Comparaison Fascisme Nazisme Stalinisme

lors pas uniquement à une évolution historique inéluctable, mais à la place prépondérante qu’y occupent actuellement les professionnels de la politique par rapport aux militants politiques ou aux militants d’origine associative ou syndicale. Par comparaison, dans une conjoncture politique analogue (la défaite électorale de 1979), les dirigeants du parti travailliste anglais, sous l’influence de la puissante aile gauche du parti et des représentants syndicaux, avaient au cours des années 80 été contraints

D’après Mussolini : « fascisme » signifie « Etat ». Dans un premier temps, l’adjectif totalitaire a servi à exprimer l’omnipotence de l’Etat « tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, et rien en dehors de l’Etat ». Mais le totalitarisme n’est pas même une idéologie politique en soi, ce n’est pas une idéologie politique, elle suppose un contenu précis. Le totalitarisme est plutôt un modèle conceptualisé à partir des années 1950, c’est-à-dire après l’épanouissement du stalinisme en Union soviétique (c’est

qui s’affirme au XVIe avec Machiavel, c’est l’art de l’État redéfinition complète des règles du gouvernement selon des critères de réussites, de succès/ complètement dissocié de la religion = « liquidation » de la politique chrétienne, plus de comparaison entre la manière de gouverner du roi et de Dieu, on ne cherche plus à imiter la justice divine ; on ne recherche plus par la politique le salut Rôle majeur dans la voie de l’autonomisation de la politique, en particulier vis-à-vis de la religionmais

exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein du mouvement communiste, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956 : la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant pas une

communiste et bloc capitalisteCommunisme lié à l’Union soviétique et au pouvoir prolétaire et capitalisme rattaché aux États-UnisContexte socialCommunisme, symbole de justice sociale, perçu comme un moyen de changer l’échiquier politique avant que le stalinisme ne devienne un pouvoir totalitaireCapitalisme, synonyme de démocratie et de prospérité, mais restriction des libertés par le maccarthysmeContexte culturelIntellectuels et artistes qui croient à l’engagement. Artistes luttant contre le musèlement

désormais un sentiment patriotique national. C’est la démocratie qui a permis la production de ce sentiment. 3.4. 1917, la peur « du Rouge » Les régimes démocratiques craignent la révolution rouge de 1917, et ont peur de sa généralisation, en comparaison, le suffrage universel est un moindre mal. 3. Le printemps des Républiques (1848-1919) Il y a énormément de nouveaux pays ou s’instaurent des républiques. France 1848, Grèce 1844, Finlande 1906, Ukraine 1918, Italie 1918, Roumanie 1919.

publics décidant de changer de monnaie), les Allemands qui avaient compté sur des revenus fixes et sur leur épargne se retrouvèrent ruinés. Il en fut de même (à un moindre degré) en Pologne, en Hongrie, en Autriche: l'Europe centrale était mure pour le fascisme. Dans la majeure partie de l'Europe, le chômage étonnamment élevé, au regard des normes d'avant 1914: entre 10 et 12 % en Grande Bretagne, en Allemagne et en Suède, entre 17 et 18 au Danemark et en Norvège. Seule l'économie des Etats-Unis, avec

http://pcdo.expolitike.fr La comparaison comprend toujours le comparé et le comparant. C'est une pratique ordinaire, elle structure la plupart des raisonnements de la vie quotidienne. La comparaison sert à donner des repères, donner du sens. Elle permet d'évaluer, de donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux A) Les précurseurs de la comparaison Aristote comparait les différents

tenté à tord de penser que Montesquieu a été le premier libéral de la pensée politique. Cela est faut puisque Aristote en fait les prémices. CHAPITRE 3 : La pensée politique romaine. Introduction La pensée romaine peut sembler pauvre en comparaison avec la pensée grecque. En effet, les romains étaient avant tout des hommes d’action et non de réflexion. La politique romaine était une politique de conquête. Cette volonté de conquête s’est accompagnée d’un vide culturel. En schématisant, il s’avère

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . chAPitRe 8 l’extRême dRoite : le fascisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.1. Ses origines historiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.2. Ses idées maîtresses. . . . . . . . . . . . . . . . . .