Comparer Rousseau Et Hobbes

La liberté Introduction 1 I. La liberté extérieure 2 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 2 B. La liberté et la loi 3 C. Travail et liberté 6 II. La liberté intérieure 8 A. L’origine du concept de liberté intérieure 8 B. La liberté de vouloir 9 C. La liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale

Important: 1°Apprendre un fascicule sur l'histoire politique de 1789 à 1815. Chaque régime a une orientation différente. 2° Ne pas avoir tout oublié de tout ce qu'on a appris de la littérature française des lumières. Montesquieu, Jean-Jacques Rousseau et l'Encyclopédie. *** Introduction: La Genèse du Code Civil "Ce qui ne s'effacera jamais, ce qui vivra éternellement, c'est mon Code Civil" (Napoléon Bonaparte, Mémorial de Sainte-Hélène). Promulgation du Code Civil en 1804 marque un tournant

d'indépendance ne sont unifiées que depuis 1775. Lorsque la première constitution américaine est rédigée, celle de Virginie, elle s'inspire, de la déclaration des droits de 1689, et des travaux des philosophes britanniques (John Locke, Henry Home, Thomas Hobbes) ainsi que des philosophes des lumières (Charles de Montesquieu), qu'ont lus les acteurs de la Révolution américaine, tels que Benjamin Franklin ou Thomas Jefferson[11]. La constitution fédérale américaine de 1787, qui a rejeté l'incorporation d'une

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin

Lucrèce ; Cicéron ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ; Malebranche ; Leibniz ; Vico ; Berkeley ; Condillac ; Montesquieu ; Hume ; Rousseau ; Diderot ; Kant. • Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ; Russell ; Bachelard ; Heidegger ;

des institutions ayant pour fonction de régler les rapports des croyants avec Dieu ou la sacré par des rites, des cérémonies et une liturgie spécifique, et variables selon les époques et les civilisations. Le Dieu de la religion naturelle (Hume, Rousseau) ne nécessite ni Eglise ni culte particulier et ne constitue qu’une référence et un guide pour l’exigence morale. Les trois critiques La religion a été attaquée dès l’antiquité par les matérialistes, comme Epicure et Lucrèce, qui ont vu d’emblée

d’un législateur qui ferait des lois rétroactives. En réalité, cet article 2 n’est qu’un rappel, un aide mémoire car les principes de droit naturel de ce type sont des principes moraux, gravés dans le cœur des hommes, qui s’imposent aux individus. Rousseau ; « il suffit d’écouter la voix de sa conscience dans le silence des passions » Cet article vise à donner un conseil, une orientation, lui rappeler qu’il ne doit pas oublier de respecter un certain nombre de principes du droit naturel. Une garantie

qu'il est et ce qu'il pense être. On y étudie et compare des conceptions modernes et contemporaines de l'être humain et leur importance dans la culture occidentale. On y aborde les principaux concepts, principes et présupposés de quelques conceptions de l'être humain de philosophes des époques moderne et contemporaine : R. Descartes, T. Hobbes, J.-J. Rousseau, K. Marx, F. Nietzsche, S. Freud, J.-P. Sartre, etc. L'élève apprend également à comparer et à évaluer de manière critique différentes conceptions

. . . . . . . . 3.3 L’affirmation de l’´galit´ des conditions dans la pens´e contrace e e tualiste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Hobbes et l’id´e du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . e 3.3.2 Contrat et propri´t´ dans la pens´e de J.Locke . . . . . ee e 3.3.3 Le contrat social. J.J. Rousseau . . . . . . . . . . . . . 3.4 Les r´volutions am´ricaines et fran¸aises et la modernit´ polie e c e tique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

hommes, 1 partie, Rousseau nous expose la pitié comme étant une qualité qui précèdent toutes les vertus de l’homme comme la générosité, l’indulgence, la clémence. Ainsi la pitié serait issue selon lui de l’état de nature ce qui est l’essence de l’homme. Cette clémence qu’accorde Roy Batty à Deckard est donc la preuve de sa nature humaine. Aussi l’image de la fin lorsque Roy chasse Deckard dans l’immeuble il imite le cri du loup tout au long de cette course poursuite. Or Hobbes exprime dans son œuvre