Commentaire Texte De Platon Sur Le Désir

voir combattre… Les quelque cent vingt documents présentés dans l’exposition permettent à coup sûr de prendre la mesure de son importance aux fondements de notre pensée et de ce qui aujourd’hui encore nous fait rêver. Rien n’est plus naturel que le désir de savoir la vie et les aventures d’un grand poète comme Homère, qui a tant fait d’honneur à l’Homme par la sublimité et par l’étendue de son esprit. Tout le monde veut connaître celui qu’il s’est efforcé d’admirer ; mais malheureusement, c’est une

cela n’a pas de sens, ou que je ne suis pas d’accord ? En tant que telle, sa proposition est claire, et je dois dire qu’elle a du sens. Selon les critères scientifiques établis, je peux dire qu’elle n’a pas de sens. On peut considérer que les deux commentaires sont acceptables, la seule différence portant sur les présupposés qu’ils impliquent, dont il s’agit de prendre conscience. Par exemple, en déterminant si les critères sont philosophiques ou scientifiques. On distinguera ces critères en avançant

est la vérité : la compréhension vraie, la connaissance vraie, la véracité, l’action et la vie vraies. C’est par ces moyens que l’on arrive à se libérer de l’ignorance qui est la cause ultime de la renaissance. Car de l’ignorance va naître le désir, du désir l’action et de l’action la renaissance. L’éthique du bouddhisme Le bouddhisme affirme que tout est transitoire, que rien n’est substantiel. Donc logiquement aucune âme ne transmigre. La transmigration n’est donc que la continuité des valeurs :

  texte  élève (mettez un lien de l’analyse dans)  Ronsard, les  Ronsard, ​ Les amours, ​ 1578, “Afin qu’a tout jamais”    amours “afin    qu’a tout jamais”  Afin qu’à tout jamais de siècle en siècle vive  La parfaite amitié que Ronsard vous portait,   Comme votre beauté la raison lui ôtait,   Comme vous enchaînez sa liberté captive ;    Afin que d’âge en âge à nos neveux arrive  Que toute dans mon sang votre figure était,  Et que rien sinon vous mon cœur ne souhaitait,   Je vous fais un présent de cette Sempervive

bouleversement pour ses congénères, un changement radical dans la nature du projet philosophique. A sa mort il fut considéré comme fondateur de nombreuses écoles de philosophie, pourtant fort différentes. Sa vie est connue grâce à un de ses élèves : Platon qui écrivit en se servant de Socrate comme porte parole (donc difficile de distinguer ce qui est propre à chaque). Passa son temps à s'entretenir avec des gens en ville ("les arbres ne m'apprennent rien"). Il était laid "comme un pou". Il affirmait

mais  vous  n’avez  pas  entendu le ‘sciendi’. J’ai dit ‘libido sciendi‘ ­l’insiste sur le sciendi­ ­    ELLE  (se moquant) Oui, oui, insistez sur le sciendi    LUI    Et  comment  :  je  parle  de  l’amour  ‘du  savoir‘.  C’est,  voyez­vous,  un  désir  inextinguible,  jamais  satisfait. Une  soif que rien n’étanche. Le seul de mes désirs dont je n’ai pas honte, et  dont les tiraillements ne m’exaspèrent pas.    ELLE  Dites­moi,  j’y  repense,  votre  ‘duos  habeo quelque  chose’ de tout à l‘heure

Méthodes La séquence est centrée sur l’étude de ce conte, étudié comme œuvre intégrale. Nous y étudierons trois passages en lecture analytique, que vous présenterez à l’oral. La troisième lecture analytique servira de support pour revoir la méthode du commentaire littéraire. Séquence 2 – FR10 3 © Cned – Académie en ligne Pour compléter votre connaissance de l’œuvre, il vous sera demandé : – une étude de documents sur son contexte, le mouvement des Lumières, – une recherche sur Internet autour

français italianisé d’Henri Estienne (1578). L’ensemble des extraits de ces œuvres permet de dégager la vision que les écrivains du XVI° peuvent avoir du personnage du courtisan. Seul Castiglione offre une vision méliorative du courtisan, mais son texte est original : il présente en effet le portrait idéal du courtisan qu’il souhaiterait voir évoluer dans les cours, et non pas un constat, contrairement à ce que les trois autres textes proposent. Castiglione commence donc le premier et le dernier

au juste. Le droit est la mise en théorie de la justice. La réflexion grecque a été marquée par Platon et Aristote. Platon avait une conception large de la justice rappelant parfois la conception biblique. Il a décrit la justice générale. Aristote lui, avait une conception plus étroite de la justice et s’est intéressé plutôt à la justice particulière. Justice générale : ‘’La République’’ de Platon (sous-titré ‘’de la justice’’) décrit la genèse d’une société parfaite. Il apparait comme un ouvrage

ses premiers poèmes sur un cahier d’écolier, en 1887, des sonnets, deux petites pièces de théâtre et des nouvelles : ____________________________________________________________ _____________________ “Conte vraisemblable” Nouvelle Commentaire Le conte fut lu et commenté par son ami, Gustave Fourment, qui vit dans cette étrange confession «la création mystérieuse d'un être par une idée», et prévit les qualités futures d'une prose incomparable : «Elle aura la dureté, la force, l'élasticité