Commentaire Aristote Les Politiques Livre 1 Chap 4

Introduction générale : 1) Définitions de l’économie et de l’économie politique : Le terme le plus ancien que l’on trouve dès l’antiquité grecque c’est le terme « économie ». Dans l’antiquité grecque on possède les esclaves, la maison doit être entendue à un sens large pour définir aujourd’hui un patrimoine. Règle de la maison : art de bien gérer son patrimoine. Pour les grecques l’économie c’est ce qui relève du domaine privé. Economie chez les grecques s’oppose à politique, «polis » signifie en

L’ETAT LE POUVOIR, LE DROIT, LA SOCIETE. Si on s'en remet au dictionnaire, on peut constater que l'Etat y est défini de deux manières fort différentes. 1) Un Etat (au singulier ou au pluriel) est un ensemble d'individus qui vivent sur un territoire déterminé sous l'autorité d'un pouvoir politique et qui peut être tenu pour une personne morale quant à ses rapports avec les autres Etats. Cette définition de l'Etat en fait un synonyme de "pays" ; elle donne son sens à l'expression : "L'Etat

Cours 1. Qu’est-ce que l’argumentation ? 
La dispersion des études en argumentation Activité 1 Avant de vous engager dans la lecture de ce qui suit, notez sur une feuille votre propre définition de l’argumentation ; nous y reviendrons par la suite. Un novice qui aborderait pour la première fois des études en argumentation serait amené rapidement au constat que l’argumentation entendue comme champ disciplinaire ne présente aucune unité. En effet, pour qu’on parle de “paradigme scientifique”

Introduction générale : 1) Définitions de l’économie et de l’économie politique : Le terme le plus ancien que l’on trouve dès l’antiquité grecque c’est le terme « économie ». Dans l’antiquité grecque on possède les esclaves, la maison doit être entendue à un sens large pour définir aujourd’hui un patrimoine. Règle de la maison : art de bien gérer son patrimoine. Pour les grecques l’économie c’est ce qui relève du domaine privé. Economie chez les grecques s’oppose à politique, «polis » signifie en

Éthique, droit et politique Arthur Schopenhauer Préface du traducteur Le présent volume des Parerga et Paralipomena ne se prête pas par sa nature, comme les trois précédents, à une étude préliminaire biographique ou historique ; nous en avons d'ailleurs déjà dit assez à ce double point de vue, pour mettre en une lumière suffisante la figure originale et complexe de Schopenhauer, et pour situer dans son milieu exact l'œuvre dont nous avons entrepris la traduction. Les matières renfermées

l’imagination créatrice (Chp. IV) et dont les produits sont de nœuds de significations qui se donnent à interpréter (Chp. V). Le dernier chapitre situe l’activité artistique face aux autres activités culturelles (la religion, la science, la technique, la politique, la morale…). En même temps qu’il veut initier à la pensée esthétique, ce cours entend promouvoir et maintenir un dialogue serré entre le philosophe et le praticien de l’art selon une formule que nous tenons du professeur MUDIJI qui a toujours voulu

l'histoire du droit romain                    Chapitre 1.- Droit ancien ou archaïque                          Section 1.- Origines du droit romain                                                § 1.- La loi des XII Tables                                                § 2.- La procédure des actions de la loi                          Section 2.- Condition juridique et sociale des Romains                                                § 1.- De la propriété collective à la propriété privée

l’autruche. Post-mondialisation, management et rationalité économique. Montréal : Les Éditions Écosociété, 2002, 370 pp. M. Omar Aktouf, professeur titulaire Management, HEC, Montréal, nous a accordé le 19 février 2006 son autorisation de diffuser ce livre sur le portail Les Classiques des sciences sociales. Courriel : Omar.Aktouf@hec.ca ou: oaktouf@sympatico.ca. Polices de caractères utilisés : Pour le texte : Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page :

Mati`res e Prologue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2. Les origines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1. Science ou Magie? . . . . . . . 2.2. L’origine des civilisations . . . . 1. La pr´histoire . . . . . . . e 2. L’apparition de la civilisation 3. L’ˆge du fer . . . . . . . . a ´ 2.3. L’Egypte . . . . . . . . . . . 2.4. La M´sopotamie . . . . . . . . e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ou encore l’art de « rendre à chacun le sien ». Aujourd’hui, plutôt qu’un art, le droit est volontiers considéré comme une science : on parle des « sciences juridiques » (au pluriel !), voire des « sciences juridiques et politiques ». Pourtant le droit, pas plus que la politique, n’est une science exacte : les mêmes causes n’y produisent pas toujours les mêmes effets. Un art, donc, mais lequel ? Celui du législateur qui « porte » la loi ? Celui du juge qui « dit » le droit ? Celui des professionnels