Commentaire Odelettes Nerval

ton coeur, sans rien craindre, Dusses-tu pleurer et souffrir, La flamme qui ne peut s'éteindre Et la fleur qui ne peut mourir ! «Aimons toujours ! Aimons encore !...», Les contemplations, Victor Hugo, 1856 Commentaire : Ici, le narrateur fait tout d'abord l'éloge de ce qu'est l'amour, ce que l'amour procure comme sentiment. L'amour est majoritairement valorisé et louangé tout au long du poème, mais le narrateur parle d'amour pure. En effet, il dénigre le fait

consistent en près de 180 lettres (correspondance familiale et professionnelle) et quelques descriptions géographiques.Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française. Commentaire : Par un procédé habile, Rimbaud essaie de nous mettre sur une fausse piste, mais il nous laisse une foule d'indices qui recouvre le thème de la mort. Le "trou" peut être assimilé à une tombe creusée, les "glaïeuls" qui ne sont pas des fleurs

visage 1839 Petrus Borel : Madame Putiphar 1840 Xavier Forneret : Pièce de pièces, temps perdu 1842 Aloysius Bertrand : Gaspard de la nuit (éd. posthume) 1852 Gérard de Nerval : Les Illuminés 1854 Gérard de Nerval : Les Filles du feu et Les Chimères (poésie) 1855 Gérard de Nerval : Aurélia 1860 Xavier Forneret : Ombres de poésie 1. Dans l'ombre des cénacles Alors que le romantisme historique, celui des grands maîtres, Lamartine, Vigny, Musset

L’Etranger (1942) Problématique : Dans quelle mesure le personnage de Meursault incarne-t-il la vision du monde absurde de Camus ? Objectifs méthodologiques : la dissertation (recherche de problématique et construction d’un plan détaillé), le commentaire littéraire Lectures analytiques (Corpus) : Texte 4 : L’incipit : «  Aujourd’hui » à « deux heures de route.» Texte 5 : Le meurtre de l’Arabe : « J’ai pensé » à « sur la porte du malheur » Texte 6 : Le procès de Meursault : « L’après-midi » à « j’étais

parle ? A qui ? (phrase d’intro, dvpt, phrase de ccl avec citations de chaque poème bien insérées). Séance 2 (2h) Découvrir la sensibilité et le lyrisme romantiques. Définir le registre lyrique. - Corpus de la sqce : Lamartine, « L’Automne » ; Nerval, « Fantaisie » ; Aloysius Bertrand, « Ondine » et « La ronde sous la cloche ». - Alphonse de Lamartine, « L’Automne » in Méditations poétiques (1820). - Bilan de la question de synthèse : Dans ces 4 poèmes, le narrateur utilise

« mon »). (Peut-être le poète lui-même ?) Il |Rédiger l’introduction, | |[pic] Découvrir la |Nerval, « Fantaisie » ; |est au centre de son texte. |une partie au choix et la| |sensibilité et le lyrisme|Aloysius Bertrand, |1° approche du registre lyrique = parler de soi. |ccl du commentaire, à | |romantiques. |« Ondine » et « La ronde |f

Groupe Hugo Séance du 24 janvier 1998 Exposé de Françoise Sylvos : Hugo et le jeune Nerval Les points de contact entre les deux écrivains sont si nombreux qu'il serait présomptueux de rechercher ici l'exhaustivité. Il s'agira pourtant de cerner les relations humaines ayant pu s'établir entre Nerval et Hugo, de montrer les relations d'intertextualité entre certaines oeuvres des deux écrivains, les coïncidences thématiques attestant un intérêt commun pour une seule et même cause... Elles sont

et sa liaison avec Juliette Drouet provoque en lui de profonds changements d'idées et en font le chef de file du mouvement romantique. Son appartement devient le siège du "Cénacle", regroupant de jeunes auteurs romantiques. Il gagne avec Gérard de Nerval et Théophile Gauthier la "bataille d'Hernani", contre les partisans du théâtre classique. Ecrivain de génie, il voit sa notoriété se transformer rapidement en célébrité. Victor Hugo est élu à l'Académie Française en 1841 et Pair de France en 1845

Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926) « IL N’AURAIT FALLU… » de L. ARAGON : COMMENTAIRE Il n’aurait fallu Qu’un moment de plus Pour que la mort vienne Mais une main nue Alors est venue Qui a pris la mienne Qui donc a rendu Leurs couleurs perdues Aux jours aux semaines Sa réalité A l’immense été Des choses humaines Moi qui frémissais

jeunesse .................................................................... 84 BICENTENAIRE NERVAL ............................................................. 96 Marina MUREŞANU IONESCU (Roumanie) Théâtralité et discours. Eminescu et Nerval.................................... 98 Hisashi MIZUNO (Japon) La réforme de la poésie moderne ou les scènes musicales dans « Sylvie » de Gérard de Nerval..................................................... 110 5 II. LINGUISTIQUE ............