Comment L Idée De Démocratie Représentative S Est Elle Imposée En Europe Occidentale

restent fortement marquées par une tradition fondée sur la notion de Government. Dans cette perspective, la question de recherche est souvent pragmatique : comment la formation des intérêts peut-elle conduire à la mise en place de « bonnes » politiques, efficaces, correspondant aux buts recherchés et économes de l’argent des citoyens ? En Europe au contraire, la tradition, de Hegel à Max Weber en passant par Marx, a surtout mis l’accent sur le concept d’État, c’est-à-dire une institution qui, d’une

doit pas faire l’objet d’une méprise phénoménale. Plus qu’une lutte pour le pouvoir, plus que les prétendues discordances ethniques, le problème du Togo se rapporte foncièrement à un enjeu de souveraineté. Car en fait, ce petit pays de l’Afrique occidentale ne s’est jamais débarrassé de la tutelle paternaliste française. Et les rennes du pouvoir au Togo ont été depuis la seconde moitié des années 1960 diligentés par les soins de la métropole. En conséquence, la lutte de l’opposition togolaise est un

par le roi et les juristes. Cette unification sera réelle qu’à partir du 17ème siècle. Le roi va devoir construire une véritable puissance qui va devenir un état. C’est l’objectif. Nous sommes dans un processus de construction. 2ème idée : L’E n’est pas pour autant une notion morte après la Révolution française. Ce n’est pas un pb réglé et on va repenser l’Etat. Il va falloir distinguer les termes de nation et d’Etat. Aujourd’hui nous vivons dans un Etat- Nation. L’Etat et

LES EBOOKS AGALL PASCAL SALIN LIBERALISME © Odile Jacob, 2000. ISBN: 2738108091 1 Introduction La reconnaissance de la liberté individuelle a lentement émergé de l'Histoire dans les pays occidentaux et elle a été à l'origine de leur extraordinaire prospérité : pour la première fois, à partir de la fin du XVIIIe siècle, des masses immenses ont pu sortir de la pauvreté parce qu'on a laissé les hommes libres de créer. Cette leçon a été pourtant oubliée et le « libéralisme » est presque devenu un

selon laquelle dans toutes les sociétés il y a des besoins communs et pour les satisfaire les sociétés utilisent différentes institutions voisines les unes des autres: théorie des équivalences=Succès considérable de l'approche à l'époque. Ex: savoir comment les différents droit nationaux satisfont aux besoins d’une personne de charger après son décès un tiers pour administrer son patrimoine?= théorie des équivalences. Cette approche fonctionnelle a dominé le droit comparé pendant de très longues années

(lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition de l’homme, est antérieure à toute culture. Le problème : Rousseau pense bien un état de nature mais celui-ci est révolu est antérieur à la société. Or, ce dont il est question ici, c’est d’un homme pris dans sa diversité mais dont on

celle-ci. La volonté générale s’exprime dans la loi. Comme tous les citoyens ont reçu le droit de participer à l’élaboration de la loi, la loi ne peut être contraire à l’intérêt de chacun d’eux. Rousseau prône donc la mise en place d’un système de démocratie directe, car pour lui ce qui concrétise le pouvoir politique c’est la loi élaborée par tous les citoyens réunis en assemblée générale. Les citoyens ont donc le droit de s’exprimer librement sans intermédiaire. Normalement, le système élaboré par

amendes, etc.), on peut aussi socialiser à utiliser moins tous ces biens rares, ou alors on peut jouer sur les besoins mêmes. L’anthropologue Marshall Sahlins a opposé les sociétés d’abondance aux sociétés de rareté. Il a montré que nos sociétés occidentales étaient d’abondance par la multiplication des biens consommés mais aussi que certaines sociétés, souvent considérées comme sous-développées, étaient aussi d’abondance, non pas parce qu’elle parvenait à faire consommer beaucoup de biens et services

4.3.2. Les partenariats en amont des projets 3.4.3.3. La constitution de l’acteur collectif intergénérationnel 3.5. Le maintien des mobilisations intergénérationnelles .............................................. 97 3.5.1. La pratique de la démocratie avec des acteurs différents 3.5.2. La communication et l’information 3.6. Synthèse du chapitre ........................................................................................... 100 Conclusion .......................................

1928 Préface de la 1re édition allemande (extrait) Première partie. Les causes Chapitre I. La théorie des mobiles, problème cardinal du socialisme Chapitre II. Exploitation et oppression Chapitre IlI. Égalité et démocratie Chapitre IV. Solidarité, eschatologie, symbolisme religieux Deusième partie. Les buts Chapitre V. L'utopie socialiste Chapitre VI. Les intellectuels et l'État Chapitre VII. Le socialisme des intellectuels