Commentaire Texte Kant Relativement Au Bonheur

tout intention, ou plus exactement « intentionnalité » : capacité de former une intention, c’est-à-dire mouvement par lequel un objet devient présent (sous forme de représentation) à un sujet ou acte par lequel un sujet « vise » un objet (voir le texte de Sartre dans les textes complémentaires en rapport au cours). Mais il faut aller plus loin pour saisir clairement ce qu’est la conscience perceptive chez l’homme, ce qui en fait sa spécificité… En effet, celle-ci ne se limite pas à distinguer

une seule mauvaise action, ou alors Il l'efface. Le prophète Mohammed 6 La Bible comme tous les livres sacrés, est le résultat d'expériences mystiques, profondes et sérieuses, d'un long et puissant travail de réflexion, d'intuition et de commentaires. Des centaines de milliers d'êtres humains, entièrement voués à la recherche spirituelle, ont consacré leur existence à la quête de cette vérité absolue. Toute cette puissance mystique, suffit pour prendre au sérieux les livres sacrés, pour réfléchir

intrinsèque. Vient ensuite la Scolastique espagnole qui, sous l’influence notamment de l’augustinisme politique, va ramener la justice et le droit à des normes dérivées de la loi morale. (On notera que le terme de justitia n’est qu’un dérivé relativement tardif du mot latin jus : c’est seulement à partir du IVe siècle que le « droit » a été mis en relation avec la « justice » au sens d’une notion philosophique universelle). Au XVIe siècle, sous l’influence des deux principaux représentants de l’école

un mouvement philosophique syncrétique ; certains d’entre eux semblent avoir eu également une vision sociopolitique – une vision de la manière de réaliser l’union d’une société laïque et d’une religion mystique. Ce programme ne se trouve dans aucun texte politique, car l’étude de la politique, telle que nous la concevons depuis Platon et Aristote, n’existait pas en Asie Mineure. Dans cette région aride et à la population clairsemée, dominée par des pasteurs nomades, il n’existait rien de tel qu’un

83. 4  John Stuart Mill (1861), L’utilitarisme, Flammarion, 1988, p.132. 5  Ibid., p. 138 et 139. 6  Pour Mill, ce principe découle toutefois d’un « fondement encore plus profond » : l’éthique utilitariste qui oblige de compter pour autant le bonheur de chacun. Cf. Francisco Vergara, Les fondements philosophiques du libéralisme, La Découverte, 2002. 7  Friedrich Hayek (1976), Droit, législation et liberté vol.2, op.cit., 1981, p 164. 8  Friedrich Hayek (1960), La Constitution de la liberté,

individuellement à l'avance une petite publicité de deux minutes maximum vantant les mérites d'un produit bien spécifique (thème fourni). Le texte devra contenir une thèse ainsi qu'un minimum de deux arguments, chacun d'un type d'arguments différent. Lors de la leçon consacrée à ce concours, vous devrez présenter oralement et de manière originale votre texte publicitaire. ATTENTION : – pas de plagiat ! – Non respect des consignes = disqualification ! Ensuite, chacun votera pour l'élève dont

l’invention de l’«éthique» par les philosophes grecs, de Socrate à Aristote et aux Stoïciens. Que l’on parle donc d’ethos, «séjour, habitation», ou d’ethos, «habitude, coutume», on doit entendre, à travers le fragment 119 d’Héraclite - le plus ancien texte qui nous parle d’«éthique» - le séjour de l’homme parmi les autres hommes où vient à paraître son daimôn, c’est-à-dire son destin. Pour le dire autrement, l’éthique est le destin de l’homme, le mode inachevé selon lequel l’homme se tient auprès

machine à répandre l'esprit nouveau, change les façons de pensée et s'efforce de faire sauter partout les barrières que la raison n'aura point posées, comme le diagnostique Goethe, peut-être le dernier génie universel. Il ne faut surtout pas oublier Kant, Kant à qui rien n'arriva d'extraordinaire, dit-on, sauf du génie et qui récapitule tout son siècle tout en jetant les bases de notre contemporanéité. Nous suivrons, enfin, l'impulsion qu'imprime à l'Histoire le siècle des Lumières, l'Enlightenment

Formation continue Un thème, un texte Platon : Euthyphron Traduction utilisée : celle que propose Jean-Yves Chateau dans Philosophie et religion. Platon, Euthyphron, Paris, Vrin, 2005, p. 13-31. (référence désormais notée : J.-Y. C., op. cit., suivi du numéro de la page) Plan adopté par ce compte rendu : I) Conférence inaugurale ; II) Lecture collégiale d’Euthyphron ; III) Conférence finale ; IV) Recension de l’ouvrage de Jean-Yves Chateau précédemment cité. I) Conférence inaugurale

....................................................................................................................... 201 > Quand nous percevons, sommes-nous purement passifs ? > ................................... 233 Étude d’un texte de Bergson sur le langage et la perception du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .