Commentaire D Arrêt Civ 3 15 Juin 2005

concerne quant à lui les relations internationales entre personnes de droit public. II. Introduction Les droits, sont des prérogatives attachées aux personnes qui sont les sujets de droit, ces prérogatives leur permettent de jouir d'une situation 3 juridique que chacune d'elles peuvent faire reconnaître en s'adressant aux tribunaux. Pour la commodité, le droit est divisé en matières qui sont enseignées séparément en fonction de la spécificité de chaque discipline; (par exemple, pour ce qui

par exemple. Un fait juridique est un événement volontaire ou non susceptible de produire des effets de droit.) qui doit être constaté dans un acte d'état civil: l'acte de naissance art. 55 du code civil (C. civ). La naissance doit être déclarée à l'état civil du lieu de l'accouchement dans les 3 jours par le père ou les médecins, sage femme ou autre personnes ayant assisté à l'accouchement. L'acte de naissance est rédigé immédiatement, il énonce les jours, heures et lieu de naissance, le sexe de l'enfant

inexécution a tout de même un prix puisqu’il faut payer un dédommagement. Cela s’inscrit dans le mouvement de la « law and economics ». Mais cela a tout de même des conséquences importantes sur la confiance. La bonne foi : L’article 1134 al. 3 : « Elles [les conventions] doivent être exécutées de bonne foi ». Pour un juriste français, il y a deux acceptions du terme. Ainsi, il s'agit tout d’abord de l’idée que l’on peut être de bonne foi (bonne foi « subjective » : renvoie à un état d’esprit)

une hiérarchie. Hors depuis un arrêt de principe rendu le 2 janvier 1929 par la Chambre Civile de la Cour de Cassation, la Cour de Cassation a posé le principe d’absence de hiérarchie entre parents de même rang. De ce principe résulte une règle, « l’obligation alimentaire est simultanée ».  Est ce que le débiteur d’aliment qui va exécution l’obligation alimentaire est tenu par une obligation conjointe ou une obligation solidaire ? La jurisprudence a admis dans un arrêt de principe du 27 novembre 1987

inexécution a tout de même un prix puisqu’il faut payer un dédommagement. Cela s’inscrit dans le mouvement de la « law and economics ». Mais cela a tout de même des conséquences importantes sur la confiance. La bonne foi : L’article 1134 al. 3 : « Elles [les conventions] doivent être exécutées de bonne foi ». Pour un juriste français, il y a deux acceptions du terme. Ainsi, il s'agit tout d’abord de l’idée que l’on peut être de bonne foi (bonne foi « subjective » : renvoie à un état d’esprit)

des contrats qui étaient prohibés et qui sont aujourd’hui  autorisés. Ca vient du fait que notre concept de bonnes mœurs a bien évolué. D’une manière générale, l’autonomie de la volonté à également évolué. En 1804 c’est ce qui fondait le contrat. On a 3 corolaires pour le contrat - le consensualisme - la force obligatoire du contrat : on ne peut pas revenir sur sa parole. - L’effet relatif du contrat. Art 1165. Ce sont les piliers. 200 ans plus tard, ces principes ont en pris un coup. Le consensualisme

juridictions administratives, les juridictions civiles et les pénales (Chambre criminelle) pourront être compétentes. Très souvent, la victime d’un dommage est victime d’une infraction. Dans ce cas, ainsi que le veut le code de procédure pénale (articles 2 ; 3 ; 4), la victime agira soit directement devant une juridiction civile, où elle pourra, via l’action civile, agir devant une juridiction pénale, pour demander réparation du préjudice subi à la condition (prévue par le Code de Procédure Pénale) que l’infraction

restreint, ex : peintre qui s’est engagé a peindre, on ne peut pas l’obliger a exécuter un portrait donc exécution par équivalant DI qui suppose de rapporter la preuve de l’existence d’un préjudice.) S ‘agissant de l’exécution des avants contrat : 15 déc 93 La jp a estimé que le bénéficiaire de la promesse de vente ne pouvait pas contraindre l’exécution, car le promettant n’avait pas donné son consentement a la vente définitive. Il peut obtenir des DI en revanche. C’est une sanction de l’inexécution

procureur de la République (Andorre, Belgique, France, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Portugal, Roumanie, Turquie) [cf. J. Pradel, “Le ministère public, autorité omnipotente ou colosse au pied d’argile” in Revue pénitentiaire droit pénal n°3 déc. 2001 p. 464]. D’autres pays l’abandonne à un service spécial relevant du ministère de l’intérieur (Estonie, Irlande, Malte, Royaume-Uni, République Tchèque). La France, l’Italie, le Portugal, font parfois intervenir un magistrat du siège dans l’exécution

accident de scoot et casse le poignet d’une dame. Qui paye ? = obligations sont un lien de droit en vertu duquel il y a une obligation. Elles sont très différentes. Les sources des obligations Les engagements qui se forment par une convention (titre 3 du L3) proviennent de la volonté individuelle, dont l’archétype est le contrat. Celui-ci suppose un échange de volontés. // : engagements qui se forment sans volonté  La volonté est au cœur du droit des obligations  des obligations peuvent naître