Communard

journaliste et fait à nouveau paraître "Le Cri du Peuple" pour y défendre avec passion la cause du prolétariat. Mort en 1885, épuisé par le diabète, il est accompagné au Père-Lachaise par presque cent mille personnes parmi lesquelles beaucoup d'anciens communards.

démissionne après les mesures adoptées contre le peuple de Paris. Il dénonce les atrocités de la répression versaillaise (L’Année terrible) contre la Commune. Au Sénat, où il siège à partir de 1876, il ne cesse de réclamer l’amnistie pleine et entière des communards. Il ne l’obtiendra qu’en 1880.

Pagès, Papon, Péré et Robelin. Parmis eux nous pouvons compter environ 200 femmes.  les « Déportés » : condamnés politiques, issus essentiellement des participants à la Commune de Paris de 1871, ce qui fait que les déportés sont souvent appelés « Communards ». 4 250 sont envoyés à partir de 1872 aux pénitenciers de l'Île des Pins, ou de Ducos (pour ceux considérés les plus dangereux), avec parmi eux des « célébrités » comme Louise Michel ou Henri Rochefort. Ils obtiennent l'amnistie en 1880 qui les

Georges et Jeanne qui lui inspirent le recueil L'Art d'être grand-père. Il reçoit beaucoup, hommes politiques et littéraires, les Goncourt, Lockroy, Clemenceau, Gambetta...[48] Le 30 janvier 1876, il est élu sénateur et milite pour l'amnistie des communards. Il s'oppose à Mac Mahon quand celui-ci dissout l'assemblée[48]. Dans son discours d'ouverture du congrès littéraire international de 1878, il se positionne pour le respect de la propriété littéraire mais aussi pour le fondement du domaine public

fête du pater familias, il faut faire un mot. Un pâté : une claque. Une rature : une taloche. Finalement, il apporte dans le lit paternel un pot de fleurs qui se renverse. Pourquoi un tel humour du désespoir? Vallès écrit en banni. Depuis 1871, le communard, ex-journaliste, vit en exil à Londres. Il relit Dickens, si simple, si familier. Cette liberté, appelée de ses vœux en politique, il va l'appliquer en littérature. Déjà, en 1865, il éreintait Balzac et Sand, qui voient la nature avec « des verres

inspirées par les toiles des peintres du XVIIIe siècle. Verlaine et Mathilde se marient en août 1870. Les poèmes qu'il dédie à Mathilde trouvent place dans le recueil La Bonne Chanson qui paraît la même année. Soupçonné de sympathie à l'égard des communards, Verlaine connait à cette époque des difficultés financières et professionnelles qui détériorent le climat familial. Le poète rencontre Arthur Rimbaud en 1871. Après quelques mois de cohabitation pénible sous le toit familial et quelques scènes

février 1871, Arthur Rimbaud, voulant absolument intégrer le milieu littéraire, se rend à Paris. Il erre quinze jours dans les rues. A son retour dans Charleville occupée il trouve un emploi au journal Le Progrès des Ardennes. En mars il rejoint les communards. Cette expérience lui inspire les lettres du voyant (comportant notamment Chant de guerre Parisien) qu’il adresse à Georges Izambard et Paul Demeny. L’aventure avec Verlaine C’est enfin Paul Verlaine qui apprécie son génie. Verlaine lui paie

révolutionnaire, dirigé par Jean Allemane un ancien communard. * séparation du broussisme en 1890 (trop réformistes et élctoralistes) * ils sont propagandistes de la grève générale et de l'antimilitarisme * perte d'influence avec l'arrivée de la CGT, mais il restera dans la SFIO la défiance des politiciens, la tendance ouvrière, l'anticléricalisme militant 4 - Les blanquistes ou vaillantistes (Louis Blanqui mort en 1881/Edouard Vaillant, ancien communard) * intégrer le marxisme au socialisme républicain

conservatrice. On y trouve des socialistes midérés, des non modérés (revolutionnaire) et des anarchistes. Tout ces gens sont determiner la référence des communards sont les Sans-culottes. Ils mettent en avant un programme social et prennent comme symbole le drapeau rouge. La fin de la commune: Les Versaillais reprennent Paris. 20 000 executions sommaires des communards. Ce mouvement revolutionnaire est aretter brutalement: echec de la republique sociale. La commune deviens un symbole de la lutte du prolétariat

par le conseil de guerre en juin 1871. Son ami Théophile Ferré condamné à mort en septembre 1871 est exécuté en novembre 1871. Le 16 décembre 1871, à l'issu de son procès, où elle mène sa propre défense et demande à être traitée comme les « Communards hommes », elle échappe à la peine de mort et est condamnée à la déportation à vie. En attendant son départ pour la Nouvelle-Calédonie, Louise Michel est emprisonnée à Auberive (Haute-Marne) dans une enceinte fortifiée. Elle y retrouve de nombreuses