Comparaison Camus Sartre

traumatisé a besoin ｻ pour conjurer la violence de cette période. Serait ｫ la tragédie du peuple ｻ. P鑽e du mélodrame : qui lance le genre et le codifie : René-Charles de Pix駻馗ourt : auteur de C駘ina ou l'enfant du mystère, joué plus de 300 fois. En comparaison : Cyrano de Bergerac est joué à sa sortie à environ 150 reprises. Méloodrame ancre la fable dans la Révolution française : représentations/souvenir de la révolution nourrissent les mélodrames. Fr馘駻ik-Lema羡re : gros succès populaire dans le mélodrame

de l’homme. » Henri Lacordaire Plan : Introduction : La vision providentialiste de l’Histoire 1) La vision dialectique de l’histoire chez Hegel 2) Le matérialisme historique chez Karl Marx 3) La critique du culte de l’Histoire : Nietzsche et Camus Conclusion : la vision de l’Histoire de Toynbee 1) La vision dialectique de l’Histoire chez Hegel (1770-1831) « Rien de grand ne s’est accompli dans l’Histoire sans passion. » GWF Hegel Hegel a vu dans l’Histoire le lieu privilégié

par ses actes qu´il doit accomplir et dont il doit être tout à fait responsable. Comme je l´ai déjà mentionné, l´existentialisme a conçu la mort comme la situation limite. Pour mon analyse j´ai choisi deux pièces de théâtre, l´une de Jean-Paul Sartre qui s´intitule Huis clos (publiée chez Gallimard en 1947), l´autre d´Eugène Ionesco dont le titre est Le Roi se meurt (publiée chez Gallimard en 1963). Pourquoi un tel choix ? Parce que je crois que c´est justement dans ces deux oeuvres qu´apparaît

les nomme également « figures de rhétorique » ou « figures du discours ». LA COMPARAISON La comparaison est la figure de style la plus simple et la plus facile à repérer, elle consiste à comparer, avec un mot outil (tel que, comme, semblable à, ... ) Ex: «elle avait la peau blanche comme la neige » Ex: Tes yeux sont bleus comme le ciel LA METAPHORE La métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, celle-ci est donc suggérée et implicite. Ex: «l’or du soir» (soleil couchant).

première et la deuxième Guerre mondiale, l’holocauste, Hiroshima et Nagasaki, les goulags russes, etc. Le théâtre de l’absurde était aussi une suite logique au mouvement Dada du début du vingtième siècle et aux penseurs existentialistes comme Sartre et Camus. Depuis Nietzsche, les gens ont l’impression que "Dieu est mort", qu’il n’y a plus de dieu. Ils ont l’impression de vivre une existence sans cause et sans but. Dans Nous, les vivants Nous, les vivants[1] et son absurdité trouvent leur

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La peste’’ (1947) roman d’Albert CAMUS (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 4) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 10) l’intérêt documentaire (page 13) l’intérêt psychologique (page 17) l’intérêt philosophique (page 28) la destinée de l’œuvre (page 34) Bonne lecture ! Première partie Le narrateur se propose de relater le plus fidèlement possible les

(Ethiopiques, 1956) Etudes complémentaires : - Biographies de Rimbaud, Apollinaire, Senghor Différents extraits de poèmes sur la ville Lecture de « Villes I » et de « Ville » de Rimbaud (comparaison avec « Villes II ») Analyse comparée des textes de Sartre (« New-York, ville coloniale »), d’Albert Camus (« Pluies de New-York »), de dessins de Tardi illustrant Céline avec le poème de Senghor. _________________________ 54LunevilleLBichat1ann42005 PASI Nancy-Metz 1/ Synthèse (étude

priori théologiques font progresser l'astronomie, la physique, les mathématiques (Newton, Halley, Leibniz, Huygens). D'où, un début de curiosité critique fondée sur l'expérience et la liberté. Les voyageurs de plus en plus nombreux incitent à la comparaison des différentes civilisations. Des valeurs nouvelles font leur apparition : la Nature, le Bonheur terrestre, le progrès, telles sont les tendances du nouvel esprit « philosophique » qui se forme alors. La Querelle des Anciens et des Modernes (1670-1690)

CAMUS “La peste” (1947) Roman de 320 pages Première partie Le narrateur se propose de relater le plus fidèlement possible les « curieux événements» qui se sont produits « en 194.., à Oran», en Algérie. Un jour d'avril, le docteur Rieux découvrit le cadavre d'un rat sur son palier. Le concierge, monsieur Michel, pensa que de mauvais plaisants s'amusaient à déposer ces cadavres de rats dans son immeuble. À midi, Rieux accompagna à la gare son épouse qui, malade, partait se soigner dans

que leur rapidité tient au fait que : «  on va bien plus à son aise quand on tourne sur un axe que quand on marche sur ses pieds » ou encore pour souligner la différence du rythme de la marche de nos deux voyageurs, le narrateur a recours à une comparaison amusante : «  Figurez-vous un petit chien de manchon qui suivrait un capitaine des gardes du roi prusse. » La narration, l'écriture romanesque offrent au « philosophe » une multitude de personnages et de péripéties. L'écrivain utilise donc des