Commentaire Paroles De Poilus

le monde était mort… » Destinat mort en 21. Description de Destinat par le changement opéré par Lysia racontée par Barbe. Lysia apporte le déréglement. Destinat redevient humain (jugement narrateur/policier). Repas Destinat/Lysia. Regards, pas de paroles. Barbe remet la clé du château au narrateur. Ellipse (de 6 mois) Mort de Barbe. Le narrateur va sur la tombe de Clémence. Cela le décide de se rendre au château. (allusion à la belle au bois dormant). 9 Le narrateur reparle de Lysia Verhareine.

monde était mort… » Destinat mort en 21. Description de Destinat par le changement opéré par Lysia racontée par Barbe. Lysia apporte le déréglement. Destinat redevient humain (jugement narrateur/policier). Repas Destinat/Lysia. Regards, pas de paroles. Barbe remet la clé du château au narrateur. Ellipse (de 6 mois) Mort de Barbe. Le narrateur va sur la tombe de Clémence. Cela le décide de se rendre au château. (allusion à la belle au bois dormant). 9 Le narrateur reparle de Lysia Verhareine

le monde était mort… » Destinat mort en 21. Description de Destinat par le changement opéré par Lysia racontée par Barbe. Lysia apporte le déréglement. Destinat redevient humain (jugement narrateur/policier). Repas Destinat/Lysia. Regards, pas de paroles. Barbe remet la clé du château au narrateur. Ellipse (de 6 mois) Mort de Barbe. Le narrateur va sur la tombe de Clémence. Cela le décide de se rendre au château. (allusion à la belle au bois dormant). Le narrateur reparle de Lysia Verhareine. Printemps

« conflit  »  avec  la  ménagère : « ​ Ah  ! Celle­là ! »l.28. ​ L'entrée  en  scène  de  ces  deux  personnages  est  marquée  par   l'absence  de communication​  : la  ménagère passe « ​ en  silence »l.24 ​ et  l'épicière  ne  lui  adresse  pas la parole ; elle se parle d'abord à  elle­même,  puis  interpelle  son  mari  resté  dans  la  boutique.  situation d'opposition s'accentue avec l'arrivée de Jean et de  Bérenger. ​ Déplacement  sur  scène révélateur  : leur apparition simultanée s'effectue par les deux côtés 

énonciation, l’absurde ; fiction complète, loin del ‘implication de Malraux, de Barbusse ; Le 8 mars, dissertation sur Malraux, obligatoire à rendre ; L’histoire vue par les écrivains 1 . LE ROMAN Particularité : contemporanéité de la parole scripturale ou auctoriale ac l’évènement narré ; c’est l’histoire contemp vue par les écrivains, ; simultanéité ; huit ans ne compte pratiquement pas ; qd on est ds des chroniques de guerre , La tradition de l’œuvre historique, amplitude d’environ

puis renversement brutal de cet ordre v. 23 fourmi › ciron : effet de surprise - comique dû aux contrastes des associations et des enchaînements : animaux choisis pour leurs caractéristiques dominantes ou leur réputation • les 2 premiers sont 2 poilus, mais l’un est malin et habile vs l’autre pataud • cf  4 derniers : éléphant / baleine → énormes ; fourmi / ciron → minuscules ; passage d’un extrême à l’autre souligné par le parallélisme des v. 22-23 Dame baleine (…) trop grosse // Dame fourmi

sonnet et en développant le thème traditionnel de la Nature. I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

la langue englobe tout. Le style est l'apanage de quelques êtres supérieurs. Il est probablement possible de trouver un lien entre la langue d'un écrivain et son idéologie. On peut voir dans le style de Céline quelque chose du tribun qui impose sa parole aux autres: il ne s'agirait pas pour lui de la partager mais de l'imposer. Il est vrai que Céline infuse son écriture dans l'oral, et particulièrement l'oral populaire du petit Paris. Mais les fascismes sont populistes et il n'est pas si étonnant

le journal sera tenu de gratter le cliché avec un outil appelé "échoppe".La censure et la propagande appellent au "bourrage de crâne" Née dans les tranchées de la Grande Guerre, l'expression "bourrage de crâne" nous vient tout droit des valeureux poilus qui l'inventent pour dénoncer les absurdités lues dans la presse. En effet, censurés, mal informés, interdits sur le front... les journalistes doivent faire appel à leur imagination pour remplir leurs colonnes et nourrir la propagande: fausses interviews

bataille abandonné confère au témoignage la première de ses valeurs, qui est d’expliquer la guerre alors que la majorité des participants au conflit ont disparu. Ce passage est donc à mettre en parallèle avec les autres moments où Barbusse évoque la parole empêchée des témoins directs, soit parce qu’ils meurent avant d’avoir pu parler, soit parce qu’ils sont incapables de dire ce qu’ils ont vu. Le personnage de Lamuse est doublement dans ce cas: le narrateur le montre incapable de s’exprimer et obligé