Commode

qu’elles étaient réelles. Ensuite de la Grèce à l’Égypte ancienne, une traversée d’un large couloir et me voilà tenant compagnie aux Pharaons. Je me suis trouvé au milieu d’une exposition des anciens meubles égyptiens: des lits, des chaises, des commodes, des accessoires de cuisine et des bijoux de valeurs inestimables qui me laissèrent charmé non seulement pour leur originalité mais pour l’image qu’elles me donnèrent sur le mode de vie que menaient les pharaons depuis cinq millénaires. En avançant

roman assommant. L’Assommoir est un classique de la littérature française. Zola la écrit avec beaucoup de détails ce qui est très barbant. Le descriptif des endroits sont très long, très précis : «  la misérable chambre garnie, meublée d’une commode de noyer dont un tiroir manquait, de trois chaises de paille, d’une petite table… « : Description de la chambre de Gervaise au début du roman. L’assommoir dévoile la véritable vie de la société au 19eme siècle. Il dévoile également la misère

apparent précédent inconscient constant brillant étonnant Quelques adjectifs se transforment en adverbes à l’aide de « - ément » adjectifs adjectifs en « - ément » commun communément aveugle aveuglément (in)commode conforme confus énorme immense intense opportun profond précis exquis Quelques exceptions !!! Je les étudie. gentil  gentiment bref  brièvement

peut-être d'échapper à l'aporie, l'embarras: le soi comme ce qui a surmonté les autres instincts: résultat d'une victoire.   Alors on pourrait changer d'instinct et ne plus être le soi qu'on était; Le soi ne serait alors qu'un nom, une "notation commode" (Alain), désignant une pluralité d'instincts en lutte et le vainqueur provisoire. Pense aux sophistes (hommes de la politique et du pouvoir) qui ne sont jamais ce qu'ils sont toujours en mouvement au contraire de Socrate l'homme de l'essence de la

| Le son du marteau, il se tait quand l'ouvrier s'adresse au second. Le «tic-tac» se tait au début du plan. | | 12 | Trelkowsky ferme sa fenêtre, se retourne, et son regard est attiré par sa commode. On voit qu'il a le visage maquillé. La caméra tourne et filme la commode, diverses cosmétiques y sont déposés en pagaille. Trelkowsky s'en approche lentement, troublé par ce qu'il voit. Il prend un miroir et le monte à son visage. | | Le son des travaux reprend, il baisse quand

5 unités de vie. Toutes les chambres sont individuelle est ont une superficie de 20 m2, comprenant une salle d’eau avec une douche, un lavabo et un WC. Les chambres sont également meublé en style contemporain avec un lit, une table de chevet, une commode, un placard-penderie, un fauteuil, une chaise et chaque résidant à la possibilité de compléter le mobilier dans la limite de la place et des normes de sécurité. Chaque chambre est équipée d’un appel malade, d’une ligne téléphonique directe et d’une

est obligé de participer dans le récit et de mener l'enquête. Tout comme le narrateur, le lecteur est réduit à des hypothèses. En effet, se brosse-t-elle les cheveux ? Est-elle entrain d'écrire comme à la page 14 ? L'objet de petite taille de la commode peut faire penser à un crayon ou un peigne. L'auteur ne donne pas de réponse.

faut-il les plaindre et les regretter ? (thèse du narrateur). Hugo rejette ici sans doute la tentation très romantique d’un spiritualisme exalté qui ferait désirer la mort, puisque celle-ci ouvre la porte de l’éternité. Il y voit une consolation trop commode. La mort reste pour lui le « noir mystère ». La foi ne supprime pas l’angoisse de la mort, le doute. Cependant, le poème se termine sur la conviction que les morts « entendent nos voix ».

ça sert ? La fiche de lecture est un outil destiné à conserver une trace écrite et suffisamment précise de vos différentes lectures. Il est, en effet, impossible de conserver en mémoire l’ensemble des œuvres lues et étudiées. Dès lors, il est commode de pouvoir s’en rappeler sans pour autant devoir reprendre entièrement l’ouvrage que l’on souhaite étudier à nouveau. Par ailleurs, un tel exercice suppose nécessairement un travail actif de compréhension de l’œuvre que l’on est en train de lire

pièce qui lui faisait guise de chambre, au centre d’une pièce qui ne faisait que prouvait la noblesse dans laquelle elle vivait. Fille d’un Prince, elle était couché dans un lit à baldaquin fait entièrement en bois de rose, a son chevet se trouvé une commode d’ébène ainsi qu’une coiffeuse qui possédait le nécessaire de toilettes. Un sol de parquet encerclé la pièce, qui se remplissait de tapis d’orient. Des lustres couverts de diamant, de porcelaine et de fines poignets d’or pendait des plafonds, et ne