Composition Chrétienté

histoire. Les historiens nous disent qu’elle commence au Moyen-âge au sein de l’Eglise. Dans ce cas aussi, la question était de résoudre le problème du lien entre centre et périphérie. L’Eglise cherchait à représenter la communauté de toute la Chrétienté. La représentation était utilisée comme une manière d’unifier le peuple ou de relier le vaste corps des croyants. Au Moyen Âge fut avancée l’inscription de la règle du contrat dans la loi publique. Les communautés religieuses et laïques acceptèrent

donné naissance à d’autres langues : espagnol etc.. La diversité des langues en Europe a longtemps été un frein à l’unité, il y a eu ensuite un changement, affirmation de la diversité linguistique en tant que richesse culturelle. 2) Latinité et chrétienté : S’est développé en Orient. L’empire romain au moment où il rencontre le christianisme, est dominé par les païens Le Dieu des chrétiens est un Dieu exclusif. Cette revendication sera à l’origine d’une réaction de rejet de l’Empire qui commencera

humains ; et ce jusqu’à la fin de la guerre de Sécession en 1865. Immédiatement les missionnaires européens leurs imposent la religion chrétienne. Les travailleurs Noirs commencent alors à reprendre de leur manière propre, cantiques et évangiles de chrétienté, créant les « Negro Sprirituals ». Ces chants prirent de l’ampleur dans les « camp meetings », les réunions religieuses en plein air. Les « Negro Spirituals » donnait aux auditeurs la même impression de misère et de solitude que le Blues. Les

de Necker, son célèbre ouvrage « De l’Allemagne », paru en 1810 est saisi par Napoléon, et reparait à Londres en 1813 et à Paris en 1814 après la chute de Napoléon). Dès lors, les romantiques sont les écrivains qui s’affranchissent des règles de composition et de style établies par les auteurs classiques. Il ne s’agit pas seulement de distinguer 2 écoles artistiques, ce qui importe, c’est la place de ce débat dans la grande recomposition intellectuelle, politique et sociale, qui se produit en Europe

 Il a établit un pouvoir d'une nature  particulière, mélange des traditions romaines, chrétiennes et germaines. Ce  pouvoir mérovingien s'appuie sur 4 éléments : La puissance militaire, la  pratique du serment, la patrimonialité du pouvoir et la chrétienté du roi. 1) La puissance miliaire La puissance militaire est le premier fondement de la royauté mérovingienne.  La légitimité de Clovis est avant tout celle d'un chef militaire. Ces soldats  reconnaissent sa supériorité au combat. C'est en cela qu'il est avant tout un 

mais très tôt, les empereurs de ce Saint Empire, en se prétendants être les héritiers de Charlemagne, défendent l’idée que la dignité impériale à toujours une vocation universelle. Ce qui veut dire que l’autorité des empereurs doit couvrir toute la chrétienté et que la dignité de l’empereur est supérieure à celle des Rois => l’empereur bénéficie donc d’une prééminence sur tous les autres rois qui règnent en Europe. Ce saint Empire subsiste durant de long siècle au cours desquels vont se succéder plusieurs

longue histoire. Les historiens nous disent qu’elle commence au Moyen-âge au sein de l’Eglise. Dans ce cas aussi, la question était de résoudre le problème du lien entre centre et périphérie. L’Eglise cherchait à représenter la communauté de toute la Chrétienté. La représentation était utilisée comme une manière d’unifier le peuple ou de relier le vaste corps des croyants. Au Moyen Âge fut avancée l’inscription de la règle du contrat dans la loi publique. Les communautés religieuses et laïques acceptèrent

créateur Prise de parole par Sganarelle, c’est lui qui mène le débat. Il est le défenseur de la religion et porte parole des chrétiens. Il interroge Dom Juan : « est-il possible… », puis pose des questions de plus en plus sur le point de vue de la chrétienté. Dom Juan esquive les questions dans un premier temps : refus d’aborder le sujet. Analyser la manière dont il les élude. Les questions de Sganarelle portent sur le ciel puis sur l’enfer, ensuite sur le diable et sur l’autre vie, puis enfin sur

La Fille aux yeux d'or). Il est vrai que le premier épisode de la trilogie désigne Ferragus, comme le chef des Dévorants : « nom d'une des tribus de Compagnons ressortissant jadis de la grande association mystique formée entre les ouvriers de la chrétienté pour rebâtir le temple de Jérusalem », espèce de franc-maçonnerie qui exerce une puissance qui ne respecte ni l'ordre social tel qu'il est juridiquement constitué, ni la morale naturelle ou religieuse. Ces Dévorants interviennent dans l'action de

affaire : apparition d’une nation divisée. I )Une division politique . A° L’Antisémitisme. Une approche historique de l’antisémitisme devrait permettre de mieux comprendre ce phénomène dans l’Affaire Dreyfus . Dans toute l'histoire de la chrétienté et jusqu'au XX siècle non compris, le sentiment antijuif , les persécutions et discriminations furent le fait de l’antijudaïsme chrétien. Cet antijudaïsme doit être distingué de l’antisémitisme moderne, contemporain du nationalisme qui progresse