Commentaire Sans Rancune

GAULLE, Mémoire de guerre : Tome 3 le Salut : 1944-1946 Synthèse de l'article de Jean-Louis Crémieux Brilhac, paru dans Espoir, n°128, en 2001. ------------------------------------------------------------------------------------------------ Commentaires :                   ------------------------------------------------------------------------------------------------             Jean-Louis Crémieux-Brilhac est un ancien résistant et historien français spécialiste

ce qu’elles participent de cette même folie. De manière tout à fait analogue, nous pourrions faire le même commentaire des vers 839-40, qui font rimer « reçoivre » et « deçoivre ». Au fond, et comme toujours dans cette branche, nous sommes prévenus dès le prologue : « Fortune se joe del mont : Li uns viennent, li autres vont [...] Tex est la costume Fortune Que l’un eime, l’autre rancune »[10]. La Fortune, c’est-à-dire la chance, le hasard, bref, la valeur la plus aléatoire de ce bas monde, est

en est et ne joue pas les deux derniers matches décisifs de la saison. Et ce n'est pas tout ! Plus que moribond, Lens est le plus minable dernier du championnat de la décennie avec, tenez-vous bien, 19 points de retard sur l'avant-dernier. Les commentaires radios du match sont éloquents, les lensois courent comme des lapins et se défoncent comme jamais ils ne l'avaient fait auparavant. A l'issue du match un joueur lensois lâchera : "ce soir, nous avons touché une double prime". La conclusion est

se vit lapidée, ensevelie sous les pierres. » (NO, p.112) Cependant, cette séquence ne satisfait en rien la curiosité du lecteur ; la figure féminine reste le personnage central et la narratrice s’efface derrière elle ne faisant que certains commentaires qu’on verra plus bas et ne fournissant aucune information sur la réaction d’Aphrodissia. En réalité, c’est dans ce fait que réside la réussite de cette nouvelle ; c’est à dire dans le suspens produit par l’utilisation de la formule Narrateur=

interminables, je guéris enfin de ma « superbe » (ironique) grippe. Pendant un certain temps, j’avais une peur inexpliquée du médecin ; évidemment, comme j’étais encore petit, je croyais que ma grippe venait de lui et donc j’éprouvais une certaine rancune à chaque fois que je le voyais. Cédric Ça s’est passé il y a trois ans, à Pfastatt, lors du dernier match de championnat avant la semi finale. J’étais en benjamin et on avait la possibilité d’aller en finale du Haut Rhin. Ce jour-là, on jouait contre

....................................................................................... 12 ................................................................................................... 16 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Des formes fixes aux confins du vers ............................. 19 Étape 2 Histoire littéraire .......................................................................... 21 Étape 3 Les lieux de la poésie (1) .......................

On sait que l’eudémonisme affirme que le bonheur est le souverain bien. C’est donc un texte sur le bonheur. Descartes débouche cependant sur une conception du bonheur qui bouscule les idées reçues puisqu’elle dissocie bonheur et bien-être. Commentaire→ si on continue à penser que le bonheur est le souverain bien, Descartes offre du bonheur une conception qui distingue le bonheur du plaisir. Le bonheur ne consiste pas à poursuivre ce qui nous fait plaisir mais plutôt à poursuivre la vertu, comme

l'affaire est considérée par toute la société comme nauséabonde et indigne. Il est inconcevable que Melbourne ait laissé se développer ce monstrueux scandale qui ne peut manquer de discréditer la cour aux yeux du monde.» Voilà comment l'entêtement, la rancune, la colère d'une reine de vingt ans conduisent à la démission d'un gouvernement, à une crise politique, à des attaques violentes contre elle-même. Melbourne avait bien raison de conseiller la prudence. Mais, comme le notait alors Disraeli, les reines

mois. Si Rouville ne signe pas, il perdra tous ses droits. Et comme Perrot et lui ont eu souvent des … «malentendus» au sujet des petits commerces frauduleux du gouverneur avec les Indiens… eh bien! Celui-ci va voir une bonne occasion d’exercer sa rancune. Jeanne est atterrée. Elle sait que malgré ses résolutions de cultiver la terre, Simon est avant tout un homme des bois. Et d’ailleurs, après son absence forcée de l’été, seul un autre hiver à recueillir des fourrures pourra lui permettre d’amasser

touché par un crash d’avion qui fait 150 morts dans les Alpes. La catastrophe fait la une du journal pendant plusieurs jours. A la fin de l’un d’entre eux, le journaliste annonce brièvement la mort de 400 migrants dans la mer Méditerranée. Aucun commentaire supplémentaire n’est fait. Fabien est choqué par le peu de communication sur le sujet et plus encore par son manque de compassion face à cette tragédie. Ce manque de compassion est sans doute expliqué par le fait qu’on s’identifie