Communication Religieuse

peut-être seulement sceptique. En effet, il répond de façon évasive à Sganarelle, ne niant pas formellement l’existence de Dieu. En outre, son comportement semble défier Dieu ; et on ne défie pas le néant. Il enlève une religieuse, joue la comédie de la conversion religieuse dans l’acte V (comédie amorcée avec Elvire I, 3), tente de détourner les autres de Dieu, en particulier le Pauvre, méprise les «messagers» divins (statue et spectre) et s’obstine dans cette attitude jusqu’au bout : «Non

II / 9, 10 et 11 septembre 2009 Thème : Fêtes religieuses et fêtes profanes [pic] Dans l’histoire des cultures, la fête revêt divers aspects : rite, cérémonie, folklore, festival, joie collective, allégresse outrancière et donc, démesure, folie. Notre thème propose une réflexion sur la frontière particulièrement ténue entre le monde de la fête religieuse et celui de la fête profane ou, mieux encore, païenne à travers le carnaval. La fête peut

terre du Liban ayant accueilli de nombreux réfugiés, plusieurs enfants de confession religieuse et d’appartenance ethnique différentes s’y côtoient. En raison de la présence de plusieurs communautés religieuses dans le pays, la pratique de l’adoption au sens français du terme ne trouve pas consensus. L’adoption relève en droit libanais de la compétence législative et juridictionnelle des communautés religieuses reconnues par l’État, lequel garantit « aux populations, à quelque rite qu’elles appartiennent

communauté religieuse libanaise ? », L’Islam politique et croyance, Fayard, 1993 Le texte étudié, intitulé « Qu’est ce qu’une communauté religieuse libanaise ? » a été rédigé par l’historien sociologue Maxime Rodinson, éminent spécialiste du monde arabe et musulman. Rédigé à la suite d’une intervention au colloque international organisé par l’IFRI (Institut français des relations internationales) le 5 mai 1986, M. Rodinson tente d’expliquer le conflit libanais et notamment la dimension religieuse et le

incluent des bals masqués, le visionnage de films d'horreur, la visite de maisons « hantées » ou l'allumage de feux de joie en plein air. L'Halloween est une fête folklorique anglo-saxonne2 communément considérée comme en partie héritée de la fête religieuse celtique de Samain (appelée Tri nox Samoni en Gaule)3 qui se tenait à la même date en Irlande et en Écosse avant qu'elle ne soit progressivement supplantée par la Toussaint introduite le 1er novembre par l'Église catholique romaine aux environs

ponctué d’évènements où elle n’est jamais le centre mais qu’une figurante docilement satisfaite.  « …des années s’écoulèrent, toutes pareilles, et sans autres épisodes que le retour des grandes Fêtes, Pâques, l’Assomption, la Toussaint. » Les fêtes religieuses sont les seules choses qui font varier son horaire, sans qu’elle en soit moindrement contrariée. Soumise sans dessein qui serait à son avantage, Félicité est l’incarnation même de la bonne chrétienne. « … la communion. Elle la reçut dévotement

Notre passage est un extrait du conte philosophique Aventure indienne de Voltaire, traduit par l'Ignorant en 1766. Pythagore philosophe, mathématicien de l'antiquité grec a pour devise le respect de la nature et de la vie est confronté à une fête religieuse, où il est sujet de tuer deux indiens opposant aux dogmes. Pythagore va obtenir la grâce de ces derniers par la raison. Mais peu après va périr bruler par un intolérant dans sa maison, ce qui constitue une véritable ironie. Aussi verrons nous que

Le théâtre comique à Rome Le théâtre est en fait issu des dionysies qui étaient des fêtes religieuses destinées à Dionysos, le dieu de la fête et du vin. Mais progressivement, le théâtre est passé d’une dimension religieuse à une dimension profane. Dans la Rome antique, il s’est passé la même chose. En effet, dans un premier temps les représentations publiques étaient exclusivement destinées à apaiser la colère des dieux (pendant les épidémies, etc…). C’est en quelques sortes, le théâtre grec

suis de réfléchir à l’état de la laïcité telle qu’on la pratique aujourd’hui en France? Ma charge ne devrait-elle pas, de toute évidence, me situer du côté de ceux qui ne peuvent que se réjouir du regain de foi qui anime l’ensemble des communautés religieuses? Et, partant, ne devrais-je pas apprécier comme un juste retour des choses l’affaiblissement de la laïcité? Comme toujours, rien n’est si simple. Ce qu’on pourrait nommer la crise de la laïcité n’est qu’un symptôme de celle, plus générale, de notre

de ses semblables, phénomène qui engendre la formation de marginaux comme par exemple, les Punks, les Skinheads ou les délinquants en bandes. Vivre en communauté, créer un mode de partage avec son prochain, vivre en autarcie (les communautés religieuses comme les Quakers ou les Amish) montrent une autre forme de marginalité, à savoir que des personnes peuvent vivre honorablement sans aucun lien avec la société, ce qui peut pousser à une incompréhension de la part de ladite société. On peut citer