Comment Les économistes Expliquent Ils La Croissance

d'expliquer les phénomènes sociaux par les actions individuelles dont ils sont composés. La seconde considère au contraire que les phénomènes sociaux forment des touts qui ne sont pas réductibles à des actes individuels (ce sont les phénomènes sociaux qui expliquent les actes individuels, et non l'inverse). Le terme « holisme » a été forgé à partir du mot grec holos qui signifie « entier ». Chacune de ces deux grandes options méthodologiques peut se réclamer de l'une des deux traditions majeures de la sociologie

électriciens, les ordinateurs, le pétrole, etc). Plus précisément elle est considérée comme une branche de l’économie qui analyse comment les individus, les ménages et les firmes prennent des décisions pour distribuer des ressources limites. Ces décisions affectent l’offre et la demande des services. Problèmes macroéconomiques : • la croissance économique représente la croissance en valeur des biens et services d’une économie • le chômage est la conséquence probable d’un recul de production (les

Des analyses d’agrégats, * Des politiques économiques. Le raisonnement en macro – économie : * Des théories, pensées liées à des époques, contingentes et admises par différentes écoles, * Des outils et modèles. La démarche des économistes : * Comprendre la réalité et à trouver des lois pour la transformer lorsqu’elle n’est pas positive, * Simplifier le réel par une démarche scientifique, démarche résumée en 3 étapes : * Pré-analytique : * L’économiste

de satisfaire des besoins multiples. Les économistes considèrent donc que les besoins sont multiples. Pour les satisfaire, il faut mobiliser des ressources qui sont limitées. Il faut donc nécessairement effectuer des choix: quels besoins va-t-on privilégier ? quels biens va-t-on produire ? en quelle quantité ? comment va-t-on les produire ? quels sont les besoins collectifs ? comment les financer ? etc. Toutes ses questions intéressent les économistes. 1.2 Valeurs politiques et économie Système

ont tendance à rester inactifs et poursuivre des études et les femmes ont tendance à travailler dans des tâches domestiques sans se porter demandeur d’emplois, ce qui minimise d’autant le nombre des demandeurs d’emplois. Inversement, en période de croissance et de création d’emplois, ces publics se portent demandeurs d’emplois. Ce phénomène joue pour les emplois industriels qui concernent davantage les hommes et pour les emplois tertiaires qui concernent davantage les femmes. Les destructions d’emplois

fonctionner que si un pays mène isolément cette politique ; mais si tous les pays d’une zone intégrée comme l’Europe, font la même chose en même temps, tous ne peuvent gagner les uns contre les autres, et le résultat d’ensemble est un ralentissement de la croissance et de l’emploi. Quant à la « substitution capital-travail », elle obéit à d’autres critères que le coût relatif du travail : à chaque moment, une technologie domine, à laquelle la concurrence conduit à s’adapter. Résultat : les pays qui ont le mieux

métier, mesurons notre sympathie d'avocat à la grandeur du forfait, nous ne pouvons plus avoir l'âme respectueuse. Nous voyons trop ce fleuve de corruption qui va des chefs du Pouvoir aux derniers des gueux, nous savons trop comment tout se passe, comment tout se donne, comment tout se vend. Places, fonctions, honneurs, brutalement en échange de titres et de parts dans les entreprises industrielles, ou plus simplement contre un baiser de femme. » Guy de Maupassant, L’Assassin La corruption est

social comme le chômage, la baisse du niveau de vie et dans les cas les plus graves, une extrêmes pauvreté. À ce titre, la crise de 1929 est tout à fait notable car elle constitue sans doute la pire crise économique de l'ère capitaliste. Pourquoi et comment la crise de 1929 a-t-elle eu un tel impact et avec quelles conséquences? I/Le déclenchement de la crise A. Des signes précurseurs Les crises économiques sont aussi anciennes que l'activité commerciale. La mise en place progressive du capitalisme

2 La croissance ou l’augmentation de la production agrégée . . . 1.2.1 PIB, valeur ajoutée et revenu . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 PIB nominal et PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La comptabilité nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage : définition et mesure . . . . . . . . 1.4.2 La relation population active totale - chômage . . . . . 1.4.3 La relation croissance - chômage

d'entreprises. Les économistes sont donc amenés à étudier comment les individus prennent leurs décisions : combien de temps ils travaillent, ce qu'ils achètent, combien ils épargnent et comment ils investissent cette épargne. Les économistes s'intéressent aussi aux échanges entre les individus. Ils étudient par exemple comment la multitude d'acheteurs et de vendeurs d'un bien donné déterminera le prix auquel le produit sera vendu, ainsi que la quantité vendue. Enfin, les économistes examinent les forces