Communautarisme

mouvement vas alors déferler très rapidement tel une vague dans le lycée et de nombreux élèves vont se prendre rapidement au jeu, certains vont trouver ça marrant et d'autres prendront ça plus au sérieux comme Tim et Marco. La discipline et le communautarisme est de vigueur dans le mouvement, le professeur démontre quand étant unie et en sacrifiant certaines libertés tout deviens plus facile, mais à quel prix ? L'intolérance et la violence vas prendre le dessus, les élèves réfractaires aux codes vont

ces optiques contradictoires. De plus, ces lois sont la porte ouverte à de nouvelles lois de ce type, et on peut craindre un certain communautarisme dans ce contexte où la subjectivité du législateur prend la place de l’objectivité de l’historien en matière d’établissement de vérités historiques, et notamment de « génocides ». La porte ouverte aux communautarismes, danger pour la liberté de la recherche Il s’agit ici de mettre en avant l’inévitable subjectivité du législateur qui dit l’Histoire

d'actualité. Les affaires du port du voile islamique dans les écoles, du financement de la construction de mosquées, du port de la burqa et du niqab sont à l'origine de nombreux débats. La laïcité fait donc face à de nouveaux enjeux : tolérer le communautarisme, c'est remettre en cause l'unité de la République affirmée dans la Constitution. Aussi l'État doit-il intervenir pour rappeler, par la loi, les grands principes de la laïcité, notamment par les lois sur les signes religieux ostensibles à l'école

l’exclusion, le but est de gommer les particularisme pour ne laisser aucune place au rejet/l’exclusion. Dans le modèle anglo-saxon, c’est l’inverse ; on vous accueille avec vos particularismes, c’est un modèle fondé sur le communautarisme. L’assimilation = Système français ; le communautarisme = Système anglo-saxon. On dit que l’assimilation à la française ne conduit pas à la déculturation parce qu’on n’est pas tenu de se départir de la culture héritée mais il peut y avoir conflit culturel. Il peut y avoir

assimilation n’est pas compatible avec le développement d’un marketing ethnique et bien entendu impossible à cohabiter avec un multiculturalisme institutionnel. De nombreux freins institutionnels et financiers s’y opposent : un refus politique du communautarisme- les banlieues sont plus des ghettos multiculturels et sociaux que véritablement des quartiers communautaires ethniques-, l’absence de statistiques fiables sur les origines ethniques, les hésitations des agences de publicité, découragées il est

suscite des enjeux que cette analyse tente de circonscrire en trois points : - La finance islamique comme expression de communautarisme et de crispations identitaires ; - La finance islamique comme facteur d’intégration et de communication interculturelle ; - La finance islamique comme manifestation plurielle d’identités culturelles musulmanes. I-Une expression de communautarisme et de crispations identitaires Tout discours, quel que soit le dispositif qui le porte, s’élabore à partir d’une posture

de constitution réglemente l'organisation des sociétés démocratiques, elle fonde le pacte national égalitaire incarné par le citoyen comme auteur et sujet de la loi, mais se heurte aujourd'hui à ses propres limites dénoncées par le retour du communautarisme et l'inversion de son processus originel. Du symbole démocratique issu des origines, en passant par les différentes formes que peut adopter la constitution, l'histoire de cette notion fondatrice transite de la protection nécessaire à la contestation

communautaire. De nombreux pays revendiquent une identité nationale. Cela a était par exemple visible lors de la dernière élection présidentielle en France (La marseillaise, lettre de Guy Moquet etc.). A cela s’ajoute le fait que l’on retrouve un communautarisme latent dans de nombreuses grandes villes (Chinatown, regroupement des communautés religieuses). Le processus de changement culturel issu des rencontres entre plusieurs cultures s’appelle l’acculturation. Mais ca ne mène pas forcement à la disparition

s'est élargit. Pour être citoyen français, il faut aujourd'hui avoir 18 ans et être de nationalité française. B. La nation La nation est un héritage, un projet commun. L'état tente d'assurer l'unité de la nation et doit lutter contre le communautarisme : c'est le fait de se replier sur une identité culturel, religieuse. C. La nationalité française Pour être citoyen il faut avoir la nationalité française. Cette nationalité s'obtient de plusieurs façons : par droit du sang : l'un des

induit l'appauvrissement des "classes modestes" que le parti dit représenter. 2) Le parti historique de l'extrême droite - La France, par son passé colonial et migratoire, a toujours alimenté des débats passionnés sur l'intégration et le communautarisme - Le vote FN est devenu un vote d’adhésion pour une plus large proportion qu'avant. - Le ressentiment envers un bi-partisme gouvernant depuis le début de la Ve République qui l'aurait emmené jusqu'à la crise. II) Une légitimisation qui sort