Commission nationale d'équipement commercial

Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest UEMOA : Union Economique et Monétaire Ouest Africain MEF : Ministère de l’économie et des finances DM : Direction de la Microfinance DGTCP : Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Public CNM : Commission National pour la Microfinance IV LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 : Niveau mensuel des ventes selon les étals, box, magasin (en FCFA)................... 45 Tableau 2 : Niveau de profit moyen mensuel réalisé selon le genre

est déterminé par l’épargne réalisée sur le revenu national. • Il en résulte qu’il faut considérer avant tout, la balance de la production et de la consommation, susceptible de s’accroître par toute valorisation de la production, et par tout abaissement de la valeur des marchandises consommées. En conséquence, si le commerce extérieur respecte la spécialisation, il peut développer l’épargne, et élargir l’activité économique nationale. Quant à la politique libérale, elle permet la

court le risque que la devise (le dollar US) baisse entre le moment où la facturation a lieu et le moment où le règlement effectif se produit. L’entreprise qui achète, vend ou effectue toute opération dans une autre monnaie que la devise nationale, se trouve en « position de change ». Cela signifie qu’elle peut gagner ou perdre de l’argent. La notion de risque de change est liée à cette incertitude. Ne pas savoir quelle sera l’évolution d’un taux de change à trois ou six mois engendre des

locales deviennent l’un des plus importants partenaires de l’Etat, puisqu’ils partagent le fardeau de la gestion des affaires via la répartition et le transfert des attributions[1] et de l’argent, et cela est le résultat de plusieurs changements nationaux et internationaux. Ce qui se traduit par la réduction du rôle de l’Etat et l’intensification des interventions des collectivités locales. On pourrait ainsi prendre l’exemple de nombreux pays européens qui ont été obligés de reformer le secteur

Pour garantir un avantage compétitif, la diversité est supposée apparaître au sein des entreprises. Aujourd’hui, dans le contexte de la globalisation, de la montée de la concurrence asiatique, les entreprises du Maroc, confrontées à l’ouverture commerciale, ne peuvent compter que sur l’efficacité collective de la force de travail comme source d’avantage compétitif27 La diversité s’impose aux entreprises marocaines. Elle est une donné sociologique de la société. Les entreprises sont dans l’obligation

primes sur le territoire dudit Etat ou assure des risques situés sur ce territoire. e) On ne considère pas qu'une entreprise d'un Etat contractant a un établissement stable dans l'autre Etat contractant du seul fait qu'elle y effectue des opérations commerciales par l'entremise d'un courtier, d'un commissionnaire général ou de tout autre intermédiaire jouissant d'un statut indépendant, à condition que ces personnes agissent dans le cadre ordinaire de leur activité et soient imposées pour ces opérations

faible participation d’entreprises actionnaires à leur capital. De plus, les revenus globaux des clubs français sont largement inférieurs à ceux de leurs principaux concurrents et marqués par une forte dépendance à l’égard des droits télévisuels nationaux ; les autres recettes, tirées notamment des entrées au stade, de la publicité et du sponsoring, sont bien inférieures à celles de leurs homologues étrangers les mieux dotés. Par ailleurs, le coût global des rémunérations des meilleurs joueurs est

LE DIAGNOSTIC COMMERCIAL Mission et tâches de la fonction commerciale Identifier les besoins des consommateurs, segmenter les marchés, analyser l’offre de la concurrence Elaborer et mettre en œuvre la stratégie et le plan marketing, c’est-à-dire : - Définir les produits (créations, améliorations) - Fixer les prix de vente - Choisir les circuits de distribution - Animer la force de vente - Réaliser la promotion des produits - Assurer les relations avec la clientèle - Gérer les stocks de

LOI N°91-999 DU 27 DECEMBRE 1991 Relatif à la concurrence L’ASSEMBLEE NATIONAL A ADOPTE, LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE PROMULGUE LA LOI DONT LA TENEUR SUIT : TITRE PREMIER DE LA LIBERTE DES PRIX ET DES ECHANGES Article Premier : 1-1 Les prix des biens et services échangés en Cote d’Ivoire sont librement déterminés par le jeu de la concurrence ; 1-2 L’importation en Cote d’Ivoire, l’exportation et la réexportation hors de Cote d’Ivoire, sous un régime douanier quelconque des marchandises étrangères

financiers, douanes…). Les banques en particulier ont dû faire face très rapidement à ce nouveau contexte afin de prendre en charge le traitement pour leurs clients des opérations d’import et d’export sur la base de la nouvelle réglementation nationale. Le manque de préparation aussi bien de la part des opérateurs que des autres organismes de soutien pour ce changement relativement brutal n’a pas permis d’obtenir les résultats souhaités dans la dynamisation des échanges avec l’extérieur. Mais en