Commentaire Belle Du Seigneur

d’allégorie.IV – La prosopopée Cette figure consiste à faire parler les morts, les objets, les animaux, les lieux, les concepts, les idées… Ce sont des personnification ou des allégories qui parlent. « Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre » (Baudelaire, FdM ). B - Les figures de contiguïté / de voisinage Là où les figures de ressemblance jouent sur le rapprochement surprenant de champs sémantiques

contre lesquels les épisodes répressifs n'avaient jusque-là été que sporadiques. Ces placards étaient intitulés Articles véritables sur les horribles, grands et importables abus de la messe papale, inventée directement contre la Sainte Cène de notre Seigneur, seul médiateur et seul Sauveur Jésus-Christ. Ce titre évocateur était en fait une attaque directe envers l’Eucharistie, dans sa forme catholique (transsubstantiation). L’auteur en était Antoine Marcourt, pasteur d’origine picarde de Neuchâtel et

savons que l’auteur a fait des études de chimie. Dans le premier chapitre, nous rencontrons les personnages, dont le personnage principal Driss Ferdi, qui a le même prénom que l’auteur. Ensuite nous faisons la connaissance de sa famille : son père (le Seigneur), sa mère et ses frères. L’histoire commence pendant le Ramadan et nous retrouvons la famille le soir. Le frère Camel n’est pas encore rentré, donc la famille ne peut pas commencer à manger. À la fin du premier chapitre, le père raconte à la famille

définit comme un ensemble d'institution créant un double jeux d'obligation. Quel est­t­il? Il y a d'une part les obligations d'obéissance et de service (surtout militaire), obligation de  protection et d'entretien de la part du seigneur à l'égare du vassal, la concession par le seigneur au  vassal d'un bien : le fief. Il ne peut y avoir de féodalité sans fief, ou sans cette réciprocité dans les  service et les obligations. Or la féodalité ce n'est pas que le contrat vassalique. C'est aussi le  fractionn

reprises : « Frenhofer, c’est moi » ; que Picasso a habité la maison de la rue des GrandsAugustins où, d’après Balzac, loge François Porbus, donc où Nicolas Poussin rencontre Frenhofer ; que le cinéaste Jacques Rivette a adapté cette nouvelle (La Belle noiseuse, 1991)… Le discours sur l’art que présente cette nouvelle se compose de deux parties : 1 la leçon de peinture de Frenhofer, 2 la découverte du « chef-d’œuvre » par Porbus et Poussin. II.1. La leçon de peinture (G.F. p. 46 à 58)

SOMMAIRE Séance 1 .......................................................................................................................................................................... 6 METHODOLOGIE DU COMMENTAIRE DE TEXTE ................................................................................ 6 Séance 2 ........................................................................................................................................................................ 12

éblouis, tandis que du trône s’échappent des harmonies puissantes dont les accords ressemblent au roulement du tonnerre. b. Arc-en-ciel semblable à de l’émeraude. … L’arc-en-ciel rappelle le déluge de Noé. Il symbolise l’alliance de paix que le Seigneur veut faire avec tous les hommes de bonne volonté. L’apôtre dit que l’arc- en- ciel était semblable à de l’émeraude. • L’émeraude est une pierre précieuse translucide de couleur vert bleuâtre, variété du béryl2. C’est l’arc- en- ciel du pardon

fut arrivée, elle alla pour assortir des pierreries chez un Italien qui en trafiquait par tout le monde. Cet homme était venu de Florence avec la reine, et s'était tellement enrichi dans son trafic, que sa maison paraissait plutôt celle d'un grand seigneur que d'un marchand. Comme elle y était, le prince de Clèves y arriva. Il fut tellement surpris de sa beauté, qu'il ne put cacher sa surprise ; et mademoiselle de Chartres ne put s'empêcher de rougir en voyant l'étonnement qu'elle lui avait donné.

l’auteur a fait des études de chimie. Dans le premier chapitre, nous rencontrons les personnages, dont le personnage principal Driss Ferdi, qui a le même prénom que l’auteur. Ensuite nous faisons la connaissance de sa famille : son père (le Seigneur), sa mère et ses frères. L’histoire commence pendant le Ramadan et nous retrouvons la famille le soir. Le frère Camel n’est pas encore rentré, donc la famille ne peut pas commencer à manger. À la fin du premier chapitre, le père raconte à la famille

lecture suivie. Acte I, Scène 1 : la scène d'exposition Acte I, scène 10 : Comment Figaro fait pression sur le Comte Acte III, Scène 16 : le coup de théâtre & la situation des filles mères. Acte V, scène 3 : le monologue de Figaro (extrait). Commentaire littéraire du monologue de Figaro : 1) Dans ce monologue où se manifeste le trouble de Figaro, ce dernier devient plus qu'un valet de comédie. 2) Il passe d'une critique du Comte à une véritable satire sociale, dénonçant diverses formes d'arbitraire