Commentaire Cassation 16 Juillet 1997

indispensable pour garantir un régime démocratique et l’épanouissement de chaque être humain[5]. Dans les systèmes juridiques d’inspiration française, les législations sur la liberté de presse ont été fortement inspirées par la loi française du 29 juillet 1881 sur la liberté de presse. D’inspiration libérale, la loi adoptée par les législateurs de la troisième République s’inscrivait dans l’esprit de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, dont l’article 11 énonce : « la

équilibre entre les droits fondamentaux de chacun constitue le fondement d’une "société démocratique" » (Chassagnou et a., 29 avr. 1999). En France, le Conseil constitutionnel en fait un usage parcimonieux : droit de propriété (Lois de nationalisation, 16 janv. 1982), libre communication des pensées et des idées (Entreprises de presse, 10-11 oct. 1984), droit d’asile (Maîtrise de l’immigration, 13 août 1993), « droits et libertés fondamentaux reconnus aux employeurs et aux salariés » (Réduction du

demande formulée par une concubine suite au décès de son concubin. (Arrêt de 1959). La doctrine processualiste a critiqué cet arrêt, estimant que la jurisprudence confondait la recevabilité de l’action et le fond du litige. Par la suite, la cour de cassation a renversée cette situation en donnant raison à la concubine, lui reconnaissant ainsi, un intérêt légitime juridiquement protégé. Cet intérêt doit être né et actuel. Et l’appréciation est faite de la naissance de cette actualité à la date de son

étape : les initiatives doctrinales en vue de favoriser l'émergence d'un droit unifié se sont multipliées, ainsi certains auteurs entreprirent l'élaboration d'un droit commun coutumier, cohérent et synthétique. Charles Dumoulin, auteur d'un commentaire sur la coutume de Paris ( 16ème siècle ), dans lequel il défend l'adoption par le roi d'une coutume unique(...) Guy Coquille, auteur de : institution au droit français ( 17ème), présente une vision ordonnée des coutumes existantes (...) Loysel

2009. 1369 ; Ph. Stoffel-Munck, La théorie des troubles de voisinage à l'épreuve du principe de précaution, D. 2009. 2817). Ce contentieux est loin d'être stabilisé, en l'absence de jurisprudence de la Cour de cassation. Tout récemment, la première chambre civile de la Cour de cassation a d'ailleurs renvoyé au Tribunal des conflits au travers de plusieurs affaires la question de savoir dans quelle mesure les juridictions judiciaires, de référé ou de fond, peuvent avoir à connaître de litiges d'implantation

 Droit Administratif Gaja : livre de référence Type d'examen : deux sujets / commentaire d'arrêt ou dissertation Manuels : Edition Ellipes Droit Administratif Bertrand Seiller manuel de poche chez Flamarion Droit Administratif général Jacques Petit Jacques Administratif Le droit administratif qui ne peut être quantifié, il est jurisprudentielle et repose sur des arrêts. TITRE I : La Juridiction Administrative Le système

professeur Didier MAUS Professeur associé à l’’Université Paris 1 LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ROUMAINE Mise en perspective avec la Constitution de la Ve République française Université Paris 1 Panthéon –– Sorbonne Année universitaire 2004/2005 –– Juillet 2005 Remerciements Que ceux-ci aillent à toutes les personnes que j’’ai pu rencontrer dans le cadre de mon étude en Roumanie et en France. Je remercie en particulier le professeur M. Didier Maus, mon directeur de mémoire, de m’’avoir donné

superposer Hitler à Le Pen – d'autres images d'archives rappellent les paroles de ce dernier sur le « point de détail », exprimées au cours d’une émission de radio. Autres formes de racisme, autres dénonciations : la ségrégation aux États-Unis, avec le commentaire du cadrage d'une photo d'Elliott Erwitt, North Caroline (1950). Et enfin, voici le racisme « ordinaire » en France, mis en images par Karim Dridi dans son film de fiction Bye-Bye . Le réalisateur expose ses choix à l'aide d'extraits de son œuvre

exemple). Parmi eux, il faut mentionner le principe de dignité qui irrigue l’ensemble du droit des personnes physiques (et au-delà). La dignité de la personne humaine implique la primauté de celle-ci. Le Code civil l’affirme solennellement dans son article 16. Ce n’est pas seulement une valeur que le droit affirme : primauté, c’est être premier. C’est donc une hiérarchie que le droit institue. On peut penser avec M. Cornu, que la personne occupe la première place de toutes les hiérarchies du droit : la personne

tribunaux n’ont pu réprimer la publicité mensongère qu’en utilisant des textes non spécifiquement faits pour elle (l’article 405 du code pénal réprimant l’escroquerie, l’article 1 de la loi du 1 août 1905 sur les fraudes). C’est une loi du 2 juillet 1963 qui vint réprimer la publicité mensongère en tant que telle en l’érigeant en délit pénal. Ce texte se révéla si décevant qu’il fût remplacé dix ans plus tard par l’article 44 de la loi du 27 décembre 1973 dite loi ROYER dont les dispositions