Comme des Garçons

de"Le K", un excellent recueil de nouvelles parmi lesquelles se trouve celle que nous avons travaillée en classe : "Pauvre petit garçon!". ''Pauvre Petit Garçon'', c'est une nouvelle à chute écrite par Dino Buzzati et publiée en 1966. Il s'agit d'un garçon de seulement cinq ans qui selon l'auteur était plutôt pitoyable. Dolfi, comme il est appelé, va comme tous les garçons de son âge, au jardin public. Les gens qui ont lu cette nouvelle , et même ceux qui ne l'ont pas lue, savent que la plupart des

corps, la mixité des sexes et des genres n’est pas une hétérogénéité comme les autres, elles renvoient aux identités d’appartenance et de reconnaissance de chacun des élèves et enseignant même si en 30 ans : prise de conscience=> la coéducation physique reste à faireCirculaire 20 janvier 2015=« mise en œuvre de la politique éducative en faveur de l’égalité entre fille et garçon »MEN 2010=« l’égalité de filles et des garçons est la première dimension de l’égalité des chances que l’école doit garantir

Le téléphone sonne : Garçon: Hey, mon amour!Fille: Hey.Garçon: tu m'as manqué au collège aujourd'hui, pourquoi t'étais pas là?Fille: J'ai dû aller chez le médecin.Garçon: 0h vraiment? Pourquoi?Fille: 0h, rien. Juste un rhume, c'est tout.Garçon: Ah.Fille: Alors qu'est-ce que vous avez fait en cours aujourd'hui?Garçon: 0h tu sais juste un contrôle.Fille: Très bien.Garçon: 0uais.Fille: J'ai une question à te poser.Garçon: 0ui?Fille: Ah combien de % tu m'aimes?Garçon: Tu sais je t'aime plus que tout

J'AIME PAS LES GARÇONS  un sketch de Florence Foresti  http://www.youtube.com/watch?v=zrL_tv7vBMQ    COMPRÉHENSION ORALE  Regardez la vidéo et répondez :    1. Pourquoi refait­elle son entrée ?  2. Quels sont tous les points qu'elle critique chez les garçons ?  3. Quelles expressions répète­t­elle souvent ?  4. Comment qualifieriez­vous l'intonation qu'elle utilise tout au long du sketch ?  5. Appréciez­vous ce sketch ? Pourquoi ?  6. Trouvez­vous ce sketch plutôt juste ou plutôt exagéré 

seulement une séparation des garçons et des filles mais aussi une hiérarchisation qui se manifeste notamment à partir de deux figure « la pute » et « le pédé ». Ces figures qu'elle appelle « figures repoussoirs » aideront à déterminer par opposition les groupes sexués auxquels les jeunes sont « sommés d'afficher leur appartenance ». UN GARÇON À LA HAUTEUR DE SON SEXE : Il apparaît dans ses entretiens, aussi bien en banlieue parisienne que dans les autres régions, que l'image du garçon ne tienne qu'à sa capacité

groupes sociaux élaborent chacun des manières particulières d’être homme ou femme. Parler en termes de genre, c’est admettre que les identités entre hommes et femmes sont des construits sociaux, le résultat d’une élaboration sociale spécifique. Comme le disait Simone de Beauvoir, « on ne nait pas femme, on le devient ». De la même manière, on peut ajouter que « on ne nait pas homme, on le devient ». Ces constructions se font bien sûr à partir d’une base biologique. b) La part du biologique

Introduction : L'égalité des filles et des garçons constitue une obligation légale et une mission fondamentale pour l'éducation nationale. Si les écoles et les établissements sont devenus mixtes dans les années 70, trop de disparités subsistent dans les parcours scolaires des filles et des garçons. L'éducation à l'égalité est nécessaire à l'évolution des mentalités. L’année 2013-2014 est une année de mobilisation pour l’égalité à l’école. I) Dans les débats scientifiques, sociétaux et les

EDUCATION SEXUELLEMENT DIFFERENCIE DANS LES FAMILLES... Fille ou garçon? Voilà la première question qui traverse l'esprit des parents lors de l'annonce de la nouvelle. La différence fille / garçon est un « problème » qui a toujours existé et qui continue de subsister dans nos sociétés. Notre culture en effet est faite pour influencer les deux sexes à reproduire les schémas spécifiques qui ont été inventé pour eux. Dés la naissance, les parents ont tendance à créer un environnement spécifique selon

(90 % des cas d'anorexie). Souvent nous retrouvons comme forme clinique l'anorexie du garçon. Lors de nos différentes lectures, il apparaît que peu d'informations relatives à cette forme sont relevées. Tout au mieux, nous trouvons des comparaisons entre les anorexies mentales masculines et féminines1. Notons qu'en 1979, 40 % des internes et 25 % des psychiatres pensaient que l'anorexie mentale n'existait pas en tant que telle chez les garçons. Ces pourcentages rendent compte à la fois de la

Actuellement selon l’INSEE les étudiantes représentent environ 60 % de l’ensemble. Seulement, la notion de « nature » colle encore à la peau des filles. Celles-ci ne s’acheminent pas vers les mêmes trajectoires scolaires que les garçons. L’école cantonne les filles d’un côté et les garçons de l’autre. Nous pouvons alors se demander si l’école n’est pas génératrice d’inégalité. Donc peut-on vraiment parler d’égalité des chances dans notre système éducatif ? Nous verrons donc dans une première partie le rôle