Composition De La Tragedie Grecque

action intéressante, tantôt une situation, réelle ou supposée, qui émeut plus ou moins le lecteur. En un sens plus restreint, et qui date seulement du XVIIIe siècle, le drame est une pièce de théâtre, en vers ou en prose, d'un genre mixte entre la tragédie et la comédie, et dont l'action, sérieuse, par le fond, souvent familière par la forme, admet toutes sortes de personnages, ainsi que tous les sentiments et tous les tons. Entendu comme une œuvre qui n'est pas précisément tragique, ni entièrement

» Puf, p. 10 . Ainsi Jodelle, qui n'avait que vingt ans, crée un genre nouveau de tragédie avec Cléopâtre captive, représentée en même temps que L'Eugène en 1553. C'est un drame en vers en cinq actes inspiré par la Vie d'Antoine de Plutarque. La pièce remporte un tel succès qu’elle est jouée deux fois, d'abord à l'hôtel de Reims, devant

fadeur équivoque. Ses tableaux historiques ont souvent une composition étudiées, une facture précise et un détail iconographique soigné. Ceux-ci sont parfois déclamatoires et sont peuplés d'héroïnes du théâtre. Phèdre est une peinture d'histoire, genre de référence à l'époque. Alexandre CABANEL peint ce tableau pour remercier sa ville natale qui lui a offert une bourse au début de sa carrière. Il rend hommage à travers ce tableau à la tragédie qui est le genre littéraire par excellence mais aussi à

apparence qu’il nous offre (beauté, persévérance, courage…). Ainsi, Pascal en conclut que le moi est vide et que les autres n’ont pas + de moi intérieur que je n’en possède moi-même.Nous n’avons affaire qu’à des compositions d’apparences et ns ns persuadons que notre moi est unique alors qu’il est très commun et ns ns persuadons que les autres sont ≠ de nous alors que nous sommes des êtres véritablement communs . Par conséquent, rien ne justifie de s’intéresser

philosophiques. Certes, la question des genres n’est pas proprement contemporaine. Il fut de débats dès l’ère de La Poétique d’Aristote ; ce qui est remarquable, durant le passage du temps, est que certains genres, les plus anciens, comme la comédie et la tragédie, furent et sont plus populaires que certains autres, comme le lai et le dithyrambe, l’épopée et la chanson populaire. Toute époque disposait de ses formes et de ses styles qui se transformaient, évoluaient ou mouraient selon le perfectionnement

puis nous examinerons l'art en tant que représentation picturale ou graphique d’une réalité susceptible de susciter un intérêt autre que purement esthétique. La problématique repose donc sur le sens donné au verbe « plaire ». Dans l’antiquité grecque puis romaine, l'art a comme objet l’imitation de la nature. Le sculpteur Pygmalion tombe amoureux de sa création à laquelle Vénus donne vie. Les frontières entre imagination, rêve et réalité se confondent, se mêlent étrangement. Depuis la découverte

retraite pieuse, on montre ses pièces à Paris et Versaille tandis que sa réputation européenne s’affirme. · Corneille domine toute la vie théâtrale du 17ème s grâce à la variété des formes théâtrales auxquelles il s’est exercé : comédie, tragi-comédie, tragédie ainsi que par la diversité de son inspiration. · Le Cid : Rencontre un immense succès, mais les critiques étaient également vives entre les savants. En effet, l’Académie française reproche en particulier à Corneille

Synthèse sur le théâtre DEFINITIONS Selon Aristote dans la Poétique : Sa définition des arts de l’imitation : « L'épopée, la tragédie, la comédie, le dithyrambe, la plupart des airs de flûte et de cithare, toutes ces espèces sont, en général, des imitations. Mais, dans ces imitations, il y a trois différences : les moyens avec lesquels on imite, l'objet qu'on imite, et la manière dont on imite. »chapitre 1 Dans sa la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de

période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil et Robinson Jeffers ont fait le même travail au XXe siècle. Ce mythe, à part sa forme de tragédie, se présente dans les folklores ou les contes de fée. Cependant parmi toutes ces versions de la réécriture, celles d’Euripide et de Racine sont les plus populaires. D’Euripide à Racine, ce passage de la Grèce antique à la France au siècle de

réquisitoire, s’inscrit par là dans le judiciaire, auquel elle emprunte sa mise en scène, ses rôles et les modalités de son énonciation. Le judiciaire et le théâtral ont partie liée ici, tant le théâtre est le lieu privilégié du procès, comme dans la tragédie grecque, tant le tribunal ressemble à un théâtre.”. De là se pose alors le problème, d’un jugement et aussi d’une certaine mise en scène, puisque l’auteur, dans ses écrits se doit de recontextualiser son histoire, et de la mettre à nouveau en scène pour