Compassion

arrive-t-il a dégager une certaine compassion aux sujets de ses inquiétudes ? Il est vrai que l’auteur de la lettre se sent visé par la censure : « je sais qu’elle a les yeux tournés sur moi ». Ces préoccupations deviennent presque obsessionnelles : « elle va se jeter sur moi » ; «  je serai peut être le premier qu’elle dévorera ». L’emploi du futur de l’indicatif amplifie les craintes de Diderot et peut susciter chez son interlocuteur de la compassion pour cet « honnête homme ». Le champ

indirectement, que ces personnes méritent qu’on verse pour eux ne serait-ce que quelques larmes comme preuve de compassion. En effet, il pleurerait s’il n’était pas entouré de la sorte. Le désespoir de la vieille : quelques mots : si fragile qu’elle, la petite vieille, la bonne vieille. À travers ses mots, nous pouvons dire que Baudelaire réserve à la vieille une certaine compassion et une grande humilité. Il dit qu’elle est fragile, ne dit pas qu’elle est endurcie par la vie, il dit la petite

serait tenté de regarder. Nous voyons également qu’elle lui évoque de la pitié et il ressent pour elle de la compassion, dès le premier vers Baudelaire montre la fragilité de la jeune mendiante, il commence le poème par « Blanche fille » une connotation pour dire qu’elle est trop pâle et v.6 « son jeune corps maladif » car malgré qu’elle soit belle elle vit dans la rue ce qui suscite la compassion du poète. De plus, cet éloge qu’il fait de la beauté de la mendiante dissimule une dénonciation de la

aussi la conception de l’idéal humain que notre société recherche. De plus en plus notre société fait l’éloge de la performance au détriment de l’idéal des valeurs. L’intelligence, la réussite sociale, et le physique parfait supplantent l’amour, la compassion et le handicap. Dans cette logique, voir naître un enfant trisomique est un événement qui rend perplexe puisque ses chances d’atteindre les aspirations de la société sont presque nulles. Nous disons que la problématique est plutôt de réfléchir sur

tel un boomerang.   L'alterite declanche la Compassion qui renvoie un message de Liberté car nul ne saurait aller au dela du respect de soi. Il n'y a pas de liberté sans responsabilite. La générosité n'existe que dans le partage.   Chacune reconnaitra la part unique de l'autre pour s'en nourrir et s'épanouir, pour transformer le monde en un monde plus juste et plus humain.   La Franc Maçonne oeuvre a la coexistence des différences. La Compassion est le carburant divin, elle seme les germes

de personne diminuée, acceptant plus la mort que l’infirmité. D’où le rôle pédagogique du personnel soignant qui peut soit accroître la peur soit la stabiliser dans la manière de verbaliser ou donner des soins. L’auteur poursuit avec la notion de compassion connotée négativement ou positivement. En effet, on retrouve ici le côté pédagogique consistant à partager un sentiment ou la souffrance du malade en l’accompagant plutôt qu’en le plaignant. L’auteur met ensuite l’accent sur la dépendance du malade

émotion vive comme la douleur ou même la compassion. Dans ce poème, l'émotion que cherche l'auteur à susciter chez le lecteur est la compassion comme nous le montre le mot; " seule " répétéé deux fois. Il s'agit ici d'une insistance de sa part . Nous notons également la répétition du mot ; " elle travaille " . En insistant sur la situation de cette jeune fille , l'auteur cherche à déclencher chez le lecteur un certain sentiment , celui de la compassion , de la pitié . Caractéristique du registre

personnage n'obtient pas la compassion du public. Arnolphe fait référence à Saint Arnolphe, le saint patron des cocus. Il s'agit d'un homme qui souffre et cette souffrance se manifeste dans le texte : vers 565 et 566 (aparté) vers 577 «  je souffre en damné ». Il est ridicule dans la mesure où il annonce une attitude qu'il est ici incapable de tenir, il ne se contrôle plus «  non, non... » vers 575. Il est en train de perdre pied mais il ne provoque aucune compassion. Les derniers vers entassent

à l'abri du feuillageDont je couvre le voisinage,Vous n'auriez pas tant à souffrir :Je vous défendrais de l'orage ;15Mais vous naissez le plus souventSur les humides bords des Royaumes du vent.La nature envers vous me semble bien injuste.- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.20Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'iciContre leurs coups épouvantablesRésisté sans courber le dos ;Mais attendons la fin

misérale, que nous étudierons en interrogeant la visée commune a ces tois texte Sur le plan des registres on constate , que tout trois utilisent le registre pathétique En effet , le premier texte, Mélancolia, est marqué par un lexique de la compassion à l aide de termes evoquant la misére et la douleur ""maigre";"bleme" "vers 2,"pas de pain", "pas d 'argent"vers 7 associé à un vocabulaire afectif , la tristesse , avec les terme:"coeur qui se déchire"vers10 et "deuils, et pleurs" vers47 et religieux