Compassion

simplement revenir en arrière, avant la guerre ... Son pessimisme et sa misanthropie l'empêchent d'entreprendre quoi que ce soit de constructif, puisqu'il ne fait pas confiance à l'humanité. Le personnage de Ferdinand Bardamu inspire donc pitié et compassion ... On comprend mieux le destin de cette génération sacrifiée de 14-18… Bardamu est représentatif de la démence d'une époque qui ne se remit pas de la guerre, puisqu'elle portait en germe les dérèglements des décennies suivantes, justement appelées

sentir qu'ils nous ont      surpassé à un moment ou à un autre.   9. Laissez parler les autres plus que vous.   10. Découvrez pourquoi les autres pensent de cette façon; considérez       les choses de leur point de vue.   11. Témoignez de la compassion aux autres (on en a tous grand besoin )   12. Traitez les gens avec respect, dignité, honnêteté, et un intérêt       sincère; en général, ils vous renverront les mêmes sentiments.   13. Mettez les autres au défi de mieux faire, ne les forcez

problématique » (p.100). C’est globalement que nous avons abandonné cette fraternité que nous vivions comme une loi naturelle au profit d’une solidarité qui relève du bon vouloir de chacun. Ce n’est pas la pitié que nous devons développer mais la compassion en reconnaissant l’exclu comme homme avant de l’identifier comme exclu. V- Réflexion et analyse personnelle a) L’ouvrage dans l’actualité d’une époque. Avec la crise économique, il est de plus en plus difficile de trouver un emploi. Ceux

de nombreux auteurs s’inspire de l’Italie car ce pays était un modèle à l’époque. Dans ce poème la poétesse parle de son amour douloureux. C’est un sonnet lyrique, tragique et pathétique. Le lecteur en lisant ce poème éprouve de la pitié, de la compassion et de la peine. Comment le thème de la souffrance amoureuse est-il évoqué dans ce poème ? I) Un sonnet lyrique

le premier extrait Bérénice est confrontée a une force qui la dépasse ; la force politique, l'héroïne ne peut rien face aux lois romaines elle est donc accablée par le destin, cet aspect la est souligné par le registre pathétique ,qui sucite la compassion et la pitié du lecteur, présent notamment dans les vers 4, 5 et 6 de l'extrait , citons : "Partout du désespoir je rencontre l'image","Je ne vois que des pleurs, et je n'entends parler","Que de trouve,d'horreurs, et de sang prêt à couler". Pour

et inquiétant. La focalisation interne nous permet d’en savoir plus que les autres personnages sur Grenouille : nous avons accès à son monde intérieur. Celui-ci n’a rien de sympathique : Grenouille est dénué de tout sentiment d’em- pathie ou de compassion pour ses semblables. Sa solitude le conduit à un égocentrisme sans mesure (qui lui fait s’adjuger le titre de “Grand “, “Unique “, “Magnifique Grenouille “ (p. 142) et à un mépris haineux des autres êtres humains. Mais le narrateur compare de manière

qui s’adresse à tous les acteurs susceptibles d’apporter leur pardon aux suppliciés. Le plus frappant dans ce poème est la véritable fiction de la mort mise en place par le poète. a) L’évocation brutale de la mort - Le poète attire la compassion en évoquant sa mort et celle de ceux qui, comme lui, sont pendus. - Nombreux termes font référence à cet état : « occis, sommes transis, nous sommes morts ». - La mort est décrite dans un réalisme atroce : « chair pourrie, dévorée et pourrie,

vivre bien, il faut avoir de la haine envers certaines personnes, cela pousse les Hommes à agir, mais cela préserve aussi l’individu. La passion sociale, qui a pour but de soulager les souffrances des autres, il faut ressentir de l’amitié, de la compassion pour les autres. Le but est d’atteindre un degré de bien être élevé. Les passions égoïstes, l’Homme est d’avantage soucieux de son sort, plutôt que celui des autres. Sauf que Smith dit qu’il faut quand même réguler ses passions, on ne

Cécile se laisse faire par Valmont et ne refuse pas vraiment ses avances. Pour le lecteur et pour le téléspectateur Cécile apparaît comme un personnage stupide qui se livre a la perversion sans s'en rendre compte. Il est donc difficile d'avoir de la compassion pour ce personnage pitoyable. De plus, la perversion de Cécile dans le roman et dans le film est engendrée par la société. En effet, cette société du XVIIIe siècle ignore l'amour. Dans la lettre 105 nous comprenons que les femmes peuvent avoir

construit une mise en abîme de l’histoire tout en marquant des différences ? Dans un registre pathétique l’auteur veut nous faire réfléchir, prendre conscience du malheur d’un homme et nous le faire prendre en pitié, c'est-à-dire nous donner de la compassion envers lui. Voltaire cherche donc à émouvoir le lecteur. Même si Zadig intervient au début de cet extrait, nous pouvons parlés de monologue car il intervient pour raconté ses mésaventures à Zadig, c’est donc un discourt directe car le pêcheur