Comparaison Fascisme Nazisme Stalinisme

motivation. Ensuite, il y a derrière ces deux grandes armées, deux dictateurs, en un sens très différents par leur régime, mais en un autre, semblable par leur mentalité démente, utilisant leurs soldats comme des pièces d’un jeu d’échec. D’un côté le nazisme basé sur la supériorité d’une race et de l’autre le communisme basé sur la supériorité d’un système économique. J’expliquerai ensuite en quoi la personnalité de chacun des dictateurs a augmenté l’ampleur de cette bataille et comment ils ont influencé

destruction des signes mis en avant par ces régimes : occupation de l’espace public par la propagande, culte du chef… Cette photographie peut alors être mise en relation avec le processus de dénazification mis en œuvre en Allemagne dès 1945, par une comparaison avec le document 1 page 246 qui montre des soldats soviétiques déplaçant un emblème nazi dans les ruines de Berlin. C’est alors l’occasion de faire s’interroger les élèves sur ce qui distingue ces deux cas de figure : les temporalités différentes

notamment par des historiens comme Ian Kershaw. D'une part, ce serait un produit idéologique de la Guerre Froide, et donc pas neutre puisque forgé par des politologues américains dans ce contexte particulier, qui leur aurai permis d’assimiler l’URSS au Nazisme. En fait cela n'enlève pas au concept sa valeur scientifique. D'autre part, et surtout, un concept selon Nietzsche c'est une « Identification de choses qui ne sont pas identiques ». Effectivement, le concept théorique, une fois mis à l'épreuve

créer un homme nouveau, inséré dans des sociétés uniformes sans libertés ni pluralisme. Les points communs de ces régimes sont donc l'autorisation d'un seul parti politique, la propagande développant un culte de la personnalité du leader. 1/ LE STALINISME A. La succession de Lénine A la mort de Lénine le 21 janvier 1924, deux hommes dont il se méfiait se disputent sa succession : Trotski et Staline. Trotski souhaite hâter la socialisation de l'économie et étendre rapidement la révolution en Europe

- Un mouvement littéraire : le théâtre de l’absurde, - Les genres et les registres au théâtre, - Les réécritures, ou le travail de l’écrivain, - Le dialogue argumentatif. * Objectifs : Réflexion sur les spécificités du texte théâtral, par comparaison avec le texte narratif ; analyse d’une mise en scène ; apprentissage de la lecture analytique, dans l’optique de l’oral de l’EAF. | Progression | Séance | Support | Objectifs | Activités | 1 | Étude d'un exemple de théâtre de l'absurde

................................................................................................................. CHAPITRE IV. LA DÉMOCRATIE MODERNE Le 20ème siècle a connu une guerre des régimes politiques : le communisme soviétique, le fascisme allemand et italien. A la surprise générale, la démocratie a réussi à battre ces ennemis. Dans les années 90, la démocratie moderne semble être devenue ce que Marcel Gauchet a qualifié d’horizon indépassable. La quasi-totalité des états aujourd'hui

avec plus de quatorze sièges. Cette nouvelle orientation politique de la Grèce reflète une vraie peur du peuple face à la crise et une volonté de s'en sortir peu importe le moyen. Or par le passé, cette situation a conduit à la montée du nazisme et du stalinisme et a engendré la mort de milliers d'hommes. C'est pourquoi dans le cadre de nos travaux pratiques encadrés, nous avons choisi d'aborder les thèmes « contraintes et libertés » et « pouvoirs et sociétés » à travers l'étude comparative entre

mouvement ouvrier II. Impérialisme, colonialisme, militarisme De 1914 à 1933 : Première guerre mondiale : matrice du XXème siècle III. La Première Guerre mondiale IV. Octobre russe, communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII. Deuxième Guerre mondiale et génocide IX. Les résistances De 1889 à 1914, vers la catastrophe ?

ses amis surréalistes qui s'en détachent les années suivantes, il reste fidèle à cet engagement jusqu'à sa mort. (Il ne devient critique à l'égard de l'URSS qu'après la mort de Staline, à la suite des révélations par Khrouchtchev des crimes du stalinisme.) Parmi ses activités militantes, le journalisme et la direction de journaux placent Aragon dans le réel de son siècle. Il travaille à L'Humanité en 1933, pour la rubrique des faits divers. La revue Commune (1933-1939) La même année, en juillet

petits pays = perte de marchés. -Terres : comment distribuer ? Il reste des injustices par rapport aux travailleurs de la terre. Concurrence des « enfants de la guerre », bolchévisme et fascisme Démocratie parlementaire : elle doit affronter des problèmes de conception ainsi que le bolchévisme et le fascisme : « peut-être que c’est mieux là-bas », risque de changement des mentalités. On observe un net désir de retour en arrière, un rejet de l’après 1918. Un « retour en arrière » ? On abandonne