Commentaire Les Fenêtres Baudelaire

.....................114 Liste des illustrations Figure 1: Nadar (Félix Tournachon, dit). Portrait de Charles Baudelaire. 1859. Photographie n/b. (Reproduction tirée de Aaron Scharf, Art and Photography, New York: Pelican Books, 1979, p. 64 )...............................................................................86 Figure 2: Manet, Édouard. Portrait de Charles Baudelaire. 1865. Eau-forte. (Reproduction tirée de Aaron Scharf, Art and Photography, New York: Pelican Books, 1979, p. 64)

la littérature antique, en particulier certains textes grecs auxquels elle n’avait pas accès jusqu’alors. Florence devient ainsi un berceau intellectuel, sous l’impulsion de savants tels que Marsile Ficin, qui se lance dans la traduction et le commentaire de ces textes ; il diffuse notamment à ses élèves la philosophie de Platon. C’est ainsi que l’homme devient un objet d’émerveillement, puisqu’on redécouvre ses œuvres inscrites dans le temps et donc la puissance de sa culture, et l’objet aussi de

danger de confier son secret à une chèvre II. Qu'un prêtre et un philosophe sont deux III. Les cloches IV. ἈΝΆГKH V. Les deux hommes vêtus de noir VI. Effet que peuvent produire sept jurons en plein air VII. Le moine-bourru VIII. Utilité des fenêtres qui donnent sur la rivière Livre huitième I. L'écu changé en feuille sèche II. Suite de l'écu changé en feuille sèche III. Fin de l'écu changé en feuille sèche IV. Lasciate ogni speranzai V. La mère VI. Trois cœurs d'homme faits différemment

j’ai cru voir la fée au chapeau de clarté Qui jadis sur mes beaux sommeils d’enfant gâté Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées. et la moins vénérable encore qu’adorable SAINTE A la fenêtre recélant Le santal vieux qui se dédore De sa viole étincelant Jadis avec flûte ou mandore Est la Sainte pâle, étalant Le livre vieux qui se déplie Du Magnificat ruisselant Jadis selon vêpre et complie : A ce vitrage d’ostensoir Que frôle une

A Par ailleurs, les exemples de code L TEX sont encadrés afin de pouvoir les identifier plus facilement et beaucoup sont suivis de leur résultat, lui aussi encadré. Remarques et commentaires J’espère que ce manuel sera utile au plus grand nombre et je vous invite à me faire part de vos remarques et de vos commentaires le concernant par courriel à l’adresse . 5 Chapitre 1 Introduction A Ce manuel est destiné à vous apprendre L TEX 1 dans la joie et la bonne A humeur. Après l’avoir lu

Mercredi 21 décembre 1842 Entre le 21 et le 28 décembre 1842 Samedi 24 décembre 1842 ? Mercredi 28 décembre 1842 Jeudi 29 ou vendredi 30 décembre 1842 ? 1843 « Ces crépuscules beaux et tristes de l’année 1843, quand je humais l’air à ma fenêtre, plein d’ennui et la mort dans l’âme ». Janvier 1843 Février 1843 Jeudi 9 février 1843 Début février 1843 Vendredi 10 février 1843 Samedi 11 février 1843 Dimanche 12 février 1843 Lundi 13 février 1843 Samedi 18 février 1843 Lundi 20 février 1843

Jean-Honoré FRAGONARD (1732-1806) La jeune fille lisant, v. 1776 * Sommaire 1. (Brève) introduction au XVIII° siècle 2. Article « Philosophe » de L’Encyclopédie 3. Quelques noms, titres et dates 4. Conseils bibliographiques 5. Textes 6. Commentaires de textes choisis pp. 3-7 pp. 8-9 pp. 10-11 pp. 12-13 pp. 14-55 pp. 56-77 2 (Brève) introduction au XVIII° siècle L’invention de la liberté ? Balises temporelles/symboliques Le 18° siècle est ce siècle « court » qui se déploie entre

montrer et se don‑ ner en spectacle. Il mesure tout à l’aune de ses propres coutumes (« à peu près comme…notre Perse ») mais c’est surtout pour montrer qu’à l’époque, la société est fondée sur le paraître. 36 — Avec son pessimisme habituel, Baudelaire souligne la vanité du voyage. Il est une nouvelle tentative pour sortir du spleen et un nouvel échec. Le poème montre que le voyage alimente l’imaginaire, la rêverie et l’espoir. Le but est de se distraire pour sortir de l’ennui (« pour égayer

intrigante : « Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! Ô Créateur ! peut-il exister des monstres aux yeux de celui-là seul qui sait pourquoi ils existent, comment ils se sont faits, et comment ils auraient pu ne pas se faire… » (Charles Baudelaire). Elle est empruntée à un texte des ‘’Petits poèmes en prose’’ de ‘’Spleen de Paris’’ (XLVIII). Le roman est précédé d'une adresse à « Thérèse ». Divisé en treize chapitres numérotés et non titrés, il est l'un des plus significatifs de Mauriac

de Roussainville » comme il le faisait autrefois depuis « le petit cabinet sentant l'iris » « au haut de notre maison de Combray ». Un jour, se trouvant à Monjouvain, près de la maison de M. Vinteuil, après la mort de celui-ci, d'un talus par une fenêtre ouverte, il vit sa fille avoir avec son amie une « familiarité rude et dominatrice » et cracher sur le portrait de son père. En allant du côté de Guermantes, « on y avait presque tout le temps à côté de soi le cours de la Vivonne », dans les petits