Comparaison Tartuffe Menteur

trente mètres restait debout, secouée, pareille à un mât dans l’ouragan. On croyait qu’elle allait s’émietter et voler en poudre, lorsque, tout d’un coup, elle s’enfonça d’un bloc, bue par la terre, fondue ainsi qu’un cierge colossal». ¨ la comparaison ¨ l’hyperbole ¨ la personnification ¨ l’euphémisme Activité n°8 – Analyse ᕡ Qu’est-ce qui donne à ce passage une dimension fantastique? ᕢ Qu’est-ce qui donne à ce passage un souffle épique? CNED SECONDE – FRANÇAIS 25 SÉQUENCE

et le petit Lapin (VII, 16). Écriture 15. Choisissez une autre formulation pour la moralité de la fable 6. « Là où passe le maigre le gros est arrêté. » 16. Retrouvez la fable d’Ésope qui sert de modèle à la fable 11 de La Fontaine ; faites une comparaison entre les deux œuvres. Ésope néglige les éléments de décor, il ne dit rien du discours de la Grenouille et oublie notamment de fournir le prétexte qui convainc le rat de se lier les pieds. Il est également muet sur les souffrances du Rat, ses émotions

parle de lui comme d'un monstre abject qu'il faut fuir sous peine d'être damné ; il se venge de la perfidie de Mme de Merteuil qui non seulement a informé Danceny de liaison avec Cécile, mais l'a contraint à rompre avec Mme de Tourvel. Mais la comparaison s'arrête là. Valmont n'a pas la pointure de Mme de Merteuil :non seulement ils n'ont pas les mêmes techniques stratégiques, l'une est impatiente d'arriver au but, l'autre prend tout son temps et construit progressivement sa stratégie mais encore

tragique en interprétant Bérénice face à Floridor. Huit jours plus tard, Molière tente vainement de reprendre l'avantage en créant une deuxième Bérénice, de Corneille10, mais dont les acteurs, La Thorillière et Armande Béjart ne peuvent soutenir la comparaison. Le roi lui-même exprime sa préférence pour la pièce de Racine en commandant une représentation devant la Cour, et l'auteur, dans sa dédicace à Colbert rappelle la satisfaction du roi à cette occasion. La tragédie de Racine avait tout lieu de plaire

3) Description et Analyse des personnes principaux (p. 5) ==> Qui est vraiment Don Juan ? ==> Sganarelle, le valet comique Analyse du cadre spatio – temporel (p. 6) Biographie des auteurs (p. 7) Comparaisons des différentes œuvres lues / Thématiques (p. 9) ==> Don Juan, séducteur perpétuel ==> Don Juan, rebelle et racheté ==> Don Juan et la mort Conclusion (p 27) Bibliographie (p 28) 1. Introduction Nous

précisément les didascalies de l’auteur mais la question 1 a montré qu’elles ne manquaient pas de fantaisie. Dans les deux mises en scène, on voit un couple bourgeois en train de parler, l’homme occupé par son ordinateur ou par son journal. La comparaison des deux photographies met au jour la liberté laissée aux interprètes même quand les didascalies se veulent très précises. Les circuits de la parole Exercice 7* 1. La plus longue réplique du général ressemble à une tirade car elle ne se

Quatrième intermède – Scène I – Scène II • Acte IV – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI • Cinquième Intermède – Chère Philis,... • Acte V – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV • Sixième intermède – Usez mieux,... • Tartuffe • Préface • Premier placet présenté au Roi • Second placet présenté au Roi Oeuvres complètes I 12 Oeuvres complètes . 1 • Troisième placet présenté au Roi • Personnages • Acte I – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V • Acte II

Quatrième intermède – Scène I – Scène II • Acte IV – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI • Cinquième Intermède – Chère Philis,... • Acte V – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV • Sixième intermède – Usez mieux,... • Tartuffe • Préface • Premier placet présenté au Roi • Second placet présenté au Roi Oeuvres complètes I 12 Oeuvres complètes . 1 • Troisième placet présenté au Roi • Personnages • Acte I – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V • Acte II –

beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul. Montaigne J'aime mieux un vice commode qu'une fatigante vertu. Molière, Amphitryon Mon Dieu, le plus souvent l'apparence déçoit : il ne faut pas toujours juger sur ce qu'on voit. Molière Le Tartuffe Le chemin est long du projet à la chose. Molière Je hais ces cœ urs pusillanimes qui, pour trop prévoir la suite des choses, n'osent rien entreprendre. Molière Le chemin est long du projet à la chose. Molière La grande règle de toute les règles c'est

bonne nature » : opposition à l’idée d’une corruption radicale de la nature humaine (je prends les hommes selon le commun ordre, et ne croy pas[…] », les vices ne pouvant être que l’exception des « inclinations perverses et desnaturées », et la comparaison avec les « monstres » et les « miracles » (voir « Les boyteux ») confirmant le refus d’accorder trop de crédit à l’anti-nature. Ce sont les circonstances historiques qui sont rendues responsables de cette dénaturation, plutôt, semble-t-il, que la