Le dénouement est ainsi fantastique et religieux. Tout

scène 3. Cela fait de lui un personnage légendaire grâce à son courage. Il fait encore preuve de noblesse dans l’Acte 4, scène 8. Dans cette scène, il fait preuve de courage, car il accepte de “souper” avec la statue du Commandeur. Pourtant la venue soudaine de la statue du Commandeur, qu’il avait tué peu de temps auparavant aurait pu l'impressionner. C’est ce qui fait de lui un personnage courageux, l’une des principales caractéristiques d’un héros. 3ème sous partie → Enfin, dans l’acte 3, scène 2

Juan, Sganarelle | Dom Juan rattrape Sganarelle qui fuit, il lui fait la morale, lui explique comment s'est terminée la situation et ils aperçoivent un peu plus loin tous deux le tombeau du commandeur qui leur fait face. Ils entrent. A l'intérieur, tout est prestigieux, il y a une statue du commandeur en habits romains. Dom Juan demande à Sganarelle, pour s'amuser, de demander à la statue s'il elle veut souper avec lui. Sganarelle hésite, mais y est finalement forcé et lorsqu'il pose sa question

Puis le Commandeur fait son apparition, Molière parle d’un « superbe mausolée », on imagine une statue imposante et intimidante. L’arrivée du surnaturel est inattendue et effrayante. La peur des personnages est transmise au lecteur. La mise en scène fait ressortir cela plus que jamais : la musique est forte et annonce un événement surnaturel ; tout devient de plus en plus sombre. Sganarelle est terrifié, et pour la première fois Don Juan semble quand même effrayé. La statue du Commandeur est en fait

est d'origine Espagnole. On racontait qu'a Séville, sous le règne de Pierre le Cruel selon les uns, au temps de Charles-Quint selon les autres, un certain Don Juan, de l'illustre famille Tenorio, s'est proposer d'enlever la fille du gouverneur ou commandeur de la ville, pour la sacrifier à ses passions ; qu'après avoir tué en duel le père de sa victime, il descendit dans son caveau sépulcral du couvent de St François, et, s'adressant avec raillerie à la statue de pierre placée sur le tombeau, l'invita

qui meurt . D'une certaine manière , il se termine bien , car le méchant est puni , la morale est préservée . *Structure du passage Scène 5 : avertissement , dom Juan peut encore être pardonné ( chrétien ). Scène 6 : arrivé de la statue du commandeur qui entraine Dom Juan dans l'enfer . Sganarelle reste seul . Lecture *Projet de lecture mon projet ans une de lecture sera d'étudier , -dans une première partie la mort de Dom Juan -dans une deuxième partie , un coup de théâtre « Deux