Commentaire Composé La Jeune Veuve Voltaire

Cugnot : amie de Denise, vendeuse au rayon lingerie • • Deloche : amoureux de Denise, vendeur maladroit au rayon dentelles (renvoyé) • • Favier : vendeur au rayon soierie puis premier vendeur puis second puis premier (chef de rayon) • • Mme Frédéric : veuve, seconde au rayon des confections (démission) • • Hutin : premier vendeur au rayon des soieries puis second puis premier (chef de rayon) (renvoyé) • • Joseph : empaquette les paquets, ami d'Albert Lhomme • • Jouve : inspecteur, surveille les vols •

sommes énormes au Bonheur • • Mme de Boves : 45 ans, comtesse, amie de Mme Desforges • • M. de Boves : comte, amant de Mme Guibal • • Blanche de Boves : 20 ans, fille des de Boves, épouse Paul de Vallagnosc • • Mme Desforges Henriette : 35 ans, veuve, maîtresse de Mouret La famille de Denise, les Baudu : • Denise : 20 ans, célibataire, normande (originaire de Valognes) • Jean : frère de Denise, 16 ans • Pépé : frère de Denise, 5 ans • M. Baudu : oncle de Denise, drapier, père de Geneviève

… » Projet de lecture : une stratégie dénonciatrice : du grotesque au sublime  L’écriture du pamphlet  L’éloge de la figure du misérable héroïque Parcours dans l’œuvre : des poèmes-réquisitoires, les cibles qui incarnent le Passé Écriture de commentaire : V. Hugo, Ruy Blas « Bon appétit, messieurs !... » A la lumière des analyses menées en classe sur les 2 lectures analytiques précédentes de L’Année terrible, développez un aspect du texte de Ruy Blas qui vous semble important. Préparation : d’avril

créateur appliquée aux images, posture que l’artiste adosse à une déconstruction ironique des leurres de notre présent. Aussi, avec ces études, on renoncera semble-t-il définitivement au fantasme d’une modernité sans mélange, qui n’aurait jamais à composer avec le passé vivant des traditions. Comparatismes -n° 1Février 2010 22 Audrey GIBOUX – Tradition, Modernité : un éternel retour ? Préface La modernité, devenue un enjeu esthétique de premier plan en Occident après Baudelaire et Rimbaud

Renaud. • « Lily » de Pierre Perret. • « La Ballade de Serge K. » de Charlélie Couture. • « Tam-Tam de l’Afrique » du groupe IAM. • « Un jour en France » de Noir Désir. Pour toute remarque, question ou commentaire : jcpeton@gmail.com JC PETON, LP Camille JULLIAN, Marseille, 2009. | | | |FRANÇAIS

bourreaux sont des hommes ordinaires ; nous sommes tous des hommes ordinaires ; donc nous sommes tous des bourreaux. « Syllogisme boiteux » mais très en vogue, qui alimente aujourd’hui tant d’essais et de romans, comme l’a montré Charlotte Lacoste, jeune spécialiste de littérature, dans un livre paru l’année dernière sous le titre Séductions du bourreau (PUF, 482 p., 29 ¤). Cette version à deux sous de la « banalité du mal » nourrit ainsi l’humour de Duch, le bourreau du centre de détention S-21. «

chinoise montre deux jeunes gens qui découvrent l’amour, une étape de la construction de la personnalité également caractéristique de l’adolescence. ● Le visage des jeunes filles, dans L’Esquive, exprime une certaine gravité. Dans L’ami retrouvé, le jeune garçon montre son désarroi malgré la présence d’un ami à ses côtés. Dans Le Grand Meaulnes, les deux jeunes garçons gardent une certaine réserve face aux autres membres de la famille. Dans Balzac et la petite Tailleuse chinoise, les regards et la position

Doyenné, il avait Ronsard pour modèle. Il s’agit en principe de poèmes à la forme fixe et brève, chargés de traduire une pensée légère et brillante mais qui appelle une réflexion plus profonde, parfois d’ordre philosophique. De 1841 à 1846, Nerval compose des Poésies comme  De Ramsgate à Anvers  (1846), dernier de cette série au-delà de laquelle il faudra attendre la lente conception et mise au point des Chimères. Au demeurant plusieurs sonnets figurent déjà dans cet ensemble avec des titres différents

Conseil-d’État par Napoléon lors de la discussion du Code civil, frappèrent vivement l’auteur de ce livre ; et, peut-être, à son insu, mirent-elles en lui le germe de l’ouvrage qu’il offre aujourd’hui au public. En effet, à l’époque où, beaucoup plus jeune, il étudia le Droit français, le mot ADULTÈRE lui causa de singulières impressions. Immense dans le code, jamais ce mot n’apparaissait à son imagination sans traîner à sa suite un lugubre cortége. Les Larmes, la Honte, la Haine, la Terreur, des Crimes

nous avons rencontré dans un de nos amis, M. Lepingard père, ancien chef de bureau à la préfecture de la Manche, un de ces intrépides et modestes collectionneurs, qui, frappé des essais de feu Lamarche 1, était parti de ce premier travail pour se composer un Dictionnaire, sous le titre simple de: Notes sur quelques mots usités à St.-Lo ou dans les environs de cette ville. En voyant nos feuilles imprimées, il fut surpris de n'y pas trouver une foule de vocables qu'il avait consignés dans son recueil