Comme Cendrillon

Prendre le temps de poser les bases du réalisme  ainsi que celles du récit, de sa construction et de ses  techniques permet de poser des jalons nécessaires  au déroulement logique d’une progression annuelle  bien pensée en classe de 4e.  Si  Maupassant  est  considéré  comme  un  auteur  « abordable » du xixe siècle, « La Parure » n’en est pas  moins une nouvelle qui peut être lue selon différents    niveaux interprétatifs. Montrer aux élèves la superposition de ces niveaux, c’est leur donner accès à la  profondeur  d’un 

docxParcours : « Crise personnelle, crise familiale » Lecture analytique Joël Pommerat, Cendrillon (2011) Partie II, scène 12 Éléments pour l’introduction : • Présentation auteur : Joël Pommerat est un dramaturge et metteur en scène contemporain. Il conçoit ses pièces en associant son travail d’écriture au jeu des comédiens lors de séances d’improvisation. Il a réécrit plusieurs contes comme « Cendrillon », « Pinocchio » ou encore « Le Petit chaperon

d'un banale objet à un objet inexistant. La fée de Cendrillon se sert d'une baguette pour transformer une citrouille et des souris en un magnifique carrosse et des chevaux. Tout comme dans Le Petit Poucet, où « les bottes de sept lieues » permettent de faire en un pas, vingt-huit kilomètres. Les contes sont connues pour faire apparaître des événements merveilleux. Ces événements permettent de briser le lien entre la réalité et ces contes. Tout comme dans La Belle et la Bête, la bête se transforme en

Mais est-ce vraiment un avantage pour elle. En effet, le personnage ne met à aucun moment sont intelligence au service de sa propre vie. C’est comme si cette qualité n’en était qu’une simple et vulgaire au même titre que la couture ou la cuisine. De plus, elles sont souvent cantonnées au rôle de « femme au foyer ». Prenons de ce fait l’exemple de Cendrillon ou de Blanche-Neige qui font constamment le ménage et la vaisselle (voyons aussi l’exemple d’Aurore qui se fait piquer alors qu’elle est en train

Méliès, Isabelle Raynauld a décelé la présence physique du son, dans pas moins de 60 films du réalisateur. Nous prendrons comme exemple les plus connus, comme Cendrillon et Le diable au couvent. Méliès était le précurseur du montage d’idées, comme le fera plus tard Eisenstein, dans des films comme La Grève. La séquence de la révolte ouvrière est structurée par la répétition comme un leitmotiv d’un gros plan de sirène d’usine en action. Cette séquence rappelle que le son est toujours présent et d’autre

a publié un texte La Sorcière qui était un « hymne à la femme, bienfaisante et victime ». Dans l’univers des contes de fées, la sorcière avait le plus souvent une image négative. C’est là où on a commencé à la représenter non pas comme une belle femme, mais plutôt comme vieille et laide, habitant toute seule au milieu de la forêt, entourée des chats noirs (élément satanique hérité de la tradition médievale) et volant sur le balai. On a crée une image de treizième fée, fée Carabosse, laide, vieille

d’énonciation du conte Cendrillon de Charles Perrault mais en détournant l’histoire. En effet, il axe son histoire sur la mort d’un proche pour donner une vraie dimension cruelle au simple conte que l’on connait. Il en donne finalement une version totalement différente qui s’avère très intéressante. Cette pièce fut une très bonne découverte qui me poussera même à lire les autres pièces de Joel Pommerat où il revisite de vieux conte comme Pinocchio

l’enfant de ses parents », c’est-à-dire à transformer la relation enfant-parent en une nouvelle relation d’adulte à adulte. En d’autre termes, il s’agirait pour l’enfant de modifier sa perception qu’il a de ses parents, de ne plus les voir comme des idoles mais comme des personnes égales à nous-mêmes et différenciés. Le premier chemin pour devenir adulte est tentant, il est facile de mettre la faute sur les autres plutôt que se remettre en cause ; cependant ce chemin n’est peut-être pas le bon, car

accents de la musique et le mouvement des corps > Charles Wilda, Joseph Lanner et Johann Strauss, 1906. p. 25 Séance 3 : Les moyens romanesques pour décrire la danse > p. 32 Séance 7 : Le motif détourné et le motif déconstruit – Charles Perrault, Cendrillon ou la petite pantoufle de verre, Contes. 1697. – Honoré de Balzac, Sarrasine, 1830. – Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1862. – Guy de Maupassant, La Parure, 1884. – Émile Zola, Germinal, 1885. – Léon Tolstoï, La Guerre et la Paix (livre deux, III

Si je me permets de dépister votre mémoire d’enfance, je trouverai certainement une myriade de contes ancrés depuis plusieurs années. Vous auriez probablement lu Cendrillon, ou La belle au bois dormant, Le petit chaperon rouge…Ou encore quelques classiques de Lafontaine comme le corbeau et le renard, le loup et l’agneau, la mort et le bûcheron… J’ai l’impression que ces contes sont un passage obligatoire. Cela est vrai, je l’admets, nous étions tous des enfants, mais je m’étonne amplement