Commentaire Stylistique De Voyage Au Bout De La Nuit

texte, et non plus sa seule segmentation. Dans ce contexte, le poème en prose ne s'est guère développé: quelques poèmes honteux se faisant passer pour des traductions et unique exemple de proposition assumée d'une nouvelle forme, «GASPARD DE LA NUIT» d'A. Bertrand. Les textes de Bertrand reprennent un certain nombre de structures du poème versifié: division en paragraphes, dont le nombre est relativement fixe — 5 à 7 — et correspondant dans la plupart des cas à une phrase — reprise de la 232

L’œuvre romanesque que vous allez étudier s’inscrit dans le domaine d’étude « Littérature et langages de l’image ». Du fait du caractère exactement contemporain (1959 et 1960) des deux œuvres, roman et film, la comparaison s’impose sur les procédés stylistiques que le romancier comme le réalisateur ont employés. Il s’agira donc d’envisager le roman en parallèle avec l’œuvre cinématographique : les analyses, sauf impossibilité, tiendront donc compte des deux médias, dans une approche comparatiste qui

.............5 Séquence 1 Le personnage, reflet du monde ? ........................................................7 Séquence 2 Parcours de lecteur : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 ................32 Séquence 3 Histoire des arts : Voyages au bout de la nuit ....................................44 Séquence 4 Personnage et société ........................................................................54 Séquence 5 Parcours de lecteur : Laurent Gaudé, La Mort du roi Tsongor, 2002 ......79 Vers

déjà en direction de la prose poétique. Melle Else, d’Arthur Schnitzler (viennois). Il avait lu Les Lauriers sont coupés de Dujardin et avait écrit Le Lieutenant Gustel en 1900, en monologue intérieur autonome, « a monolog-novel » (monologue en une nuit avec absurdité jusqu’au suicide satyrique puis dénouement grotesque). Il est avant tout un dramaturge. Dans Melle Else, croisement entre monologue intérieur et théâtre (et non pas poésie). Il s’appuie sur la dernière définition de Dujardin pour critiquer

reconnaître les commentaires du narrateur sont, en premier lieu, les pronoms personnels de première et de deuxième personne, qui désignent, d’une part, un « je » qui s’apparente à la figure de l’auteur dans la narration et, d’autre part, le lecteur virtuel. On peut aussi souligner l’apostrophe à ce lecteur, les questions rhétoriques, le présent de l’indicatif, les présentatifs ou le lexique de la création littéraire (« facile », « faire des contes », « j’entame le sujet de leur voyage ») : une deuxième

du suspense. 5. Volonté didactique Sujet choisi pour faire exemple de vertu, sujet montrant un exemple de haute moralité. Le spectateur est invité à prendre exemple sur le personnage représenté. Second degré de lecture qui permet de faire un commentaire politique → 2poque Napoléonienne et révolution française. 6. Primauté du dessin sur la couleur 18e siècle : mise en place des académies où les élèves sont d’abord formés au dessin. Les toiles sont d’abord réalisées sur un petit format puis recomposée

chapitres X, XI. ■ Le genre du roman Cette histoire commence en pleine tempête, en plein vent et ce champ lexical rencontre celui de la mer et des bateaux dans ce décor de port breton : on en fera aisément le relevé. Ce cadre tourmenté, la nuit et le fait que tout le monde – presque tout le monde – dorme se révèle propice à des événements mystérieux, violents, un meurtre par exemple comme dans tout bon roman policier, le douanier jouant d’une certaine façon le rôle du policier qui ne

proposer un résumé. Séance 11 (p. 63) Le commentaire de document Qu’est-ce qu’un commentaire ? Nécessité de connaissances préalables ; les différents documents pouvant être soumis à commentaire ; identifier les points à commenter, classer les informations, revenir sur le contexte ; quelques écueils à éviter ; introduction, développement et conclusion d’un commentaire. Travail de l’étudiant (8) : présenter le plan détaillé d’un commentaire. Séance 12 (p. 68) La synthèse et l’étude

représentation du moi, et d’autre part, le réalisme et le naturalisme qui préfèrent décrire la réalité et la vie sociale. Le XIXe siècle fut le siècle des grandes expériences, des luttes littéraires fécondes, un siècle audacieux qui voulut aller jusqu’au bout des idées, des genres et de l’expression. Il fut aussi marqué par la montée du capitalisme et le triomphe de la bourgeoisie. Chacun à sa manière, les quatre écrivains présentés dans cette vidéocassette vont se faire véritablement les témoins de leur

vivante (p. 13-18) avant que les personnages 2 n’aillent se coucher (« chacun s’alla coucher », p. 18). Cependant, ce conte com‑ porte un aspect merveilleux par les origines du prieuré, racontées avec l’histoire de saint Dunstan. Celui-ci voyage sur une montagne personnifiée qui lui tient lieu de moyen de locomotion et qui pourrait faire écho aux tapis volants des contes : « sur une petite montagne qui vogua vers les côtes de France », « qui lui fit de profondes révérences » (p. 11). Par