Commentaire Arret 8 Janvier 2003

dommages et intérêts à la Société Dupont pour contrefaçon d’un modèle de briquet édité par cette dernière société. La cour d’appel de Paris dans un arrêt du 22 mai 1980 retient que l’œuvre a été divulguée par la société Dupont, et que cette dernière doit être considérée comme l’auteur de l’œuvre. Elle justifie sa décision au visa de l’article 8 de la loi du 11 mars 1957. Un pourvoi en cassation a donc été formé. Les juges de la cour de cassation ont dû répondre à la question suivante : La

Commentaire d’arrêt chambre commercial du 6 février 2007 Il s’agit d’un arrêt de la chambre commercial de la cour de cassation rendu le 6 février 2007, relatif à un litige né d’une disproportion entre l’engagement souscris par une caution et les revenus de cette dernière. En l’espèce, le 8 mars 1988 une société consent un prêt de 360 000 francs à une autre société aux taux effectif global de 11,54%. La société avait alors la possibilité de rembourser cette somme en 84 mensualités de 6 266,88

critique, exacerbé pour les journalistes qui font de la critique leur métier. Certains faits relève de la vie professionnelle de l’actrice notamment ses débuts au cinéma, ainsi que la révélation d’une décision de justice. Le journaliste fait certain commentaire sur son jeu d’actrice et ses répliques. Dans un premier temps on peut penser que les révélations sur son jeu peuvent s’apparenter à une diffamation. Quel que soit les faits si ils sont avérés la diffamation ne tiendra pas. En l’espèce l’actrice

"RETROACTIVITE" DE LA JURISPRUDENCE TRAVAIL A EFFECTUER : Séance n° 4 - Lecture des arrêts suivants : Civ. 1ère, 17 mars 1998, pourvoi n° 96-12183 - Civ. 1re, 29 avril 1960 - Analyse des arrêts suivants : Civ. 1ère, 4 décembre 2001, pourvoi n° 98-18411 et Soc. 8 juillet 2009, pourvoi n° 09-60015 - Résolution du cas pratique. Séance n° 5 - Commentaire de l’arrêt : Civ. 1ère, 11 juin 2009, n° 08-16914 - Lecture des autres arrêts. UNIVERSITÉ MONTPELLIER I Faculté de Droit et de Sciences Politiques Séance

philosophique L’Ingénu de Voltaire séquence 4 : comprendre les principes esthétiques et idéologiques du Naturalisme à travers l’étude de Thérèse Raquin Thérèse Raquin ( 1867) Emile Zola nov/ déc 2003 janvier 2004 Avoir lu le roman pour le 10 décembre 2003.préparer les travaux programmés/ lectures analytiques élèves désignés exposés élèves volontaires. 1 séance 1 mercredi 26 et jeudi 27 novembre L’ incipit , lecture analytique , à préparer, le registre réaliste 2

– La loi du 10 janvier 1978 et le rôle du gouvernement………………………………………P.5 2 – La loi du 10 janvier 1978 et le rôle de la commission des clauses abusives…………….P.6 B - Lʼémancipation du pouvoir d'appréciation du juge en matière de clauses abusives.…...P.7 1 - Les prémisses dʼune évolution……………………………………………...…...…..….........P.7 2 - Un « coup dʼétat » judiciaire…………………………………………………………………...P.8 3 - Lʼencadrement de lʼautonomie judiciaire dans son appréciation des clauses abusives...P.8 II - Une reconnaissance

L'accès aux informations sur les donneurs, procréation médicalement assistée Il n'est pas organisé, car l'identité des donneurs doit demeurer absolument secrète. Plusieurs dispositions législatives garantissent ce secret. L'article 16-8 du code civil, qui résulte de la loi 94-653, énonce en effet à l'alinéa premier : " Aucune information permettant d'identifier à la fois celui qui a fait don d'un élément ou d'un produit de son corps et celui qui l'a reçu ne peut être divulguée. Le donneur ne

Correction TD 1 Commentaire Commune Aix en Provence 2007 La question qui se pose devant le Conseil d'état est de savoir si la qualification de service public, à un organisme privé, passe nécessairement par une délégation de service public ? L'administration n'est pas obligé de passer par un contrat de délégation de service public. Arrêt Caisse primaire aide et protection 1938 : les personnes privées peuvent accomplir une mission de service public sans délégation de SP. l'arrêt du 29 avril

validation d’une décision de justice américaine et possibilité d’adoption pour la mère, 3ème affaire : demande de reconnaissance de la possession d’état établie à l’étranger (mères porteuses). → REFUS DE LA COUR DE CASSATION Avant cela, dans un arrêt rendu le 31 mai 1991, la Cour de Cassation avait rejeté l’adoption pour établir la filiation, rejette tout établissement de la filiation et notamment refuse l’adoption des enfants issus de conventions de mère porteuse. Conséquence : filiation

parts qu’elle détenait dans la SNC comportait « la disparition du passif de son bilan des dettes auxquelles elle était tenue » en raison de ladite participation. La société n’ayant pas obtenu gain de cause, elle se pourvoit en cassation contre cet arrêt invoquant parmi d’autres motifs celui d’une double imposition de la somme correspondant au profit exceptionnel, puisque cette somme avait déjà été intégrée au résultat des exercices clos de 1978 et 1979. La difficulté du mécanisme était générée