Commentaire Sur Marquise Si Mon Visage

de Louis XIV. Le château de Sceaux. La duchesse du Maine y tient une cour royale et exige de ses hôtes des vers sur tout et sur rien. À ces jeux, Arouet est de toute première force. En 1715, alors que débute la Régence, Arouet a 21 ans. Il est si brillant et si amusant que la haute société se dispute sa présence. Il aurait pu devenir l’ami du Régent mais se retrouve dans le camp de ses ennemis. Invité au château de Sceaux, centre d’opposition le plus actif au nouveau pouvoirn 6, où la duchesse du Maine

Ptolémée reconnaissable à son globe. - En bas à gauche, le philosophe et mathématicien Pythagore écrivant ses Commentaires. A ses côtés, accoudé à un bloc de pierre, le philosophe Héraclite. - Au centre, allongé sur les marches et à l’écart des autres, le philosophe Diogène, connu pour son mépris des richesses et des règles sociales. Raphaël peint les personnages en leur donnant le visage de ses contemporains : Platon a les traits de Léonard de Vinci ; Héraclite ceux de Michel-Ange. Quant au peintre

cher, le gel, madame. C’est ainsi qu’elle se retrouve dans le rayon cosmétiques du Monoprix de l’avenue Gambetta. Le gel pour les cheveux, pense-t-elle, ça donne souvent l’allure d’un petit moineau trempé. Mais au fond elle aime bien les moineaux, et si elle mettait la main sur un petit moineau trempé elle aimerait bien le sauver. A côté d’elle se tient un homme, un bel homme, elle le sent à ses gestes, elle tourne la tête pour vérifier et en effet, c’est encore un très bel homme. Il tourne aussi la

n'auraient-ils pas tous deux raison, dans la mesure où chacun interprétait à sa façon les données scientifiques, pour les détourner à des fins poétiques? Ne s'agissait-il pas de déterminer les sources de l'inspiration, ce qui aurait fait dire à Breton : «Si c'est ça le génie, c'est facile»? Dès lors, toute la littérature soigneusement concertée était disqualifiée à ses yeux. Le fait que Freud et le jeune Jung avaient interrogé des textes de Goethe ou de Shakespeare suscita le projet de produire, au moyen

l'humanité!» [p. 274-275]. -- Telle ne sera justement pas la destinée d'Eugénie Grandet! Par les titres des chapitres, qui concernent l'espace et le temps mais aussi les moeurs, le roman pourrait être divisé en trois parties de deux chapitres chacune. Si l'on retenait la division en six chapitres de l'édition princeps, le premier chapitre constituerait l'introduction et le dernier, la conclusion. Mais, selon la grammaire du texte, l'ouvrage peut être segmenté en trois séquences. La séquence initiale

16 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le roman. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 VERS LE BAC Question sur un corpus : Duras, Échenoz, Chevillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22-27 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours 8 9 10 11 12 13 Le texte et la scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

29 32 . . . . 35 35 40 45 50 Conclusion 55 Annexes 57 Bibliographie 69 2 Introduction La place de la litt´erature au sein de l’enseignement du fran¸cais langue ´etrang`ere (FLE) a connu une tr`es s´erieuse ´evolution au cours du vingti`eme si`ecle. Dans son article de synth`ese sur le rˆole de la litt´erature dans l’enseignement des langues ´etrang`eres aux EtatsUnis, Amos Paran r´esume cette ´evolution en citant Claire et Olivier Kramsch qui ont mis en relief « the movement from literature

bien que Votre Majesté eût la bonté de lui apprendre mon nom. — Je crois, dit Mme la dauphine, qu'elle le sait aussi bien que vous savez le sien. — Je vous assure, Madame, reprit Mme de Clèves, qui paraissait un peu embarrassée, que je ne devine pas si bien que vous pensez. — Vous devinez fort bien, répondit Mme la dauphine; et il y a même quelque chose d'obligeant pour M. de Nemours à ne vouloir pas avouer que vous le connaissez sans l'avoir jamais vu. La reine les interrompit pour faire continuer

premier, qui servira de modèle au second, fera longtemps figure de type moderne du portrait royal. Le portrait devient avec lui un tableau à part entière où le personnage, peint selon un réalisme si scrupuleux qu’il peut en paraître peu flatteur, est représenté à mi-corps, mains en vue, presque de face, visage de trois quarts, au centre d’une composition fortement géométrisée dont les rideaux soulignent symboliquement la majesté. Portrait en majesté, lui aussi, le tableau de Clouet reprend la géométrisation

moeurs et de caractères, riche en péripéties, si suggestive soit-elle, si riche soit-elle par les points de vue qu'elle nous ouvre, n'est pas sans défauts. D'aucuns la trouvent longue : trois actes auraient suffi pour traiter de l'avarice ; la scène 5 de l'acte II, en particulier, se traîne et nous lasse. L'action manque de solidité puisque, par deux fois, nous entendons exposer des projets : maladie feinte d'Élise (I, 5), supposition d'une riche marquise, venue de Basse-Bretagne pour épouser Harpagon