Comparaison Baudelaire Verlaine

CHANT D'AUTOMNE1Quelques notes pour la lecture linéaire de CHANT D'AUTOMNE BAUDELAIRE, Les Fleurs du malINTRODUCTION L'automne constitue un thème privilégié des auteurs romantiques comme Chateaubriand, Lamartine, par exemple, qui ont célébré ses charmes délétères. C'est dans la même veine que Baudelaire écrit son "Chant d'automne", 56° poème du recueil des Fleurs du mal publié en 1857 , extrait du chapitre

familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon une évaluation globale sur la séquence des questions portant sur le corpus de textes qui fait partie des « Documents complémentaires ». DESCRIPTIF : OBJET D’ETUDE « LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude La poésie Problématiques Perspectives Lectures analytiques - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante

b) Le théâtre : Paul Fort permet au mouvement de connaître une certaine notoriété c) La poésie : Charles Baudelaire marque le début du symbolisme en publiant Les Fleurs du mal mais d’autres poètes suivent ce mouvement comme Arthur Rimbaud avec son œuvre Art poétique qui est un des textes fondateurs de ce mouvement mais aussi Paul Verlaine, ainsi que Stéphane Mallarmé. >> D’après Rimbaud, les symbolistes rejettent le culte de la science, religion des Parnassiens

Quelques éléments biographiques Paul Marie Verlaine est un poète français, né le 30 mars 1844 à Metz et mort le 8 janvier 1896 à Paris. Paul Verlaine abandonne ses études de droit et devient employé de l’Hôtel de ville de Paris en même moment qu’il fréquente cafés et cercles littéraires. Il est depuis toujours admiratif de Baudelaire, par conséquent il se mit à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens en 1866 à 22 ans. Suite à la mort de sa cousine dont il était éperdument amoureux

Bibliographie………………………………………2-3III. Mouvement littéraire…………………………………3IV. Sa pensée…………………………………………...4-5V. Lecture méthodique……………………………..……5 I. Biographie de Charles Baudelaire : Charles Baudelaire voit le jour en 1821. Ses parents sont Caroline Dufäys et Joseph-François Baudelaire. Ce dernier meurt en 1827. Sa mère se remarie rapidement avec un chef de bataillon, Jacques Aupick, à qui il s’opposera toute sa vie. La sensibilité artistique et le besoin de liberté de Charles

poésie contient des anaphores, des refrains, le lecteur se rappelle plus facilement des vers précis du poème et donc il se rappelle encore plus de l’argument du poème. La poésie est aussi un genre connu pour ses figures de style. Les métaphores, comparaisons, hyperboles, toutes figures de style qui aident à former des images vives, fortes chez le lecteur sont très présente dans la poésie engagée. L’utilisation de ces procédés frappe l’imagination de l’auteur, et rend donc la poésie encore plus mémorable

utilise des provocations familières comme la comparaison des catastrophes naturelles (typhon, tremblement de terre, cyclone) avec le poème (strophe 1). Avec ces comparaisons, il exprime le fait qu’un poème ce n’est rien du tout c’est-à-dire « bien peu de chose » en comparaison des grandes catastrophes dans le monde (les Antilles, la Chine Formose). Un poème, en quelque sorte, c’est quelque chose de banal. On peut considérer qu’en faisant cette comparaison, le poète utilise l’ironie pour dédramatiser

Sommaire : I/ Évolution de la poésie à travers les siècles A . Les différentes formes poétiques B . Les genres poétiques II/ Le sentiment amoureux dans un poème A . Étude sur un corpus de trois poèmes : «Mon rêve familier», Paul Verlaine, Poèmes saturniens «Je pense à vous», Pierre Corneille, Rondeaux «Poèmes à Lou», Guillaume Apollinaire, Poème du 9 février 1915 Avis personnel Répertoire de poètes à connaître

contexte qui en détermine l'effet) comparaison la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir », Baudelaire, Les fleurs du Mal Permet de construire une image (ici, la femme devient un objet religieux, l'ostensoir, ce qui la sacralise) métaphore Comparaison implicite (sans outil de comparaison). « Le soleil s'est noyé dans son sang qui se noie », Baudelaire, Les Fleurs du Mal Permet souvent

inspiration ou à son génie ? Faut-il dire avec Théophile Gautier « Fi du rythme commode, / Comme un soulier trop grand, / Du mode / Que tout pied quitte et prend ! » et « Les vers souverains / Demeurent / Plus forts que les airains » ? Ou faut-il dire avec Verlaine « Prends l’éloquence et tords-lui son cou ! » et déplorer les « torts de la Rime […] Qui sonne creux et faux sous la lime » ? La poésie se trouve-t-elle dans les vers ? Certainement… sans quoi on en arriverait à dire qu’il n’existe pas de poésie