Commentaire Le Misanthrope

contour parfaite dont le style doit exprimer la distance et la dimension d’un verdict irrévocable. Maximes et sentences : C’est l’expression d’une vérité morale d’ordre général, en une phrase évocatrice. On les trouve partout que ce soit dans des commentaires d’images ou insérés dans des textes plus longs dont elle e détache par sa forme indépendante. Les inventions de maximes et de sentences deviennent de véritables jeux mondains auxquels on participe dans les salons. Contes et fables: le récit et

travers elles, ce dernier parle de lui. Jean-Pierre Richard qualifie l’ouvrage d’« autobiographie oblique ». 1. Une biographie recomposée (questions 1 et 2) Le narrateur est omniprésent dans ce double portrait, ponctuant celui-ci de remarques et de commentaires. On relèvera les nombreux modalisateurs qui jalonnent les deux premières phrases (« bien », « sans doute », « bien davantage », « profondément »). La formule « qui m’importe peu » (l. 2) révèle que l’écrivain ne cherche pas l’exactitude biographique

prête à tout pour le plaisir de son amant. L'étude de son portrait révèle une ambiguïté étrange et menaçante Cette femme étrange semble pourtant fasciner totalement le poète et incarner paradoxalement l'idéal qui le comble et le sauve Résumé du commentaire de texte Dans l’œuvre de Baudelaire, Les Fleurs du mal, publiée pour la première fois en 1857, l’évocation de l’idéal, de la quête du beau, alterne souvent avec celle d’une mélancolie à laquelle le poète donnera le nom de « spleen ». Si au fil

ORALES DU BACCALAURÉAT LA QUESTION SUR LE CORPUS ¢¢ ¢¢ 32. Lire un corpus et des consignes, crayon en main 33. Rédiger la réponse à une question sur un corpus .................................. .................................. 216 221 LE COMMENTAIRE ¢¢ ¢¢ ¢¢ 34. Étudier le texte et concevoir un plan détaillé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227 35. Rédiger un paragraphe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

destinées à plaire au roi et au grand public, et quelques grandes comédies aux sujets graves, par goût de la satire. Dom Juan ou le Festin de pierre (1665) : Molière reprend l'histoire du séducteur de Séville, mais accentue le cynisme du personnage. Le Misanthrope (1666) : l'atrabilaire Alceste, ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte. Le Tartuffe (1664) : faux dévot, a obtenu la confiance d'Orgon et sa promesse d'épouser sa fille. Les Femmes savantes (1672) synthétisent

l’écrit : le commentaire littéraire ▶ ▶ ▶ Histoire des arts Histoire des arts Devoir n° 1 Lecture analytique guidée d’un ▶ Le texte narratif texte narratif ▶ Entraînement à l’écrit : l’écriture d’invention. Devoirs Devoir n° 2 Écriture d’invention Les registres satirique, polémique et oratoire La nouvelle, bref Devoir n° 3 historique de ce Commentaire genre littéraire littéraire ▶ Expliquer un texte descriptif ▶ ▶ Le commentaire littéraire

Papillon. Vous êtes le chef. Puisque vous l’ordonnez, nous devons obéir. MONSIEUR PAPILLON Messieurs, dépêchez-vous. Je ne veux pas être dans la triste obligation de vous retenir une amende sur vos traitements ! Monsieur Dudard, où en est votre commentaire de la loi sur la répression antialcoolique ? DUDARD Je mets cela au point, monsieur le Chef. MONSIEUR PAPILLON Tâchez de terminer. C’est pressé. Vous, monsieur Bérenger et monsieur Botard, avez-vous fini de corriger les épreuves de la

Papillon. Vous êtes le chef. Puisque vous l’ordonnez, nous devons obéir. MONSIEUR PAPILLON Messieurs, dépêchez-vous. Je ne veux pas être dans la triste obligation de vous retenir une amende sur vos traitements ! Monsieur Dudard, où en est votre commentaire de la loi sur la répression antialcoolique ? DUDARD Je mets cela au point, monsieur le Chef. MONSIEUR PAPILLON Tâchez de terminer. C’est pressé. Vous, monsieur Bérenger et monsieur Botard, avez-vous fini de corriger les épreuves de la

parfaitement au récit et aux portraits fournis par Tacite. Le succès ne s’est jamais démenti depuis. Au XVIIe siècle, la pièce fut jouée 86 fois à la Comédie-Française, ce qui la plaçait au cinquième rang des tragédies. En 1764, dans son ‘’Commentaire sur Corneille’’, Voltaire réhabilita la pièce, déclarant : «’’Britannicus’’ fut la pièce des connaisseurs, qui conviennent des défauts, et qui apprécient les beautés». Au XVIIIe siècle, où la pièce fut jouée 289 fois à la Comédie-Française, y

parfaitement au récit et aux portraits fournis par Tacite. Le succès ne s’est jamais démenti depuis. Au XVIIe siècle, la pièce fut jouée 86 fois à la Comédie-Française, ce qui la plaçait au cinquième rang des tragédies. En 1764, dans son ‘’Commentaire sur Corneille’’, Voltaire réhabilita la pièce, déclarant : «’’Britannicus’’ fut la pièce des connaisseurs, qui conviennent des défauts, et qui apprécient les beautés». Au XVIIIe siècle, où la pièce fut jouée 289 fois à la Comédie-Française, y étant