Comparaison La Démocratie Et Le Totalitarisme

communistes allemands est alors consommé. Ce qui les différencie devient maintenant très clair : les premiers acceptent la démocratie parlementaire et veulent propager leurs idées par la réforme ; les seconds rejettent la démocratie parlementaire qu’ils qualifient de « bourgeoise » et veulent obtenir des avancées par la révolution ; leur modèle est l’URSS. 3. Les débuts de la social-démocratie allemande Les années 1920 voient le SPD prendre définitivement les atours d’un parti de gouvernement et se place

l’enrichissement mais restent vulnérables en cas de crise. En défendant des valeurs telles l’épargne et l’instruction, elles sont un des piliers du régime républicain. Ce bureau de tabac associé au café rappelle aussi les nouvelles pratiques sociales. La comparaison des documents 1 et 3 permet de différencier deux groupes sociaux clairement différents : les ouvriers et les classes moyennes. Doc. 2 : L’enrichissement global de la société n’efface pas les disparités des modes de vie. La bourgeoisie capitaliste

l'objectif final fut toujours la disparition de l'autre système. L'issue de ce troisième conflit est que l'URSS ne put maintenir sa domination sur son « bloc », miné par une concurrence venue de l'intérieur du bloc communiste (la Chine) et par la comparaison avec l'autre système ; la Russie elle-même ne put maintenir l'empire colonial qu'elle avait construit aux XVIIIe et XIXe siècles en Asie centrale, et cette « décolonisation » entraîna aussi la défection (peut-être provisoire) de certains bastions

de Métis, auxquels il faut ajouter les différentes communautés immigrées d'Asie ayant servi de main-d'œuvre, avec les métissages que cela a pu engendrer. L'Afrique du Sud est ainsi une mosaïque humaine que seule une démocratie pouvait transformer en une nation véritable. Cette démocratie n'a que quelques années, et l'idée d'une nation unique n'est pas beaucoup plus ancienne dans l'esprit d'une majorité de citoyens. La nation sud-africaine, à cause de sa diversité, est aujourd'hui comparée à un

l’interlocuteur et de le réduire au silence. Un sophiste est un professeur itinérant, souvent étranger à la cité qu’il fréquente, qui enseigne principalement l’art oratoire et qui rencontre un grand succès dans la Grèce classique, notamment dans la démocratie athénienne où le pouvoir de la parole est décisif. En théorie/ en pratique : De theôrein, contemplation de l’esprit, spéculation. Connaissance abstraite par opposition à la pratique. Prend une connotation péjorative quand elle est coupée du

champs sémantiques, à travers la lecture et l’étude de textes ; • le lexique et le discours : – lexique et niveaux de langue, – dénotation et connotation, – lexique de l’évaluation méliorative et péjorative, – lexique et expressivité : les figures (comparaison, métaphore, métonymie, périphrase, antithèse ; leur rôle dans la créativité et dans l’efficacité du discours) ; 166 I FRANÇAIS Classe de 3e • l’enrichissement du vocabulaire notamment : – vocabulaire abstrait avec l’étude de l’argumentation

qui nous travaillent, témoignent d’un rapport à l’être dans sa totalité et d’une appréhension de la réalité qu’il revient à la philosophie d’élucider ou de déconstruire. – Rousseau et la question du mal. – Tocqueville, Marx et la question de la démocratie. – Nietzsche et la question du ressentiment. – Freud et la question de l’inconscient. – Heidegger et la question de la technique. – Carl Schmitt et la question de la guerre. – Lévinas et la question de l’éthique. Période : Automne 8 blocs – 16

engagée en fonction de postulats qu'il explicite et témoignage d'une expérience spécifique : l'instauration de la criminologie comme science sociale dans les Universités et comme discipline appliquée à la politique criminelle dans le cadre des démocraties libérales. Denis Szabo, CRIMINOLOGIE ET POLITIQUE CRIMINELLE (1978) 10 En souvenir d'Henri Lévy-Bruhl Denis Szabo, CRIMINOLOGIE ET POLITIQUE CRIMINELLE (1978) 11 CRIMINOLOGIE ET POLITIQUE CRIMINELLE Introduction Retour à la table

La théorie de la loi ......................................................................... 204 La démocratie selon Rousseau ....................................................... 209 II. LA CITÉ ET LE CITOYEN ............................................................... 212 Le citoyen ...................................................................................... 212 Le « totalitarisme » de Rousseau ................................................... 214 Le bonheur du citoyen .......

français avec ceux de la langue du Coran. j'essaierai de forger et de préciser les contours des outils de travail indispensables au fur et à mesure que celui-ci avance. Pour le reste, j'utiliserai des notions générales chargées d'idéal, telles que démocratie, liberté, révolution, dans le sens que leur suppose le lecteur moyen. Espérant que, petit à petit, se dégagera la signification multidimensionnelle que nous confions à ce langage où le signifiant est, par vocation, allergique aux exigences du signifié