Commandeur

raisonner sur l'existence de Dieu, Sganarelle fait une chute: la scène est burlesque. Nous pouvons constater semblable décalage chaque fois que Sganarelle intervient dans une situation grave: en présence d'Elvire (acte l, scène 3); lorsqu'il voit le Commandeur dans le tombeau (acte III, scène 5), puis chez Don Juan (acte IV, scène 8). Mais c'est surtout dans la scène finale de la pièce que le comique de rupture et d'opposition est particulièrement souligné : Don Juan est brûlé par un feu invisible: «

libertinage et d'humanité à un pauvre ermite, sauvera par les armes les frères d'Elvire attaqués par des brigands et venus se venger de lui, profitera de ce geste aristocratique pour leur échapper, reviendra chez lui en passant par le monument du Commandeur, qu'il a tué quelque temps avant, ne s'étonnera pas que la statue se meuve, enfin, dans son palais, ridiculisera un bourgeois débiteur (Monsieur Dimanche) et un père excédé (Dom Louis). Pressé de toutes parts, il ne lui restera que l'hypocrisie

voit que le temps à passer, Don Juan a vieillit. A la fin de la scène, on s'attenf a ce que Sganarelle nous raconte les méfaits de son maître. Acte III, Scène 5, Dom Juan de Molière : Scène de la statue du commandeur (lecture cursive) - Don Juan envoie son valet inviter la statue du commandeur a diné ce qui prouve sa noblesse il ne s'abaisse pas à l'inviter, il ne croit en rien, même pas en la mort et ne respecte rien, il a tuée cette homme et va voir sa sépulture. Don Juan se comporte en véritable

tuer Don Juan sur le moment, l’autre lui laisse un répit car il lui a sauvé la vie. Scène 5 : Découverte de la statue du commandeur qui bouge, Dom Juan l’invite à dîner, il accepte. Acte 3 : Cet acte se passe dans un temple et dans la forêt. Un danger court sur Dom Juan. En effet les deux frères d’Elvire viennent venger leur sœur. Puis il va dans le temple du commandeur, qu’il a assassiné, et l’invite à dîner. Acte 4 : Scène 1 : Dom Juan nie le signe de la statue, il dit que c’est une

dans la pièce (et les paysans parlent avec l'accent campagnard français). Au deuxième acte, l’action se situe dans une campagne au bord de la mer. Au troisième acte, on est dans une forêt où, par le plus grand des hasards, se dresse le mausolée du Commandeur. Au quatrième et cinquième actes, le lieu est l'appartement de Don Juan. Son caractère errant et aventurier força Molière à ouvrir le théâtre comme l’avait fait Shakespeare : un plateau nu, vide, élémentaire. L'unité de temps n'est pas respectée

5, on voit toujours l'opposition de Sganarelle et de Dom Juan pour ce qui est des croyances. Sganarelle croit que ce n'est pas bien d'aller visiter le tombeau du commandeur, homme que Dom Juan a tué, alors que Dom Juan ni voit aucun inconvénient. À la fin de la scène 5, après avoir demandé à Sganarelle d'inviter la statue du commandeur à souper, Dom Juan ne croit toujours pas les propos de son valet et va même répéter son invitation à la statue. De part ce fait, il voit de ses propres yeux la statue

action, et il existe une autre action essentielle, centrée sur la statue du Commandeur, personnage fantastique. Conclusion Finale de l'exposé : Dans Dom Juan, la pièce joue sur la surprise. En effet, on remarque l'apparition d'êtres surnaturels qui contribuent à donner un climat de magie et de mystère. L'intervention du surnaturel se caractérise par la présence du Spectre, et de la Statue mouvante du Commandeur. Par ailleurs, il est nécessaire d'utiliser des machines spectaculaires, ancêtres

une progression dramatique rigoureuse qui repose sur les défis du Don Juan qui vont en crescendo , d'abord c'est quelqu'un d'athée , car il ne croit pas en Dieu , au ciel , il est totalement indifférent à l'Eglise , ensuite il nargue la statue du commandeur ce qui fait de lui un impie sacrilège , puis dans l'acte V on voit le personnage de Don Juan comme un hypocrite . Quand au dénouement de la pièce , on sait que celui est conforme à l'idéel classique car Don Juan est puni , ce qui est une juste

la statue à dîner. Dans les deux cas, Sganarelle lui décrit le décor : « le superbe édifice », « la statue du Commandeur ». À l'entendre, Dom Juan obéit à son « envie » (l. 33). Ses explications ne sont apparemment que des sarcasmes (« une visite dont je veux lui faire civilité ») : le défi est clair, et plus net encore à l'intérieur du mausolée. Dom Juan, qui a fait comme si le Commandeur était vivant, moque la grandeur de sa demeure et de sa tenue « d'empereur romain ». Le défi devient insolence

et d’autres troupes concurrentes – à savoir ce motif, inventé par l’Espagnol Tirso de Molina en 1630, du séducteur impénitent, noble impie, qui rencontre son destin sous la forme merveilleuse d’un convive de pierre, statue mortuaire animée d’un commandeur qu’il a précédemment assassiné. Par opposition à ses confrères, qui font de Dom Juan un héros cynique de drame horrifiant, un héros qui brutalise les corps comme les esprits, Molière infléchit les vices de son « grand seigneur méchant homme »