Comme d'habitude

écris cette lettre, tu es en troisième et ceci est un devoir que ton ancienne prof de français, tu sais, Mme Maurer, t’avait donné de faire. Tu t’y prends d’ailleurs au dernier moment, comme d’habitude, et casque sur les oreilles, tu t’apprêtes à t’écrire une lettre à toi-même. De quoi se torturer les méninges… Comme tu peux le penser, j’ai une multitude de questions qui me traversent l’esprit en ce moment même, du style « Est-ce que je serai en couple ? » ; « Serais-je heureux ? » ; « Toujours un

le suffrage. Ceux qui voudraient que l’ouvrier vienne faire son travail comme d’habitude sans plus s’impliquer dans la gestion financière : 07 voix /21. Ceux qui voudraient que l’ouvrier ne vienne plus du tout à Ngwélé : 10 voix/21 Abstention : 4voix /21 Conclusion : la communauté de Ngwélé rejette son ouvrier. Mais alors, la communauté est tenue de participer aux indemnités et au loyer de l’ouvrier comme d’habitude : 39 000Frs tous les mois.  L’ouvrier devait remettre les clés du bureau

interlocuteurs ; on s’incline plus bas et plus longtemps si on est plus bas dans l’hiérarchie. On se mettre à genoux sur le sol de tatami. Toutefois, les Japonais sont habitués à serrer des mains avec des étrangers. On ne s’embrasse pas sur les joues comme en France. Aussi, on laisse plus d’espace entre soi et un interlocuteur japonais que quand en parlant avec un compatriote.   Présentation des ‘meishi’ Au début d’un rendez-vous ou après une salutation, on se présente et on échange des ‘meishi’,

signalé qu'à la récré, au jeu du chat et de la souris, au lieu de faire la souris comme d'habitude et de se laisser courir après, il a joué le rôle du chat : mais un vrai chat, pas comme mon chat à moi, qui devait surement être une souris dans sa dernière réincarnation. Ensuite, juste après dans la voiture, un échange de regards,et des sourires en se voyant dans le rétroviseur, pas un sourire aux anges comme d'habitude. Puis la séance de trav à table de l'après midi, où il enfin compris le "receptive":

vivre dans la routine, de composer son avenir uniquement avec des habitudes quotidiennes, sans pouvoir pimenter sa vie avec une bribe de surprise ou de FOLIE. Suicide raté donc qui provoque un aller simple pour l’asile psychiatrique de la ville. Et comme tout roman de Paulo Coehlo, arrive la partie initiatique de la vie de l’héroïne. Dans ce nouvel environnement, Veronika, qui est loin d’être folle, va naviguer au milieu des fous et comprendre peut-être ce qui lui manquait dans sa vie. Qu’est-ce qu’après

intervient alors comme un bilan d'étape: Intervention du narrateur qui parle de lui même (pronom impersonnel) + connecteurs logiques = lexique du bilan De plus, cette partie est le coeur de la chronique. Forme une pause dans le récit. Imparfait (temps de la description durable) Paroxysme (sommet) de la chaleur et maladie. Bilan justifié par l'apparition du vent. Neutre et objectif C'est aussi un bilan orienté, une description fantastique, voire apocalyptique: Le vent soudain, présent d'habitude, il est

longtemps (une semaine ?) que nous n’avions pas eu de polémique stérile… La nouvelle raison de s’enflammer : la panthéonisation d’Albert Camus. Le souhait du président aura permis à chacun de fourbir sa plume pour participer à ce débat qui comme d’habitude n’a rien de littéraire mais se restreint au politique. Récupération (et bataille) politique de tout bord, chacun parlant au nom du défunt écrivain, de ses souhaits supposés et déduits, de ses engagements, de ses combats d’homme, de Vichy, des

mondiale. Ce poème est une ode à l’amour, à la femme, à la terre africaine 1) Evocation du passé -Emploi de l’imparfait d’habitude. Souvenir d’une mère protectrice. -Alternance entre la mère, puis la jeunesse -“Femme noire” = métaphore de la terre promise et toute sa culture qu’il faut préserver -“la douceur de tes mains bandait mes yeux” imparfait d’habitude, comme si protectrice de manière répétitive, usuelle. -Commémoration des souvenirs est facilitée par la synesthésie, notamment avec

littérature reste rare et il est encore moins fréquent que ce soit le narrateur qui parle cette langue, d'habitude réservée aux seuls dialogues. Céline frappe fort. Voyage correspond à l'aboutissement et la maturité d'une écriture que son auteur travaille depuis de nombreuses années. A la simple lecture de l'incipit du roman, on plonge déjà dans l'univers et la langue de Céline : " Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler. Arthur, un étudiant

pensait-il. On sortit du jardin. Maman avait mis un pot de géranium à la fenêtre de la cuisine, comme chaque fois que papa sortait. C'était un peu drôle. Il faisait beau, - il y avait des nuages, mais informes et tout effilochés, on n'avait pas envie de les regarder. Alors le petit garçon regardait le bout de ses petits souliers qui chassaient devant eux les graviers de la route. Papa ne disait rien. D'habitude il se fâchait quand il entendait ce bruit-là. Il disait 'Lève tes pieds!' et le petit garçon